Niakara- Une folle rumeur d'enfants enlevés et égorgés s'est répandue à travers la ville et les établissements scolaires, lundi, en début d'après-midi, obligeant les autorités locales à sillonner des écoles pour un démenti, a constaté l'AIP sur place.
De nombreux parents d'élèves de la ville de Niakara, affolés et pris de panique, ont investi les écoles primaires dès 13H30, ce premier jour de la semaine qui est aussi jour du marché hebdomadaire de la commune, pour ramener leurs enfants à domicile.
"Je viens chercher mon enfant. On dit que deux enfants ont été enlevés, égorgés et abandonnés dans une école de la ville et leurs dépouilles se trouvent présentement à l'hôpital général", a déclaré, sous le choc, Ardjounan Soro (46 ans), parent d'élève à l'EPP Résidentiel 1 de Niakara.
Un branle-bas général qui a contraint à un démenti du corps préfectoral de Niakara, conduit par le préfet du département, Maténin Ouattara, le maire de la ville, Pierre Koné Nakawouélé et le commandant de la brigade locale de Gendarmerie,
Le corps mutilé d'une jeune femme a été découvert, vendredi, à l'ouest de la ville, rappelle-t-on.
jbm/fmo
De nombreux parents d'élèves de la ville de Niakara, affolés et pris de panique, ont investi les écoles primaires dès 13H30, ce premier jour de la semaine qui est aussi jour du marché hebdomadaire de la commune, pour ramener leurs enfants à domicile.
"Je viens chercher mon enfant. On dit que deux enfants ont été enlevés, égorgés et abandonnés dans une école de la ville et leurs dépouilles se trouvent présentement à l'hôpital général", a déclaré, sous le choc, Ardjounan Soro (46 ans), parent d'élève à l'EPP Résidentiel 1 de Niakara.
Un branle-bas général qui a contraint à un démenti du corps préfectoral de Niakara, conduit par le préfet du département, Maténin Ouattara, le maire de la ville, Pierre Koné Nakawouélé et le commandant de la brigade locale de Gendarmerie,
Le corps mutilé d'une jeune femme a été découvert, vendredi, à l'ouest de la ville, rappelle-t-on.
jbm/fmo