Des gens peuvent s’attaquer à la façon de gouverner du président Alassane Ouattara. On peut peut-être l’admettre parce qu’ils peuvent être certainement frappés de cécité. Ils peuvent raconter des insanités qu’ils veulent pour attaquer l’actuel président de la république de Côte d’Ivoire. On peut l’admettre aussi parce qu’il y a des gens qui ne voient partout que le péjoratif. Ainsi va la nature ; surtout l’homme dans son immédiateté naturelle ne cherche rien à comprendre. Mais cet exercice n’est pas permis au président Bédié et son secrétaire exécutif en chef Maurice Kacou Guikahué. Que peuvent encore proposer Bédié et son porte-parole aux Ivoiriens. Toute la Côte d’Ivoire a encore en mémoire les désagréments que Guikahué et son chef ont créés aux Ivoiriens. Ce sont ces deux complices qui ont détourné les 18 milliards F cfa de l’union européenne en 1998, au moment où nos hôpitaux avaient besoin d’être équipés et réhabilités. Malheureusement, ce sont les contribuables ivoiriens, les citoyens ivoiriens qui ont payé le lourd tribut de ce détournement massif. Ce vol organisé à cette époque par Bédié et son ministre de la Santé Maurice Kacou Guikahué a fait saigner tous les Ivoiriens. En effet, il fallait aux contribuables et à tous les Ivoiriens de mettre la main à la poche pour combler le trou honteux laissé par ces deux mauvais gestionnaires afin de permettre le retour des bailleurs de fonds. Par leur faute, l’Union Europe et plusieurs bailleurs de fonds ont retiré leur soutien à la Côte d’Ivoire. Le FMI, la Banque Mondiale, les banques de Londres et celles de Paris ont pris congé de la Côte. Assujettissant la croissance économique, plongeant la Côte d’Ivoire dans la faim et les maladies. Guikahué après s’être servi, fit appel à ses directeurs régionaux, directeurs départementaux et les chefs de service pour se partager la manne avec la bénédiction de N’zueba. Du haut de son trône, Bédié devrait s’interroger ; ‘’ Vous vous êtes bien servis, monsieur le ministre’’ ? On peut détourner des fonds certes, mais détourner des fonds liés à la cause de la santé montre à n’en point douter que ceux qui commettent ce vol sont des meurtriers, des tueurs à gage car ‘’ la santé n’a pas de prix’’, est bien clair le proverbe.
Détourner donc les fonds destinés aux infrastructures sanitaires c’est commettre le plus grand des crimes sur cette planète. Bédié l’a bien encouragé puisqu’à cette époque, le tout puissant dictateur n’a pu sanctionner les coupables. Cette opaque gestion est malheureusement plongée aujourd’hui dans les oubliettes par Bédié et son ministre de la santé parce qu’ils sont aveuglés par le miel du pouvoir. Voici des gens qui croient en leurs fétiches et qui pensent malheureusement que les Ivoiriens n’ont plus souvenance du vol qu’ils ont savamment organisé à cette époque. Quelle nouvelle gestion proposeront-ils aux Ivoiriens après leur accession au pouvoir ? Difficile de répondre à cette question. Mais toujours est-il que ces deux complices se battent crânement pour revenir aux affaires pour leurs propres intérêts et non pour l’intérêt de toute la nation. Comment des gens qui font de l’ivoirité leur programme de société peuvent-ils apporter quelque chose de concret et le développement à la Côte d’Ivoire ? Une chose est de demander aux Ivoiriens de vous porter au pouvoir mais une autre est de leur rendre service et améliorer leurs conditions de vie et de travail. Or, le service que sait rendre Bédié aux Ivoiriens c’est de cautionner le pillage des caisses de l’Etat et amener les citoyens à cotiser pour rembourser ce qu’il a pillé avec ses collaborateurs. Cela dit, on peut affirmer sans risque de se tromper que Bédié n’a jamais aimé les Ivoiriens. Alors, pas du tout. Comment un président peut-il se constituer en un pire ennemi juré de la jeunesse ? Bédié n’avait aucune raison de s’opposer au vote des jeunes de dix-huit ans quand il était au pouvoir. Mais il l’a fait et est allé seul aux élections en 1995 sans le FPI et le RDR. C’est bien lui qui paradoxalement demande aujourd’hui à la jeunesse qu’il a mâtée, hier avec sa fameuse BEA de sortir pour contester le code électoral et la commission électorale indépendante. Il a oublié que c’est son ministre de l’Intérieur qui proclamait les résultats des élections. Franchement quand on perd le pouvoir, on oublie qu’on a été dictateur.
Romaric Sako
Détourner donc les fonds destinés aux infrastructures sanitaires c’est commettre le plus grand des crimes sur cette planète. Bédié l’a bien encouragé puisqu’à cette époque, le tout puissant dictateur n’a pu sanctionner les coupables. Cette opaque gestion est malheureusement plongée aujourd’hui dans les oubliettes par Bédié et son ministre de la santé parce qu’ils sont aveuglés par le miel du pouvoir. Voici des gens qui croient en leurs fétiches et qui pensent malheureusement que les Ivoiriens n’ont plus souvenance du vol qu’ils ont savamment organisé à cette époque. Quelle nouvelle gestion proposeront-ils aux Ivoiriens après leur accession au pouvoir ? Difficile de répondre à cette question. Mais toujours est-il que ces deux complices se battent crânement pour revenir aux affaires pour leurs propres intérêts et non pour l’intérêt de toute la nation. Comment des gens qui font de l’ivoirité leur programme de société peuvent-ils apporter quelque chose de concret et le développement à la Côte d’Ivoire ? Une chose est de demander aux Ivoiriens de vous porter au pouvoir mais une autre est de leur rendre service et améliorer leurs conditions de vie et de travail. Or, le service que sait rendre Bédié aux Ivoiriens c’est de cautionner le pillage des caisses de l’Etat et amener les citoyens à cotiser pour rembourser ce qu’il a pillé avec ses collaborateurs. Cela dit, on peut affirmer sans risque de se tromper que Bédié n’a jamais aimé les Ivoiriens. Alors, pas du tout. Comment un président peut-il se constituer en un pire ennemi juré de la jeunesse ? Bédié n’avait aucune raison de s’opposer au vote des jeunes de dix-huit ans quand il était au pouvoir. Mais il l’a fait et est allé seul aux élections en 1995 sans le FPI et le RDR. C’est bien lui qui paradoxalement demande aujourd’hui à la jeunesse qu’il a mâtée, hier avec sa fameuse BEA de sortir pour contester le code électoral et la commission électorale indépendante. Il a oublié que c’est son ministre de l’Intérieur qui proclamait les résultats des élections. Franchement quand on perd le pouvoir, on oublie qu’on a été dictateur.
Romaric Sako