Suite à la mort d’une fillette de 3 ans des suites d’un viol, le groupe des organisations féminines pour l’égalité homme-femme (GOFEHF), s’est réuni ce mardi 7 octobre 2019 à son siège afin de discuter et trouver des solutions face à ces nombreux cas de viol signalés
Pour Rachel Gogoua, présidente de GOFEHF, c’est inhumain ce genre d’actes envers les enfants, surtout une petite fille de 3 ans. « Toutes les mesures seront prises dès la semaine prochaine pour mettre définitivement à tous ces cas de viols » a-t-elle fait savoir.
Plusieurs meurtres se font signaler ici en Côte d’Ivoire et l’Etat met tout en œuvre pour mettre fin à cela, notamment le cas du gendarme tué. « Mais nous avons constaté que depuis la mort de cette petite fille, il y a un silence total, tant au niveau de nos autorités, des médias, des artistes et bien d’autres. Personne ne se lève pour intervenir et se prononcer sur cette question de viol » a déploré Rachel Gogoua avant d’ajouter des mesures seront prises pour éradiquer ce phénomène.
« Les prises en charge, la prévention, toutes ces choses sont nécessaires, mais le plus important pour nous, c’est comment faire pour qu’il n’y ait plus de viol, pour que tous ces individus qui s’adonnent à ce genre d’actes arrêtent définitivement ou soient punis par la loi» a-t-elle souligné.
En ce qui concerne l’action de la société civile, Zamblé Georgette, présidente de Lead Africaines a indiqué quelques actions qui seront menées dès la semaine prochaine à savoir des points de presse, des déclarations, une marche, et des rencontres avec certaines cibles notamment le ministère de la défense, de la sécurité, la primature pour ne citer que ceux -là.
P. R.
Pour Rachel Gogoua, présidente de GOFEHF, c’est inhumain ce genre d’actes envers les enfants, surtout une petite fille de 3 ans. « Toutes les mesures seront prises dès la semaine prochaine pour mettre définitivement à tous ces cas de viols » a-t-elle fait savoir.
Plusieurs meurtres se font signaler ici en Côte d’Ivoire et l’Etat met tout en œuvre pour mettre fin à cela, notamment le cas du gendarme tué. « Mais nous avons constaté que depuis la mort de cette petite fille, il y a un silence total, tant au niveau de nos autorités, des médias, des artistes et bien d’autres. Personne ne se lève pour intervenir et se prononcer sur cette question de viol » a déploré Rachel Gogoua avant d’ajouter des mesures seront prises pour éradiquer ce phénomène.
« Les prises en charge, la prévention, toutes ces choses sont nécessaires, mais le plus important pour nous, c’est comment faire pour qu’il n’y ait plus de viol, pour que tous ces individus qui s’adonnent à ce genre d’actes arrêtent définitivement ou soient punis par la loi» a-t-elle souligné.
En ce qui concerne l’action de la société civile, Zamblé Georgette, présidente de Lead Africaines a indiqué quelques actions qui seront menées dès la semaine prochaine à savoir des points de presse, des déclarations, une marche, et des rencontres avec certaines cibles notamment le ministère de la défense, de la sécurité, la primature pour ne citer que ceux -là.
P. R.
