Pour d’énormes et loyaux services rendus à son pays de Mai 2011 à Octobre 2020, le peuple souverain de Côte d’Ivoire, va très bientôt demander au grand bâtisseur jamais encore égalé en Afrique subsaharienne, Alassane Ouattara, de se représenter.
L’ancienne capitale de ‘’la boucle du cacao’’, Dimbokro et les circonscriptions administratives rattachées à elle, l’ont suggéré au président Alassane Ouattara lors de sa visite d’état dans ce carré ivoirien du 25 au 28 septembre 2019. Les têtes couronnées de la région du N’Zi, les guides religieux, femmes, jeunes et vieillards, au regard de ce que le natif de Dimbokro leur a apporté comme embellie, développement, infrastructures modernes, ne tarissent pas d’éloges, de reconnaissance et de remerciements à l’endroit de leur ‘’fils’’, qui vient de faire un retour triomphal, glorieux et historique sur sa terre natale. Les lampions se sont certes éteints sur les quatre jours mémorables de ce ‘’cahier du retour au pays natal’’. Mais la région du N’Zi est en train de comptabiliser de nos jours, les acquis de cette visite historique. Elle a cru d’abord à un rêve mais goûte pourtant depuis le 28 septembre au développement, après près de 44 ans d’oubli, d’abandon. Dimbokro réalise que c’est ‘’son fils’’ qui est venu la faire sortir de cette si longue hibernation. Le grand mouvement de sollicitation de la candidature du président Alassane Ouattara partira de Dimbokro pour gagner toute la Côte d’Ivoire. L’ancienne capitale de la boucle du cacao veut être le précurseur de ce grand mouvement de rassemblement pour la candidature de l’actuel Chef de l’Etat pour la présidentielle. Elle ne veut pas laisser cette opportunité à d’autres régions de ce pays. C’est la fumée blanche sortie de leurs décomptes d’acquis, quelques jours après le voyage du président Alassane Ouattara dans cette région reléguée hier aux oubliettes par tous les gouvernants qui se sont succédé hier à la tête de ce pays après l’ère Félix Houphouët-Boigny. Pour ‘’le fils prodige’’ qui vient de la sortir du ‘’trou’’ ou de l’ornière, la région du N’Zi veut être la première à donner le ton, à montrer le chemin aux populations des 31 régions du carré ivoirien. ‘’Ce sont les autres qui doivent suivre le mouvement que nous allons impulser’’, se disent les ‘’parents’’ du président Alassane Ouattara. Et trois raisons expliquent leur démarche. Premièrement, c’est la terre de Dimbokro qui l’a vu naître ou qui a enregistré son acte de naissance le 1er Janvier 1942. Pour Dimbokro, c’est un devoir moral de soutenir cet illustre fils qui fait leur fierté en tant que travailleur infatigable et grand bâtisseur de la nouvelle Côte d’Ivoire émergente. Deuxièmement, les retombées positives de la visite d’état qu’il vient d’achever sur sa terre natale, sont incommensurables et encore fraîches dans leur souvenir. Et enfin, troisième explication, c’est son bilan élogieux, éloquent, qui a battu tous les records en Afrique subsaharienne. Des raisons suffisantes d’être fiers de ce ‘’fils’’ qui vient de les honorer et dont ils sont effectivement fiers du bilan. Décision arrêtée, la vague de mouvement populaire de revendication ou d’exigence de la candidature du président Alassane Ouattara en 2020 partira de Dimbokro, qui veut être la première à se mobiliser pour déferler sur la présidence de la République et exiger sa candidature sous les couleurs du RHDP. ‘’L’Essor Ivoirien’’, votre quotidien préféré qui sait voir ce qui se passe à l’intérieur et à l’extérieur de la ‘’maison Côte d’Ivoire’’, avait éventé il n’y a pas longtemps de cela, la volonté de 5 millions de jeunes de ce pays et de 3 millions de femmes prêts à se lever pour aller mander le pardon du président Alassane Ouattara, au Palais de la Présidence de la République au Plateau, afin qu’il accepte de se représenter en 2020 et même en 2025 si Dieu lui en donne la force. Nous l’avions déjà ébruité dans ces mêmes colonnes. Il y a déjà des réunions préliminaires dans certains réceptifs hôteliers de la capitale économique. La prophétie est en train de courir à son terme pour son accomplissement, au moins six (6) mois avant cette échéance électorale constitutionnellement fixée en Octobre 2020. Ouattara, il faut le dire, n’est pas demandeur. Comme annoncé, les jeunes et les femmes, grands bénéficiaires ou ‘’enfants gâtés’’ du régime Ouattara ne manqueront pas à l’appel. Tout le pays profond sera gagné, prévient-on, par la vague de soutien inconditionnel à la candidature du président du RHDP : Alassane Ouattara. Il n’y aura pas de mauvais procès, ni de mauvaises querelles, puisque c’est le peuple souverain de Côte d’Ivoire, à l’unanimité, qui use de son droit inaliénable de ‘’propriétaire exclusif’’ de la loi fondamentale, qui le demande, l’exige à Ouattara. Le débat sur le respect scrupuleux de la Constitution ivoirienne est donc renvoyé aux calendes grecques. Y revenir, serait une provocation, car c’est le peuple de Côte d’Ivoire qui en aura ainsi décidé, de ce qui est bon pour lui.
Igor Wawayou
L’ancienne capitale de ‘’la boucle du cacao’’, Dimbokro et les circonscriptions administratives rattachées à elle, l’ont suggéré au président Alassane Ouattara lors de sa visite d’état dans ce carré ivoirien du 25 au 28 septembre 2019. Les têtes couronnées de la région du N’Zi, les guides religieux, femmes, jeunes et vieillards, au regard de ce que le natif de Dimbokro leur a apporté comme embellie, développement, infrastructures modernes, ne tarissent pas d’éloges, de reconnaissance et de remerciements à l’endroit de leur ‘’fils’’, qui vient de faire un retour triomphal, glorieux et historique sur sa terre natale. Les lampions se sont certes éteints sur les quatre jours mémorables de ce ‘’cahier du retour au pays natal’’. Mais la région du N’Zi est en train de comptabiliser de nos jours, les acquis de cette visite historique. Elle a cru d’abord à un rêve mais goûte pourtant depuis le 28 septembre au développement, après près de 44 ans d’oubli, d’abandon. Dimbokro réalise que c’est ‘’son fils’’ qui est venu la faire sortir de cette si longue hibernation. Le grand mouvement de sollicitation de la candidature du président Alassane Ouattara partira de Dimbokro pour gagner toute la Côte d’Ivoire. L’ancienne capitale de la boucle du cacao veut être le précurseur de ce grand mouvement de rassemblement pour la candidature de l’actuel Chef de l’Etat pour la présidentielle. Elle ne veut pas laisser cette opportunité à d’autres régions de ce pays. C’est la fumée blanche sortie de leurs décomptes d’acquis, quelques jours après le voyage du président Alassane Ouattara dans cette région reléguée hier aux oubliettes par tous les gouvernants qui se sont succédé hier à la tête de ce pays après l’ère Félix Houphouët-Boigny. Pour ‘’le fils prodige’’ qui vient de la sortir du ‘’trou’’ ou de l’ornière, la région du N’Zi veut être la première à donner le ton, à montrer le chemin aux populations des 31 régions du carré ivoirien. ‘’Ce sont les autres qui doivent suivre le mouvement que nous allons impulser’’, se disent les ‘’parents’’ du président Alassane Ouattara. Et trois raisons expliquent leur démarche. Premièrement, c’est la terre de Dimbokro qui l’a vu naître ou qui a enregistré son acte de naissance le 1er Janvier 1942. Pour Dimbokro, c’est un devoir moral de soutenir cet illustre fils qui fait leur fierté en tant que travailleur infatigable et grand bâtisseur de la nouvelle Côte d’Ivoire émergente. Deuxièmement, les retombées positives de la visite d’état qu’il vient d’achever sur sa terre natale, sont incommensurables et encore fraîches dans leur souvenir. Et enfin, troisième explication, c’est son bilan élogieux, éloquent, qui a battu tous les records en Afrique subsaharienne. Des raisons suffisantes d’être fiers de ce ‘’fils’’ qui vient de les honorer et dont ils sont effectivement fiers du bilan. Décision arrêtée, la vague de mouvement populaire de revendication ou d’exigence de la candidature du président Alassane Ouattara en 2020 partira de Dimbokro, qui veut être la première à se mobiliser pour déferler sur la présidence de la République et exiger sa candidature sous les couleurs du RHDP. ‘’L’Essor Ivoirien’’, votre quotidien préféré qui sait voir ce qui se passe à l’intérieur et à l’extérieur de la ‘’maison Côte d’Ivoire’’, avait éventé il n’y a pas longtemps de cela, la volonté de 5 millions de jeunes de ce pays et de 3 millions de femmes prêts à se lever pour aller mander le pardon du président Alassane Ouattara, au Palais de la Présidence de la République au Plateau, afin qu’il accepte de se représenter en 2020 et même en 2025 si Dieu lui en donne la force. Nous l’avions déjà ébruité dans ces mêmes colonnes. Il y a déjà des réunions préliminaires dans certains réceptifs hôteliers de la capitale économique. La prophétie est en train de courir à son terme pour son accomplissement, au moins six (6) mois avant cette échéance électorale constitutionnellement fixée en Octobre 2020. Ouattara, il faut le dire, n’est pas demandeur. Comme annoncé, les jeunes et les femmes, grands bénéficiaires ou ‘’enfants gâtés’’ du régime Ouattara ne manqueront pas à l’appel. Tout le pays profond sera gagné, prévient-on, par la vague de soutien inconditionnel à la candidature du président du RHDP : Alassane Ouattara. Il n’y aura pas de mauvais procès, ni de mauvaises querelles, puisque c’est le peuple souverain de Côte d’Ivoire, à l’unanimité, qui use de son droit inaliénable de ‘’propriétaire exclusif’’ de la loi fondamentale, qui le demande, l’exige à Ouattara. Le débat sur le respect scrupuleux de la Constitution ivoirienne est donc renvoyé aux calendes grecques. Y revenir, serait une provocation, car c’est le peuple de Côte d’Ivoire qui en aura ainsi décidé, de ce qui est bon pour lui.
Igor Wawayou