Le Conseil Constitutionnel a rendu hommage à Coulibaly-Kuibiert Ibrahime, ex-Secrétaire Général (SG) du Conseil Constitutionnel, désormais président de la commission centrale de la Commission Électorale Indépendante (CEI), le mercredi 09 Octobre dans la cours du Conseil Constitutionnel à Abidjan Plateau.
Au cours de cette cérémonie, Koné Mamadou, président du Conseil Constitutionnel, a exprimé son assurance quant aux capacités du nouveau président de la CEI à réussir sa mission. « Je suis persuadé qu’il réussira sa mission parce qu’il maîtrise le code électoral ainsi que la Constitution, les deux (2) textes qu’il faut connaître pour présider sérieusement cette institution », a-t-il soutenu.
Cette persuasion ressentie par Mamadou Koné, provient d’une relation profonde qu’il a qualifiée de « relation de père à fils » qu’il entretient avec Coulibaly-Kuibiert depuis 13 ans.
« En 2006, il fut mon chef de cabinet lorsque j’étais ministre de la Justice, ensuite il m’a rejoint lorsque j’étais président de la Cour Suprême où je l’ai proposé comme l’un des deux (2) représentants du Conseil Supérieur de la magistrature à la CEI. Et enfin, lorsque j’ai été appelé à présider le Conseil Constitutionnel, je l’ai désigné comme Secrétaire Général. Il a fait le parcours de la formation nécessaire pour assurer cette fonction », a-t-il indiqué.
Étreint d’émotion, mais conscient des défis qui l’attendent à la CEI, Coulibaly-Kuibiert a promis faire tout ce qui est humainement possible pour mériter la confiance de tous. Face à certaines interprétations de la relation père-fils qu’il entretient avec le président du Conseil Constitutionnel, le nouveau président de la CEI a fait une mise au point. « Mon papa m’a formé et m’a éduqué. Il m’a appris à respecter la loi. Il ne m’a pas appris à tricher. Il m’a toujours dit que la loi est la seule autorité à laquelle le juge est soumis. Je tâcherai d’honorer ce qu’il m’a appris », a-t-il soutenu.
Au cours de cette cérémonie riche en émotions, le personnel, les hauts conseillers constitutionnels, ont tous adressé des prières pour le succès de la nouvelle mission de leur ex-collaborateur. Ils lui ont offert également des présents.
A 53 ans, Coulibaly-Kuibiert Ibrahime, le plus jeune président de la CEI actuellement, se trouve à l’épreuve de l’application du code électoral ainsi que la Constitution, deux textes qu’il faut connaître pour présider cette institution.
JOB
Au cours de cette cérémonie, Koné Mamadou, président du Conseil Constitutionnel, a exprimé son assurance quant aux capacités du nouveau président de la CEI à réussir sa mission. « Je suis persuadé qu’il réussira sa mission parce qu’il maîtrise le code électoral ainsi que la Constitution, les deux (2) textes qu’il faut connaître pour présider sérieusement cette institution », a-t-il soutenu.
Cette persuasion ressentie par Mamadou Koné, provient d’une relation profonde qu’il a qualifiée de « relation de père à fils » qu’il entretient avec Coulibaly-Kuibiert depuis 13 ans.
« En 2006, il fut mon chef de cabinet lorsque j’étais ministre de la Justice, ensuite il m’a rejoint lorsque j’étais président de la Cour Suprême où je l’ai proposé comme l’un des deux (2) représentants du Conseil Supérieur de la magistrature à la CEI. Et enfin, lorsque j’ai été appelé à présider le Conseil Constitutionnel, je l’ai désigné comme Secrétaire Général. Il a fait le parcours de la formation nécessaire pour assurer cette fonction », a-t-il indiqué.
Étreint d’émotion, mais conscient des défis qui l’attendent à la CEI, Coulibaly-Kuibiert a promis faire tout ce qui est humainement possible pour mériter la confiance de tous. Face à certaines interprétations de la relation père-fils qu’il entretient avec le président du Conseil Constitutionnel, le nouveau président de la CEI a fait une mise au point. « Mon papa m’a formé et m’a éduqué. Il m’a appris à respecter la loi. Il ne m’a pas appris à tricher. Il m’a toujours dit que la loi est la seule autorité à laquelle le juge est soumis. Je tâcherai d’honorer ce qu’il m’a appris », a-t-il soutenu.
Au cours de cette cérémonie riche en émotions, le personnel, les hauts conseillers constitutionnels, ont tous adressé des prières pour le succès de la nouvelle mission de leur ex-collaborateur. Ils lui ont offert également des présents.
A 53 ans, Coulibaly-Kuibiert Ibrahime, le plus jeune président de la CEI actuellement, se trouve à l’épreuve de l’application du code électoral ainsi que la Constitution, deux textes qu’il faut connaître pour présider cette institution.
JOB