Oumé- Un thanatopracteur ou un professionnel dans l’habillement mortuaire, S.D, sollicité à Diégonéfla pour les obsèques d’une dame, M.K, a été appréhendé à la gare routière de la ville par des membres de la famille éplorée pour le vol présumé des accessoires funéraires du corps, a appris l’AIP de source familiale.
Les faits remontent au 4 octobre. Sur invitation de la fille de la défunte, C.K, le professionnel dans l’habillement mortuaire débarque à Diégonéfla en provenance d’Abidjan. Il avait pour mission, après la levée de corps à la morgue de Gagnoa, de changer les vêtements de la « vieille » avant l’ultime séparation.
Une fois dans la cour familiale à Diégonéfla, le moment venu de faire son travail, il manifeste le besoin de rester seul avec la dépouille mortelle. Profitant de cette occasion, il dépouille la défunte de ses plus beaux habits et autres objets de valeur qu’il enfouit dans son sac de voyage avant de refermer le cercueil qui ne sera plus ouvert jusqu’à l’enterrement le lendemain matin à 10h.
Mais la disparition d’un pagne traditionnel placé au chevet du lit mortuaire en guise de décoration va attirer l'attention des membres de la famille, car au moment où la fille de la défunte cherchait ce pagne de valeur, son invité avait déjà pris congé d'eux.
En compagnie de proches, elle met le cap sur la gare où, avec un peu de chance, ils rattrapent le thanatopracteur qui s’apprêtait à monter dans le car. Il est sommé d’accepter une fouille de son sac dans lequel, au final, en plus dudit pagne, la famille éplorée découvre une robe mortuaire, cinq complets de pagnes wax et des bijoux.
Le professionnel dans l’habillement mortuaire est conduit dans la cour familiale pour un arrangement à l’amiable. Après lui avoir repris les autres effets, les membres de la famille lui laissent la robe mortuaire que l’entreprise, qui l’emploie, devra rembourser à 100 mille francs CFA.
dl/fmo/ask
Les faits remontent au 4 octobre. Sur invitation de la fille de la défunte, C.K, le professionnel dans l’habillement mortuaire débarque à Diégonéfla en provenance d’Abidjan. Il avait pour mission, après la levée de corps à la morgue de Gagnoa, de changer les vêtements de la « vieille » avant l’ultime séparation.
Une fois dans la cour familiale à Diégonéfla, le moment venu de faire son travail, il manifeste le besoin de rester seul avec la dépouille mortelle. Profitant de cette occasion, il dépouille la défunte de ses plus beaux habits et autres objets de valeur qu’il enfouit dans son sac de voyage avant de refermer le cercueil qui ne sera plus ouvert jusqu’à l’enterrement le lendemain matin à 10h.
Mais la disparition d’un pagne traditionnel placé au chevet du lit mortuaire en guise de décoration va attirer l'attention des membres de la famille, car au moment où la fille de la défunte cherchait ce pagne de valeur, son invité avait déjà pris congé d'eux.
En compagnie de proches, elle met le cap sur la gare où, avec un peu de chance, ils rattrapent le thanatopracteur qui s’apprêtait à monter dans le car. Il est sommé d’accepter une fouille de son sac dans lequel, au final, en plus dudit pagne, la famille éplorée découvre une robe mortuaire, cinq complets de pagnes wax et des bijoux.
Le professionnel dans l’habillement mortuaire est conduit dans la cour familiale pour un arrangement à l’amiable. Après lui avoir repris les autres effets, les membres de la famille lui laissent la robe mortuaire que l’entreprise, qui l’emploie, devra rembourser à 100 mille francs CFA.
dl/fmo/ask
