Abidjan (Côte d'Ivoire) - Des gamers (joueurs) issus de 12 pays Africains sont attendus à la 3è édition du Festival de l’électronique et du jeu vidéo d’Abidjan (FEJA) prévue du 22 au 24 novembre 2019, a annoncé mercredi le promoteur de l’évènement, Sidick Bakayoko, lors d’une conférence de presse à Abidjan.
Douze pays sont « ciblés » pour cette édition 2019 contre dix l’année dernière, a indiqué face aux caméras à une cérémonie de lancement, M. Bakayoko, qui ambitionne d’impulser l’industrie des jeux électroniques et vidéo en Afrique et particulièrement en Côte d’Ivoire.
Neuf pays sont déjà dans le starting-block, à savoir le Burkina Faso, le Bénin, le Togo, le Ghana, le Nigeria, le Cameroun, le Sénégal, le Mali et la Guinée, tandis que des discussions sont en cours pour la participation de l’Afrique du Sud, de la Tunisie et de Madagascar, a-t-il précisé à APA.
Sur ces trois jours, les participants et les amoureux de jeux vidéo auront droit à « 13 à 14 tournois » dont cinq tournois majeurs avec les jeux « Fifa, PES, Takken, Street fighter et Fortine » ainsi que des tournois de communauté et des Side-events.
Les organisateurs envisagent de donner à ce festival dont l’entrée est gratuite, l’allure d’une «grosse fête » autour de la thématique « Quel écosystème pour favoriser les jeux vidéo africains ». Des panels, des ateliers et des workshops sont prévus pour expliquer cet environnement et son évolution.
Il s’agit, à travers cette plate-forme, de promouvoir l’industrie des jeux électroniques et vidéo, et d’offrir une vitrine aux jeunes Africains afin de challenger d’autres champions à l’international, tout en ouvrant une fenêtre aux développeurs dans l’optique d’inventer des jeux électroniques, a-t-il poursuivi.
Interrogé, Djibril Batchili, champion FEJA 2018 dans la discipline Takken (jeux vidéo de combat), assure revenir participer à cette troisième édition, affirmant qu’il veut « garder le trône ». Pour prendre part à une compétition, les participants sont invités à s’inscrire en ligne à l’adresse www.feja.ci.
On estime à « 2 000 milliards de dollars d’ici à 2022 », les revenus générés par les industries créatives dans le monde dont 10% de part pour les jeux vidéo, qui depuis quelques années brassent plus de revenus que le cinéma, la musique, un gap qui d’ailleurs s’accentue au fil des ans, a relevé M. Bakayoko.
« Plus de 2 000 personnes » sont attendues cette année à ce festival, soutenu par un opérateur de téléphonie mobile, contre « 1 900 participants et plus de 3 000 visiteurs en 2018 ». Cette année encore, les organisateurs prévoient des cash prizes et un voyage du lauréat au Tournoi Esport en Tunisie.
AP/ls
Douze pays sont « ciblés » pour cette édition 2019 contre dix l’année dernière, a indiqué face aux caméras à une cérémonie de lancement, M. Bakayoko, qui ambitionne d’impulser l’industrie des jeux électroniques et vidéo en Afrique et particulièrement en Côte d’Ivoire.
Neuf pays sont déjà dans le starting-block, à savoir le Burkina Faso, le Bénin, le Togo, le Ghana, le Nigeria, le Cameroun, le Sénégal, le Mali et la Guinée, tandis que des discussions sont en cours pour la participation de l’Afrique du Sud, de la Tunisie et de Madagascar, a-t-il précisé à APA.
Sur ces trois jours, les participants et les amoureux de jeux vidéo auront droit à « 13 à 14 tournois » dont cinq tournois majeurs avec les jeux « Fifa, PES, Takken, Street fighter et Fortine » ainsi que des tournois de communauté et des Side-events.
Les organisateurs envisagent de donner à ce festival dont l’entrée est gratuite, l’allure d’une «grosse fête » autour de la thématique « Quel écosystème pour favoriser les jeux vidéo africains ». Des panels, des ateliers et des workshops sont prévus pour expliquer cet environnement et son évolution.
Il s’agit, à travers cette plate-forme, de promouvoir l’industrie des jeux électroniques et vidéo, et d’offrir une vitrine aux jeunes Africains afin de challenger d’autres champions à l’international, tout en ouvrant une fenêtre aux développeurs dans l’optique d’inventer des jeux électroniques, a-t-il poursuivi.
Interrogé, Djibril Batchili, champion FEJA 2018 dans la discipline Takken (jeux vidéo de combat), assure revenir participer à cette troisième édition, affirmant qu’il veut « garder le trône ». Pour prendre part à une compétition, les participants sont invités à s’inscrire en ligne à l’adresse www.feja.ci.
On estime à « 2 000 milliards de dollars d’ici à 2022 », les revenus générés par les industries créatives dans le monde dont 10% de part pour les jeux vidéo, qui depuis quelques années brassent plus de revenus que le cinéma, la musique, un gap qui d’ailleurs s’accentue au fil des ans, a relevé M. Bakayoko.
« Plus de 2 000 personnes » sont attendues cette année à ce festival, soutenu par un opérateur de téléphonie mobile, contre « 1 900 participants et plus de 3 000 visiteurs en 2018 ». Cette année encore, les organisateurs prévoient des cash prizes et un voyage du lauréat au Tournoi Esport en Tunisie.
AP/ls