L’opposition au régime Ouattara est ‘’malade’’ depuis que la nouvelle loi sur la CEI est passée comme une lettre à la poste à l’Assemblée nationale, ensuite au Sénat pour être promulguée par le président de la République le 6 Août 2019. Depuis cette date, l’opposition est sortie de son sommeil profond, piqué très fort où ca lui fait très mal aussi.
Elle a passé hier le plus clair de son temps dans les conférences de presse, fuyant les débats sur la nouvelle loi sur la CEI à elle proposée par le gouvernement ivoirien. Elle a horreur de la contradiction, des débats d’idées. À cet exercice, elle étale comme d’habitude ses limites et carences, son manque de culture politique et myopie intellectuelle. C’est donc pour ces raisons qu’elle est toujours abonnée absente à toutes les sollicitations du gouvernement pour examen dudit projet. Elle croyait ainsi prendre l’équipe gouvernementale à l’usure du temps en recherchant le consensus avec tous les partis politiques et la société civile. Cette opposition a démontré toute sa mauvaise foi et sa malhonnêteté intellectuelle depuis l’ouverture des discussions. Le gouvernement ivoirien a pris le temps d’attendre patiemment autour d’une table de négociation où l’opposition a brillé par son absence et son insolence. Avec qui parlementer ? Fallait-il continuer d’attendre une opposition qui ne se fait pas respecter ? Ce qui devait arriver, arriva. Le gouvernement a donc ‘’ bossé’’ avec les partis et les membres de la société civile décidés d’avancer, de progresser, la date constitutionnelle de tenue de la présidentielle 2020 avançant à grands pas. La grosse machine du régime a été mise en marche pour suivre toutes les étapes du processus qui déboucheront sur une loi prête à être promulguée. Réveillée en sursaut, la voilà qui se démène, qui court dans tous les sens pour dénoncer un passage en force. Alors qu’il n’en est rien du tout.
Une opposition inconséquente
Voilà aujourd’hui l’opposition prise à son propre piège. Rattrapée par la politique de ‘’la chaise vide’’. Elle qui voulait bloquer, empêcher l’organisation de la présidentielle de 2020 en tirant exprès sur le temps imparti. Manque de pot pour elle, la loi qu’elle a refusée de discuter a été déjà votée au parlement, au sénat et promulguée. C’est le temps des remords, des regrets, des pleurs, jérémiades et pleurnicheries sur les ‘’épaules’’ de la Cour africaine des droits de l’Homme et des Peuples, devenue de nos jours, sa seule bouée de sauvetage. ‘’Le médecin après la mort’’, en quelque sorte. La CADHP ne peut rien changer à une loi votée et promulguée. Le salaire de l’immaturité politique ou du manque de sagesse ? Elle n’est pas prête pour les joutes électorales de 2020. Elle a passé son temps dans la divination, une ‘’danse de sorcières’’ autour de cette prochaine présidentielle qu’elle n’est pas sûre de remporter. Car elle n’est pas d’accord que sur ses propres désaccords et divisions internes. La Cour africaine peut-elle la sauver de ce ‘’naufrage collectif’’ ? Car la question qui se pose est la suivante. Où était-elle passée au temps des discussions ? A quoi s’occupait-elle pour sortir aujourd’hui de son refuge ? Est-il possible de revenir sur la chose jugée ? Voilà où conduit l’irresponsabilité de cette opposition qui veut que le pouvoir d’Abidjan la supplie, soit à ses ‘’baskets’’ avant qu’elle ne joue son rôle effectif. Les pleurnicheries de cette opposition contre le régime Ouattara et contre le président de l’Union africaine, le Tchadien Moussa Faki Mahamat sont symptomatiques de son immaturité politique et de son engagement pour une opposition négative et une démocratie toujours ‘’étranglée’’ par les ‘’enfantillages’’.
Igor Wawayou
Elle a passé hier le plus clair de son temps dans les conférences de presse, fuyant les débats sur la nouvelle loi sur la CEI à elle proposée par le gouvernement ivoirien. Elle a horreur de la contradiction, des débats d’idées. À cet exercice, elle étale comme d’habitude ses limites et carences, son manque de culture politique et myopie intellectuelle. C’est donc pour ces raisons qu’elle est toujours abonnée absente à toutes les sollicitations du gouvernement pour examen dudit projet. Elle croyait ainsi prendre l’équipe gouvernementale à l’usure du temps en recherchant le consensus avec tous les partis politiques et la société civile. Cette opposition a démontré toute sa mauvaise foi et sa malhonnêteté intellectuelle depuis l’ouverture des discussions. Le gouvernement ivoirien a pris le temps d’attendre patiemment autour d’une table de négociation où l’opposition a brillé par son absence et son insolence. Avec qui parlementer ? Fallait-il continuer d’attendre une opposition qui ne se fait pas respecter ? Ce qui devait arriver, arriva. Le gouvernement a donc ‘’ bossé’’ avec les partis et les membres de la société civile décidés d’avancer, de progresser, la date constitutionnelle de tenue de la présidentielle 2020 avançant à grands pas. La grosse machine du régime a été mise en marche pour suivre toutes les étapes du processus qui déboucheront sur une loi prête à être promulguée. Réveillée en sursaut, la voilà qui se démène, qui court dans tous les sens pour dénoncer un passage en force. Alors qu’il n’en est rien du tout.
Une opposition inconséquente
Voilà aujourd’hui l’opposition prise à son propre piège. Rattrapée par la politique de ‘’la chaise vide’’. Elle qui voulait bloquer, empêcher l’organisation de la présidentielle de 2020 en tirant exprès sur le temps imparti. Manque de pot pour elle, la loi qu’elle a refusée de discuter a été déjà votée au parlement, au sénat et promulguée. C’est le temps des remords, des regrets, des pleurs, jérémiades et pleurnicheries sur les ‘’épaules’’ de la Cour africaine des droits de l’Homme et des Peuples, devenue de nos jours, sa seule bouée de sauvetage. ‘’Le médecin après la mort’’, en quelque sorte. La CADHP ne peut rien changer à une loi votée et promulguée. Le salaire de l’immaturité politique ou du manque de sagesse ? Elle n’est pas prête pour les joutes électorales de 2020. Elle a passé son temps dans la divination, une ‘’danse de sorcières’’ autour de cette prochaine présidentielle qu’elle n’est pas sûre de remporter. Car elle n’est pas d’accord que sur ses propres désaccords et divisions internes. La Cour africaine peut-elle la sauver de ce ‘’naufrage collectif’’ ? Car la question qui se pose est la suivante. Où était-elle passée au temps des discussions ? A quoi s’occupait-elle pour sortir aujourd’hui de son refuge ? Est-il possible de revenir sur la chose jugée ? Voilà où conduit l’irresponsabilité de cette opposition qui veut que le pouvoir d’Abidjan la supplie, soit à ses ‘’baskets’’ avant qu’elle ne joue son rôle effectif. Les pleurnicheries de cette opposition contre le régime Ouattara et contre le président de l’Union africaine, le Tchadien Moussa Faki Mahamat sont symptomatiques de son immaturité politique et de son engagement pour une opposition négative et une démocratie toujours ‘’étranglée’’ par les ‘’enfantillages’’.
Igor Wawayou