Trois individus présumés trafiquants de l'ivoire ont été arrêtés à Koumassi dans le sud d'Abidjan et déférés au parquet du tribunal d'Abidjan-Plateau pour «détention, circulation et commercialisation illégale de produits fauniques ».
Au moment de leur interpellation, ils avaient en leur possession, deux défenses d'un poids total de 31 kg sectionnés en quatre morceaux.
Selon une note d'information transmise samedi à APA, cette interpellation a été possible grâce à la collaboration des éléments de l'unité de lutte contre la criminalité transnationale organisée (UCT) et de la direction de la police forestière et de l'eau ( DPFE).
« Ces présumés trafiquants sont impliqués dans un réseau criminel international très sophistiqué. Ils faisaient passer en contrebande les Ivoires d'éléphants à travers les frontières de la sous-région, notamment le Burkina Faso où le braconnage est effectué, ensuite l'acheminement vers le marché noir asiatique via Abidjan », explique la note.
Selon le texte, si les trois présumés contrebandiers sont reconnus coupables, ils risquent une peine de prison allant de 2 à 12 mois assortie d'une amende de 3000 à 300.000 FCFA. Le 12 septembre dernier, deux trafiquants de l'ivoire avaient été appréhendés.
Les éléphants d'Afrique continuent de décroître malgré l'interdiction de leur commercialisation déclarée illégale depuis 1989. Chaque année, 20 000 à 30 000 éléphants sont tués pour leurs ivoires selon le Fonds mondial pour la nature ( WWF).
Au moment de leur interpellation, ils avaient en leur possession, deux défenses d'un poids total de 31 kg sectionnés en quatre morceaux.
Selon une note d'information transmise samedi à APA, cette interpellation a été possible grâce à la collaboration des éléments de l'unité de lutte contre la criminalité transnationale organisée (UCT) et de la direction de la police forestière et de l'eau ( DPFE).
« Ces présumés trafiquants sont impliqués dans un réseau criminel international très sophistiqué. Ils faisaient passer en contrebande les Ivoires d'éléphants à travers les frontières de la sous-région, notamment le Burkina Faso où le braconnage est effectué, ensuite l'acheminement vers le marché noir asiatique via Abidjan », explique la note.
Selon le texte, si les trois présumés contrebandiers sont reconnus coupables, ils risquent une peine de prison allant de 2 à 12 mois assortie d'une amende de 3000 à 300.000 FCFA. Le 12 septembre dernier, deux trafiquants de l'ivoire avaient été appréhendés.
Les éléphants d'Afrique continuent de décroître malgré l'interdiction de leur commercialisation déclarée illégale depuis 1989. Chaque année, 20 000 à 30 000 éléphants sont tués pour leurs ivoires selon le Fonds mondial pour la nature ( WWF).