• Les Ivoiriens ne seront pas dupes malgré le langage tribal de Bédié et Gbagbo
Dans moins d’une douzaine d’années, les Ivoiriens iront aux élections pour choisir leur président. L’homme attendu doit poursuivre selon l’entendement des Ivoiriens le travail extraordinairement fait par le président du RHDP, le président de la république. Pour les Ivoiriens, celui à qui doit revenir le poste du président de la république, après les élections de 2020 doit être issu du nouveau parti unifié, le RHDP qui n’a ménagé aucun effort pour transformer la Côte d’Ivoire. Le pays du président Houphouët-Boigny qui n’a plus connu le développement depuis sa mort en 1993 a retrouvé son lustre d’antan après l’accession du président Alassane Ouattara au pouvoir. Avec Alassane Ouattara l’heure n’est plus au bavardage inutile et au verbiage comme le font les partis en lambeaux de Bédié et de Laurent Gbagbo. C’est le bilan qui comptera pour les élections présidentielles et générales de 2020. C’est à juste titre que les Ivoiriens pensent que la présidentielle tend déjà la main au parti RHDP, nouvellement créé dans le cadre de favoriser une paix durable et un développement de la Côte d’Ivoire. Vu le travail éloquent fait par le président de la république, son premier ministre et l’ensemble de son gouvernement sur le terrain, aucun parti politique ne saurait rivaliser le RHDP au moment opportun. C’est bien la preuve du soutien qu’apportent plusieurs chefs et rois du pays. Le doyen des chefs coutumiers, Alico Tégbo pense qu’aucun parti politique ne saurait lever le petit doit pour espérer barrer la route au parti du grand bâtisseur, Alassane Ouattara. La victoire du RHDP ne sera l’objet d’aucune contestation selon un autre chef coutumier Nanan Dodo. Pour ce dernier, le travail extraordinaire fait par le président Alassane Ouattara en huit ans témoignera en faveur du candidat du RHDP en octobre 2020. Le PDCI-Daoukro et le FPI de Gbagbo qui n’ont rien apporté à la Côte d’Ivoire ne mériteront pas la confiance des Ivoiriens. Ces deux partis n’ont fait que semer la désolation et la graine de la division dans ce pays qui pourtant avait besoin du calme et la sérénité après la mort du président Boigny. Le FPI et le PDCI à la place du développement, ont fait le lit de la guerre qui a fait plus de 3000 morts. Le fait d’introduire la notion de l’ivoirité dans la politique nationale plutôt que parler d’émergence et de développement ne mérite plus que les partis de Gbagbo et de Bédié reviennent aux affaires. Ces deux chefs d’Etat qui ont mal interprété le nationalisme n’ont fait que basculer le pays dans la violence verbale et la guerre. Qu’est-ce que ces deux partis apporteront de neuf ou de concret que le président Alassane Ouattara et son parti n’en ont apporté ? Les Ivoiriens ne seront pas dupes malgré le langage tribal de Gbagbo et Bédié.
Romaric SAKO
Dans moins d’une douzaine d’années, les Ivoiriens iront aux élections pour choisir leur président. L’homme attendu doit poursuivre selon l’entendement des Ivoiriens le travail extraordinairement fait par le président du RHDP, le président de la république. Pour les Ivoiriens, celui à qui doit revenir le poste du président de la république, après les élections de 2020 doit être issu du nouveau parti unifié, le RHDP qui n’a ménagé aucun effort pour transformer la Côte d’Ivoire. Le pays du président Houphouët-Boigny qui n’a plus connu le développement depuis sa mort en 1993 a retrouvé son lustre d’antan après l’accession du président Alassane Ouattara au pouvoir. Avec Alassane Ouattara l’heure n’est plus au bavardage inutile et au verbiage comme le font les partis en lambeaux de Bédié et de Laurent Gbagbo. C’est le bilan qui comptera pour les élections présidentielles et générales de 2020. C’est à juste titre que les Ivoiriens pensent que la présidentielle tend déjà la main au parti RHDP, nouvellement créé dans le cadre de favoriser une paix durable et un développement de la Côte d’Ivoire. Vu le travail éloquent fait par le président de la république, son premier ministre et l’ensemble de son gouvernement sur le terrain, aucun parti politique ne saurait rivaliser le RHDP au moment opportun. C’est bien la preuve du soutien qu’apportent plusieurs chefs et rois du pays. Le doyen des chefs coutumiers, Alico Tégbo pense qu’aucun parti politique ne saurait lever le petit doit pour espérer barrer la route au parti du grand bâtisseur, Alassane Ouattara. La victoire du RHDP ne sera l’objet d’aucune contestation selon un autre chef coutumier Nanan Dodo. Pour ce dernier, le travail extraordinaire fait par le président Alassane Ouattara en huit ans témoignera en faveur du candidat du RHDP en octobre 2020. Le PDCI-Daoukro et le FPI de Gbagbo qui n’ont rien apporté à la Côte d’Ivoire ne mériteront pas la confiance des Ivoiriens. Ces deux partis n’ont fait que semer la désolation et la graine de la division dans ce pays qui pourtant avait besoin du calme et la sérénité après la mort du président Boigny. Le FPI et le PDCI à la place du développement, ont fait le lit de la guerre qui a fait plus de 3000 morts. Le fait d’introduire la notion de l’ivoirité dans la politique nationale plutôt que parler d’émergence et de développement ne mérite plus que les partis de Gbagbo et de Bédié reviennent aux affaires. Ces deux chefs d’Etat qui ont mal interprété le nationalisme n’ont fait que basculer le pays dans la violence verbale et la guerre. Qu’est-ce que ces deux partis apporteront de neuf ou de concret que le président Alassane Ouattara et son parti n’en ont apporté ? Les Ivoiriens ne seront pas dupes malgré le langage tribal de Gbagbo et Bédié.
Romaric SAKO