77 officiers stagiaires du premier Cours de Commandement des Unités de Gendarmerie (CCUG) ont reçu leurs diplômes de fin de formation, le mardi 22 octobre, à l’Ecole de Gendarmerie d’Abidjan. Ce Cours, le premier du genre à la Gendarmerie Nationale exclusivement, s’est déroulé du 6 mai au 13 septembre 2019, à l’Ecole de Gendarmerie de Toroguhé.
Durant cette formation, il a été question d’inculquer à ces officiers de Gendarmerie, des notions de commandement qui prennent en compte la spécificité de l’institution, notamment la police judiciaire ou administrative, le maintien de l’ordre, etc. Auparavant, les officiers de la Gendarmerie Nationale suivaient cette formation à l’Ecole des Forces Armées de Zambakro (EFA).
Au terme de la remise de diplômes, Le général de brigade Alexandre Apalo Touré a déclaré que c’est une nouvelle page qui s’écrit dans de l’histoire de cette institution, car « jusque-là, les officiers de la gendarmerie nationale suivaient le cursus de perfectionnement de l’Ecole des forces armées (Efa) ».
Il a ajouté que le nombre de places disponibles au niveau de la formation au sein de l’Efa ne permettait pas d’accueillir un grand nombre d’officiers de Gendarmerie appelés à être formés. C’est à juste titre que ce cursus de formation va contribuer à augmenter les connaissances des officiers. Il a fait savoir que le gendarme, à cheval entre l’option police et militaire, constitue une entité à part entière difficile à définir. « Tout simplement parce que nous sommes à la fois policier et militaire », a-t-il soutenu.
S’adressant aux nouveaux diplômés, le général Alexandre Apalo Touré, les a appelés à cultiver l’humilité, la discipline, la rigueur, la probité et la solidarité. « Décrocher ce diplôme ne doit pas être une fin en soi. Notre métier est de servir la population. Je vous encourage à demeurer des officiers intègres », a-t-il conseillé.
En plus du commandant supérieur de la gendarmerie, la cérémonie a enregistré la présence de hautes autorités des forces de sécurité et de défense, dont le chef d’état-major général des armées, le général de division Lassina Doumbia et le directeur général de la police nationale, le contrôleur général, Youssouf Kouyaté.
Sur 80 officiers inscrits à la formation, trois ont été recalés, deux pour des raisons d’accident et un pour indiscipline.
JOB
Durant cette formation, il a été question d’inculquer à ces officiers de Gendarmerie, des notions de commandement qui prennent en compte la spécificité de l’institution, notamment la police judiciaire ou administrative, le maintien de l’ordre, etc. Auparavant, les officiers de la Gendarmerie Nationale suivaient cette formation à l’Ecole des Forces Armées de Zambakro (EFA).
Au terme de la remise de diplômes, Le général de brigade Alexandre Apalo Touré a déclaré que c’est une nouvelle page qui s’écrit dans de l’histoire de cette institution, car « jusque-là, les officiers de la gendarmerie nationale suivaient le cursus de perfectionnement de l’Ecole des forces armées (Efa) ».
Il a ajouté que le nombre de places disponibles au niveau de la formation au sein de l’Efa ne permettait pas d’accueillir un grand nombre d’officiers de Gendarmerie appelés à être formés. C’est à juste titre que ce cursus de formation va contribuer à augmenter les connaissances des officiers. Il a fait savoir que le gendarme, à cheval entre l’option police et militaire, constitue une entité à part entière difficile à définir. « Tout simplement parce que nous sommes à la fois policier et militaire », a-t-il soutenu.
S’adressant aux nouveaux diplômés, le général Alexandre Apalo Touré, les a appelés à cultiver l’humilité, la discipline, la rigueur, la probité et la solidarité. « Décrocher ce diplôme ne doit pas être une fin en soi. Notre métier est de servir la population. Je vous encourage à demeurer des officiers intègres », a-t-il conseillé.
En plus du commandant supérieur de la gendarmerie, la cérémonie a enregistré la présence de hautes autorités des forces de sécurité et de défense, dont le chef d’état-major général des armées, le général de division Lassina Doumbia et le directeur général de la police nationale, le contrôleur général, Youssouf Kouyaté.
Sur 80 officiers inscrits à la formation, trois ont été recalés, deux pour des raisons d’accident et un pour indiscipline.
JOB