Abidjan - Soixante dix-sept officiers stagiaires, ayant pris part du 6 mai au 13 septembre, au premier cours des commandants d’unités de gendarmerie à Toroguhé, ont reçu, mardi, leur diplôme de fin de formation lors d’une cérémonie à Ecole de gendarmerie d’Abidjan-Cocody.
Selon le commandant des écoles, le colonel Etté Djadji, ce premier cours des commandants d’unités a été rendu possible grâce au leadership et à l’engagement du commandant supérieur de la gendarmerie. Pour lui, l’ouverture de ce cours à Toroguhé est une véritable innovation dans le système de formation continue des officiers de la gendarmerie nationale.
Cette formation à laquelle ont participé 80 officiers stagiaires a porté sur trois domaines précis à savoir le domaine spécifique, le domaine académique et le domaine tactique avec notamment des modules sur la police judiciaire, la gendarmerie territoriale et mobile, les Violences basées sur le genre (VBG), les droits et libertés publiques, la communication par les médias, les missions générales de compagnie et de sureté, etc.
Au terme de ce stage qui a été très éprouvant, selon le jury final dirigé par le colonel Kouakou Eno, 77 officiers tous grades confondus, soit un taux de 97%, ont été déclarés admis. Selon les statistiques, trois ont obtenu une moyenne supérieure à 14/20, 55 ont obtenu une moyenne comprise entre 14 et 13/20 et 19 autres une moyenne entre 13 et 12/20.
A en croire le commandant supérieur de la gendarmerie nationale, le général Touré Apalo Alexandre, la mise en place d’un cours de commandement des unités de gendarmerie a permis de former aujourd’hui un effectif d’officiers un peu plus important, contrairement au nombre de places qui était disponible à l’Ecole des forces armées (EFA) de Bouaké et à Zambakro.
Prodiguant des conseils aux promus, le général Apalo Touré a indiqué qu’il est bon de faire l’apprentissage nécessaire et rester rigoureux. Car un officier qui n’est pas rigoureux ne peut pas tenir un commandement », a-t-il fait rappelé.
Des généraux dont le chef d’Etat major général des armées, le général de division, Lassina Doumbia et le directeur général de la police nationale, le commissaire divisionnaire, Youssouf Kouyaté, ont pris part à cette cérémonie à laquelle un hommage public leur a été rendu par le commandant supérieur de la gendarmerie.
(AIP)
ibo/fmo
Selon le commandant des écoles, le colonel Etté Djadji, ce premier cours des commandants d’unités a été rendu possible grâce au leadership et à l’engagement du commandant supérieur de la gendarmerie. Pour lui, l’ouverture de ce cours à Toroguhé est une véritable innovation dans le système de formation continue des officiers de la gendarmerie nationale.
Cette formation à laquelle ont participé 80 officiers stagiaires a porté sur trois domaines précis à savoir le domaine spécifique, le domaine académique et le domaine tactique avec notamment des modules sur la police judiciaire, la gendarmerie territoriale et mobile, les Violences basées sur le genre (VBG), les droits et libertés publiques, la communication par les médias, les missions générales de compagnie et de sureté, etc.
Au terme de ce stage qui a été très éprouvant, selon le jury final dirigé par le colonel Kouakou Eno, 77 officiers tous grades confondus, soit un taux de 97%, ont été déclarés admis. Selon les statistiques, trois ont obtenu une moyenne supérieure à 14/20, 55 ont obtenu une moyenne comprise entre 14 et 13/20 et 19 autres une moyenne entre 13 et 12/20.
A en croire le commandant supérieur de la gendarmerie nationale, le général Touré Apalo Alexandre, la mise en place d’un cours de commandement des unités de gendarmerie a permis de former aujourd’hui un effectif d’officiers un peu plus important, contrairement au nombre de places qui était disponible à l’Ecole des forces armées (EFA) de Bouaké et à Zambakro.
Prodiguant des conseils aux promus, le général Apalo Touré a indiqué qu’il est bon de faire l’apprentissage nécessaire et rester rigoureux. Car un officier qui n’est pas rigoureux ne peut pas tenir un commandement », a-t-il fait rappelé.
Des généraux dont le chef d’Etat major général des armées, le général de division, Lassina Doumbia et le directeur général de la police nationale, le commissaire divisionnaire, Youssouf Kouyaté, ont pris part à cette cérémonie à laquelle un hommage public leur a été rendu par le commandant supérieur de la gendarmerie.
(AIP)
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