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Société Publié le jeudi 24 octobre 2019 | Abidjan.net

Un collectif de la société civile dénonce un autre cas de viol sur une mineure de 4 ans, le père de la victime suspecté

© Abidjan.net Par PR
Un collectif de la société civile dénonce un autre cas de viol sur une mineure de 4 ans, le père de la victime suspecté
Le collectif de la société civile réunie au sein de l’Organisation Nationale pour l’Enfant, la Femme et la Famille (ONEF) a dénoncé ce mercredi 23 octobre 2019, à son siège de Cocody, un cas de viol sur mineur.
Le collectif de la société civile réunie au sein de l’Organisation Nationale pour l’Enfant, la Femme et la Famille (ONEF) a dénoncé ce mercredi 23 octobre 2019, à son siège de Cocody, un cas de viol sur mineur.

Après le cas de la petite Grâce (nom d’emprunt d’une fillette violée et décédée le 3à septembre dernier au Chu de Cocody), une autre mère, le cœur meurtri, a décidé avec l’appui du collectif de dénoncer les violences sexuelles subies par sa fille âgée de 4ans.

C’est de façon indignée que Mme Kanga épse Caldérat a dénoncé les faits. Selon les propos de la maman qui soupçonne son époux d’être à l’origine de cette insanité, la petite fille a commencé à être visitée sexuellement depuis le mois d’avril.

Même si le père semble nier les accusations de cette dernière, un certificat médical a bien prouvé que l’enfant a été victime d’abus sexuels. Comment et dans quelles conditions? Ces nombreuses questions restent à ce jour sans réponses.

Pour apaiser les souffrances de sa fillette, la mère a fugué du domicile conjugal. Mais, après plusieurs tentatives vaines auprès des autorités pour faire justice à la victile, elle a décidé de s’exprimer par voie de presse. Une marche sera organisée lundi prochain à l’occasion de cette situation afin de réclamer justice et aussi permettre à la victime de recevoir les soins adéquats. « Nous sommes fatigués de vivre les mêmes choses. Les autorités étatiques doivent savoir que la société civile en a marre. Nous allons prendre le devant des choses afin que la justice soit rétablie. Il faut que ça change et que les coupables paient pour leurs crimes », a martelé Mme Georgette Zamblé Rose Bailly au nom des ONG membres du collectif.

La fillette, actuellement réfugiée aux côtés de sa mère, vit avec les séquelles de l’acte odieux commis sur elles entre les jambes, déplore-t-on.

PR
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