Fait historique, le PDCI-RDA, sous la houlette du Président Henri Konan Bédié, a réussi à Yamoussoukro, le samedi 19 octobre, une mobilisation qu’aucune autre formation n’a jusque-là faite. Le Giga meeting aura tenu toutes les promesses. Tant en affluence qu’en qualité et profondeur des discours tenus par le président Bédié et les leaders des partis alliés invités. Ce meeting inoubliable initié, organisé et animé par le PDCI-RDA, seul, après celui coorganisé au parc des Sports de Treichville, le 14 septembre, par le PDCI-RDA, le FPI, les plateformes EDS et CDRP, vient confirmer ce que les responsables du parti doyen ont toujours clamé : Le PDCI-RDA, parti fondateur de la Côte d’Ivoire moderne, parti des masses, parti de paix et d’amour du prochain, est encore et toujours bien ancré dans les esprits des Ivoiriens. Il ne saurait donc faiblir parce qu’à coups d’argent et de menaces, un dernier né des partis politiques dit qu’il doit disparaitre. Le PDCI-RDA, à partir de Yamoussoukro, terre de son fondateur Félix Houphouët-Boigny, a démontré qu’il reste le parti le plus aimé, parce qu’il est celui qui aime le plus les Ivoiriens. Le giga meeting a plus que rassuré le PDCI-RDA et ses alliés du FPI, de EDS, de CDRP, de RACI que le changement par la révolution démocratique est possible, voire imminent. Les Ivoiriens le veulent et n’ont pas boudé leur plaisir de venir le crier à l’occasion de ce meeting qui aura relevé tous les défis. Depuis ce 19 octobre, les commentaires, analyses et spéculations de tous ordres vont bon train. Dans les salons, dans les bureaux, dans les véhicules, dans les QG, dans les bistrots, dans presque tous les espaces, même les plus insoupçonnés. Le point que personne ne nie est que le PDCI-RDA a placé la barre très haut. Cela a provoqué l’ire de certains qui, à tort, avaient pensé que c’en était fini de ce parti ; la joie des autres qui, bien que ne le disant pas à haute voix, caressaient le secret espoir de voir ce géant secoué rebondir et donner la réplique à ces politiciens sans repère qui n’ont d’autre programme que la destruction de l’héritage le plus cher du père de la Nation.
A malin, malin et demi
Au nombre de ce qui se dit après la réussite de ce rassemblement, il y a la rumeur tenace de ce que des cadres anciennement PDCI-RDA puis passés au RHDP (certainement par souci de sauver leurs tabourets et les privilèges y attachés) auraient contribué au financement de ce meeting. La supposée liste de ces personnalités a même été publiée sur les réseaux sociaux. Officiellement, le PDCI-RDA n’a rien dit sur le financement de cette activité, encore moins donné le nom d’un quelconque cadre du RHDP. Au nom de quelle logique le ferait-il d’ailleurs ? Il n’est un secret pour personne qu’une manifestation de cette envergure (un parti d’opposition qui ne manipule pas les ressources de l’Etat) est toujours financée par le parti sur fonds propres, soit par des militants ou des hommes qui croient à la lutte de ce parti.
Ces personnes peuvent financer l’activité du parti de près comme de loin. Soit directement en donnant leur contribution à visage découvert ou indirectement par personnes interposées pour des raisons qui leur sont propres. Toujours est-il que ces personnes apportent leur soutien financier pour des raisons précises. En politique, aucun acte n’étant gratuit et fortuit, ces personnes attendent certainement des retombées de leur soutien. Dans le cas d’espace, financer les activités d’envergure du PDCI-RDA en ce moment de détermination, n’est donc pas anodin. Toutefois, ceux des cadres, en dehors du PDCI-RDA, qui auraient financé indirectement ce meeting de confirmation ne devraient pas être traités comme des mécènes. Ils ont calculé pour leur repli au cas où le PDCI-RDA et ses alliés arriveraient à déboulonner leurs maitres politiques présents.
Avec la calculette dans une main et le gyroscope dans l’autre, ils guettent le moment où le vent tournera pour se prévaloir de ce qu’ils auraient donné par bonté ( ?) au parti, pour espérer se retrouver à nouveau dans les bonnes grâces sans coup férir, réclamer ainsi leur place dans le parti et s’arroger des postes à coups de leurs sacs d’argent ou des factures et prestations qu’ils auraient réglées. Ne serait-ce que pour le respect dû aux militants restés au PDCI-RDA, il est facile et même indécent d’applaudir ceux qui sont "en mission au Rhdp" sinon au "restau" se la coulant douce et bénéficiant de tout le luxe et de tous les avantages. Ils ne souffrent ni de menaces ni de pressions sur eux, encore moins de harcèlement fiscal. Ils mènent une vie de pacha et demain, parce qu'ils se sont enrichis au Rhdp, ils viendront imposer aux gardiens du temple la loi du riche sur ceux qui se sont appauvris pour que le Pdci Rda vive et survive. Sinon, au nom du ventre, chacun pouvait aller au RHDP, y amasser de l’argent, revenir donner des miettes et exiger d’être replacé en tête une fois le vent tourne !
Certes, le PDCI-RDA n’avait pas assez d’argent pour organiser le meeting que tout le monde a vu le 19 octobre à Yamoussoukro, mais le parti n’était pas aussi pauvre que cela. Surtout qu’il compte encore et toujours dans ses rangs des cadres, des élus, des délégués départementaux et communaux, des membres des instances, des militants dévoués qui n’ont pas hésité, un seul instant, à racler le fond de leurs caisses-tiroirs, à vider leurs comptes pour faire de ce meeting un succès retentissant. Ces hommes et femmes engagés sont à saluer et féliciter pour leur fidélité au parti et pour leur foi en de lendemains meilleurs. Ils ont démontré que le PDCI-RDA doit compter sur lui et lui seul et non sur des traîtres ou joueurs de poker, adeptes du pistolet russe.
Par Denis KAH ZION
A malin, malin et demi
Au nombre de ce qui se dit après la réussite de ce rassemblement, il y a la rumeur tenace de ce que des cadres anciennement PDCI-RDA puis passés au RHDP (certainement par souci de sauver leurs tabourets et les privilèges y attachés) auraient contribué au financement de ce meeting. La supposée liste de ces personnalités a même été publiée sur les réseaux sociaux. Officiellement, le PDCI-RDA n’a rien dit sur le financement de cette activité, encore moins donné le nom d’un quelconque cadre du RHDP. Au nom de quelle logique le ferait-il d’ailleurs ? Il n’est un secret pour personne qu’une manifestation de cette envergure (un parti d’opposition qui ne manipule pas les ressources de l’Etat) est toujours financée par le parti sur fonds propres, soit par des militants ou des hommes qui croient à la lutte de ce parti.
Ces personnes peuvent financer l’activité du parti de près comme de loin. Soit directement en donnant leur contribution à visage découvert ou indirectement par personnes interposées pour des raisons qui leur sont propres. Toujours est-il que ces personnes apportent leur soutien financier pour des raisons précises. En politique, aucun acte n’étant gratuit et fortuit, ces personnes attendent certainement des retombées de leur soutien. Dans le cas d’espace, financer les activités d’envergure du PDCI-RDA en ce moment de détermination, n’est donc pas anodin. Toutefois, ceux des cadres, en dehors du PDCI-RDA, qui auraient financé indirectement ce meeting de confirmation ne devraient pas être traités comme des mécènes. Ils ont calculé pour leur repli au cas où le PDCI-RDA et ses alliés arriveraient à déboulonner leurs maitres politiques présents.
Avec la calculette dans une main et le gyroscope dans l’autre, ils guettent le moment où le vent tournera pour se prévaloir de ce qu’ils auraient donné par bonté ( ?) au parti, pour espérer se retrouver à nouveau dans les bonnes grâces sans coup férir, réclamer ainsi leur place dans le parti et s’arroger des postes à coups de leurs sacs d’argent ou des factures et prestations qu’ils auraient réglées. Ne serait-ce que pour le respect dû aux militants restés au PDCI-RDA, il est facile et même indécent d’applaudir ceux qui sont "en mission au Rhdp" sinon au "restau" se la coulant douce et bénéficiant de tout le luxe et de tous les avantages. Ils ne souffrent ni de menaces ni de pressions sur eux, encore moins de harcèlement fiscal. Ils mènent une vie de pacha et demain, parce qu'ils se sont enrichis au Rhdp, ils viendront imposer aux gardiens du temple la loi du riche sur ceux qui se sont appauvris pour que le Pdci Rda vive et survive. Sinon, au nom du ventre, chacun pouvait aller au RHDP, y amasser de l’argent, revenir donner des miettes et exiger d’être replacé en tête une fois le vent tourne !
Certes, le PDCI-RDA n’avait pas assez d’argent pour organiser le meeting que tout le monde a vu le 19 octobre à Yamoussoukro, mais le parti n’était pas aussi pauvre que cela. Surtout qu’il compte encore et toujours dans ses rangs des cadres, des élus, des délégués départementaux et communaux, des membres des instances, des militants dévoués qui n’ont pas hésité, un seul instant, à racler le fond de leurs caisses-tiroirs, à vider leurs comptes pour faire de ce meeting un succès retentissant. Ces hommes et femmes engagés sont à saluer et féliciter pour leur fidélité au parti et pour leur foi en de lendemains meilleurs. Ils ont démontré que le PDCI-RDA doit compter sur lui et lui seul et non sur des traîtres ou joueurs de poker, adeptes du pistolet russe.
Par Denis KAH ZION