Oumé – Une campagne de sensibilisation du programme d’action de la confédération des producteurs ivoiriens de café-cacao, sur la santé et la sécurité du travail des enfants dans la cacaoculture, a été lancée dans le cadre du projet WACAP de l’organisation internationale du travail (OIT), en partenariat avec la confédération des producteurs ivoiriens de café-cacao (COPICO).
Du mardi au jeudi, l’équipe dirigée par le coordonnateur du programme d’action de la confédération des producteurs ivoiriens de café-cacao, Arsène Serge Miagnet, a sillonné les villages de Tiégba, Niégboda, Bronda de la sous-préfecture de Diégonéfla.
Selon le coordonnateur du projet, ce programme a pour objectif immédiat de sensibiliser et mobiliser un ensemble de 5.000 personnes qui seront recensées à travers les villages choisis ainsi que les campements rattachés.
Ce programme d’action de COPICO est dans sa 3ème phase qui consiste à la sensibilisation des chefs et notables des villages cibles ainsi que des chefs de communautés, des jeunes et griots. A la suite de cette phase, 50 enfants seront formés à la sensibilisation pour servir de relais pour la réussite du programme d’action de la COPICO sur le terrain dans leurs villages respectifs, explique-t-on.
(AIP)
dl/kkf/fmo
Du mardi au jeudi, l’équipe dirigée par le coordonnateur du programme d’action de la confédération des producteurs ivoiriens de café-cacao, Arsène Serge Miagnet, a sillonné les villages de Tiégba, Niégboda, Bronda de la sous-préfecture de Diégonéfla.
Selon le coordonnateur du projet, ce programme a pour objectif immédiat de sensibiliser et mobiliser un ensemble de 5.000 personnes qui seront recensées à travers les villages choisis ainsi que les campements rattachés.
Ce programme d’action de COPICO est dans sa 3ème phase qui consiste à la sensibilisation des chefs et notables des villages cibles ainsi que des chefs de communautés, des jeunes et griots. A la suite de cette phase, 50 enfants seront formés à la sensibilisation pour servir de relais pour la réussite du programme d’action de la COPICO sur le terrain dans leurs villages respectifs, explique-t-on.
(AIP)
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