Un atelier de renforcement des capacités des inspecteurs et médecin-inspecteurs du travail qui se tient du 20 au 22 janvier 2021 a été ouvert ce mercredi à Grand Bassam.
Cet atelier qui se déroule dans le cadre du renforcement de capacités des acteurs nationaux contre le travail des enfants, va permettre l’élaboration d’une stratégie de l’inspection du travail pour le secteur du cacao.
En effet, selon l’enquête nationale sur la situation de l’emploi et du travail des enfants de 2013 réalisée avec l’appui du BIT, 28,2% d’enfants âgés de 5 à 17 ans sont impliqués dans le travail des enfants en Côte d’Ivoire.
Premier producteur mondiale de cacao avec plus d’1,5 million de tonnes soit 40% de la production mondiale, la Côte d’Ivoire n’échappe pas aux critiques des partenaires extérieurs qui exigent une production sans travail des enfants dans le respect des critères de durabilité environnementale.
« La formation des acteurs nationaux notamment des inspecteurs et médecin-inspecteurs du travail nous permettra de renforcer les acquis et éviter de compromettre nos perspectives dans un contexte d’augmentation de la pauvreté du fait des impacts de la pandémie de covid-19. Une situation favorable à la résurgence du travail des enfants », a indiqué Nadia N’Da, chef de cabinet de la première dame, présidente du Comité National de Surveillance des actions de lutte contre le travail, la traite et l’exploitation des enfants.
L’année 2021 a été définie par les Nations Unies comme "l’année internationale de l’élimination du travail des enfants ".
Cela nécessite plus d’engagement des États contre ce phénomène pour répondre aux nouveaux défis causés par la covid-19.
P. R.
Cet atelier qui se déroule dans le cadre du renforcement de capacités des acteurs nationaux contre le travail des enfants, va permettre l’élaboration d’une stratégie de l’inspection du travail pour le secteur du cacao.
En effet, selon l’enquête nationale sur la situation de l’emploi et du travail des enfants de 2013 réalisée avec l’appui du BIT, 28,2% d’enfants âgés de 5 à 17 ans sont impliqués dans le travail des enfants en Côte d’Ivoire.
Premier producteur mondiale de cacao avec plus d’1,5 million de tonnes soit 40% de la production mondiale, la Côte d’Ivoire n’échappe pas aux critiques des partenaires extérieurs qui exigent une production sans travail des enfants dans le respect des critères de durabilité environnementale.
« La formation des acteurs nationaux notamment des inspecteurs et médecin-inspecteurs du travail nous permettra de renforcer les acquis et éviter de compromettre nos perspectives dans un contexte d’augmentation de la pauvreté du fait des impacts de la pandémie de covid-19. Une situation favorable à la résurgence du travail des enfants », a indiqué Nadia N’Da, chef de cabinet de la première dame, présidente du Comité National de Surveillance des actions de lutte contre le travail, la traite et l’exploitation des enfants.
L’année 2021 a été définie par les Nations Unies comme "l’année internationale de l’élimination du travail des enfants ".
Cela nécessite plus d’engagement des États contre ce phénomène pour répondre aux nouveaux défis causés par la covid-19.
P. R.