Le ciel sur le sol de la Côte d’Ivoire est bien ‘’ombrageux’’ pour les partisans farouches de l’ancien Chef de l’Etat, Laurent Gbagbo et de son co-accusé Charles Blé Goudé. L’appel interjeté par madame Fatou Bensouda, Procureure de la CPI, vient leur ‘’barrer’’ la route pour un retour au pays natal pour de longues années encore.
Sonnés, ‘’groggy’’, abasourdis, pétrifiés, sans voix. C’est en ces mots qu’on peut résumer ce qui se passe ces jours-ci au sein du FPI de Laurent Gbagbo. Sachant de nos jours que ce n’est pas demain que leur ‘’champion’’ recouvrera la liberté totale, pour être libre de ses mouvements, de la liberté d’aller et de venir, pour aussi solliciter le suffrage de ses concitoyens, le ministre Assoa Adou, Secrétaire général du FPI, tendance Laurent Gbagbo est ces jours-ci dans des pleurs et jérémiades. Et aussi dans la manipulation, l’intox et la désinformation. Il a embouché la trompette du sous-marinage politique contre les autorités ivoiriennes sur RFI, la radio mondiale le jeudi matin 31 Octobre 2019. De manière péremptoire ou sans autre forme de procès, le ministre Assoa Adou voit dans son prisme déformant, encore la main du régime ivoirien. Pour lui, le pouvoir d’Abidjan serait celui qui tire les ficelles ou encore les marrons du feu. Comme à l’accoutumée, le Secrétaire général du FPI, ‘’morceau’’ laissé à Laurent Gbagbo n’a pas cherché ailleurs. Il a le bouc émissaire, c’est le pouvoir d’Abidjan. Un raccourci comme sait le prendre l’opposition significative.
Qui voit toujours, sans preuve d’ailleurs, partout, la main du président Ouattara. Le Chef de l’Etat ivoirien a-t-il vraiment le pouvoir d’interférer dans un procès qui relève de la justice internationale ? Le FPI n’est-il pas en train de tout exagérer dans ce qui arrive depuis le 11 Avril 2011 à leu ‘’guide’’ ? Assoa Adou ne donne t-il pas ainsi un pouvoir ‘’d’extra-territorialité’’ au chef de l’exécutif ivoirien ? Autre question à M. le Secrétaire Général de ce ‘’morceau’’ du FPI, est-il en train de nous dire que c’est la Côte d’Ivoire qui assure actuellement la présidence de la CPI ? La couleuvre est vraiment trop grosse pour être avalée. Le président Alassane Ouattara et le gouvernement du Premier ministre Amadou Gon Coulibaly sont étrangers aux démêlés du duo Gbagbo-Blé Goudé à la CPI. N’est-ce pas un autre ‘’pétard mouillé’’, une fausse information fabriquée dans les ‘’laboratoires d’intox’’ de la Russie indexée le même jeudi 31 Octobre 2019 sur la radio mondiale d’être le lieu où sont ‘’préparées’’ de fausses informations sur des pays comme la Côte d’Ivoire, le Cameroun, la RDC etc. ?
Le ministre Assoa Adou aurait-il des connexions dans ce grand pays de l’Europe de l’Est pour ‘’servir fréquemment des allégations mensongères’’ sur les autorités ivoiriennes en vue de ternir leur image à l’extérieur ? Rappelons ici au Secrétaire général de cet ‘’autre morceau’’ du FPI qu’il s’agit ici d’une affaire judiciaire qui se déroule à plus de 6.000 km à vol d’oiseau d’Abidjan et donc très loin du regard du pouvoir d’Abidjan dont le rôle s’est limité seulement hier au transfèrement à la CPI des sieurs Laurent Koudou Gbagbo et Charles Blé Goudé, sans plus. Tout le reste relève de la compétence de la Procureure de la CPI qui est ici dite bien fondée dans sa démarche. Elle est bien dans ce cas dans son rôle de celle qui doit poursuivre toutes les personnes accusées de crimes contre l’humanité, crimes de guerre, viols, assassinats et autres crimes économiques.
Le FPI ne serait-il pas en train de chercher noise, de faire un mauvais procès au pouvoir d’Abidjan ? Car il n’est pas celui qui dicte sa conduite à madame Fatou Bensouda. Il faut donc arrêter de voir partout la main du gouvernement ivoirien dans la poursuite de ce procès. C’est dénier à la Procureure de la CPI son pouvoir de poursuivre des personnes soupçonnées de crimes contre l’humanité. Il leur faut aujourd’hui arrêter de voir partout ceux qui ne veulent pas du retour de leur ‘’leader’’. C’est un grossier mensonge.
Igor Wawayou.
Sonnés, ‘’groggy’’, abasourdis, pétrifiés, sans voix. C’est en ces mots qu’on peut résumer ce qui se passe ces jours-ci au sein du FPI de Laurent Gbagbo. Sachant de nos jours que ce n’est pas demain que leur ‘’champion’’ recouvrera la liberté totale, pour être libre de ses mouvements, de la liberté d’aller et de venir, pour aussi solliciter le suffrage de ses concitoyens, le ministre Assoa Adou, Secrétaire général du FPI, tendance Laurent Gbagbo est ces jours-ci dans des pleurs et jérémiades. Et aussi dans la manipulation, l’intox et la désinformation. Il a embouché la trompette du sous-marinage politique contre les autorités ivoiriennes sur RFI, la radio mondiale le jeudi matin 31 Octobre 2019. De manière péremptoire ou sans autre forme de procès, le ministre Assoa Adou voit dans son prisme déformant, encore la main du régime ivoirien. Pour lui, le pouvoir d’Abidjan serait celui qui tire les ficelles ou encore les marrons du feu. Comme à l’accoutumée, le Secrétaire général du FPI, ‘’morceau’’ laissé à Laurent Gbagbo n’a pas cherché ailleurs. Il a le bouc émissaire, c’est le pouvoir d’Abidjan. Un raccourci comme sait le prendre l’opposition significative.
Qui voit toujours, sans preuve d’ailleurs, partout, la main du président Ouattara. Le Chef de l’Etat ivoirien a-t-il vraiment le pouvoir d’interférer dans un procès qui relève de la justice internationale ? Le FPI n’est-il pas en train de tout exagérer dans ce qui arrive depuis le 11 Avril 2011 à leu ‘’guide’’ ? Assoa Adou ne donne t-il pas ainsi un pouvoir ‘’d’extra-territorialité’’ au chef de l’exécutif ivoirien ? Autre question à M. le Secrétaire Général de ce ‘’morceau’’ du FPI, est-il en train de nous dire que c’est la Côte d’Ivoire qui assure actuellement la présidence de la CPI ? La couleuvre est vraiment trop grosse pour être avalée. Le président Alassane Ouattara et le gouvernement du Premier ministre Amadou Gon Coulibaly sont étrangers aux démêlés du duo Gbagbo-Blé Goudé à la CPI. N’est-ce pas un autre ‘’pétard mouillé’’, une fausse information fabriquée dans les ‘’laboratoires d’intox’’ de la Russie indexée le même jeudi 31 Octobre 2019 sur la radio mondiale d’être le lieu où sont ‘’préparées’’ de fausses informations sur des pays comme la Côte d’Ivoire, le Cameroun, la RDC etc. ?
Le ministre Assoa Adou aurait-il des connexions dans ce grand pays de l’Europe de l’Est pour ‘’servir fréquemment des allégations mensongères’’ sur les autorités ivoiriennes en vue de ternir leur image à l’extérieur ? Rappelons ici au Secrétaire général de cet ‘’autre morceau’’ du FPI qu’il s’agit ici d’une affaire judiciaire qui se déroule à plus de 6.000 km à vol d’oiseau d’Abidjan et donc très loin du regard du pouvoir d’Abidjan dont le rôle s’est limité seulement hier au transfèrement à la CPI des sieurs Laurent Koudou Gbagbo et Charles Blé Goudé, sans plus. Tout le reste relève de la compétence de la Procureure de la CPI qui est ici dite bien fondée dans sa démarche. Elle est bien dans ce cas dans son rôle de celle qui doit poursuivre toutes les personnes accusées de crimes contre l’humanité, crimes de guerre, viols, assassinats et autres crimes économiques.
Le FPI ne serait-il pas en train de chercher noise, de faire un mauvais procès au pouvoir d’Abidjan ? Car il n’est pas celui qui dicte sa conduite à madame Fatou Bensouda. Il faut donc arrêter de voir partout la main du gouvernement ivoirien dans la poursuite de ce procès. C’est dénier à la Procureure de la CPI son pouvoir de poursuivre des personnes soupçonnées de crimes contre l’humanité. Il leur faut aujourd’hui arrêter de voir partout ceux qui ne veulent pas du retour de leur ‘’leader’’. C’est un grossier mensonge.
Igor Wawayou.