Pour l’élection présidentielle de 2020, le député de Sago-Dakpadou, (département de Sassandra) ne se pose plus de question. Kébé Mamadou a déjà son candidat, et il l’a fait savoir ce samedi 23 novembre 2019, à une cérémonie organisée au centre culturel Jacques Aka de Bouaké, par des jeunes du Rassemblement des Houphouëstistes rassemblés au sein du Collectif des mouvements et associations pour le développement et l’émergence (Comade). Le président du mouvement politique, ‘’Synergie 2020’’, a annoncé son soutien au Premier ministre Amadou Gon Coulibaly pour succéder au président de la République, Alassane Ouattara, au pouvoir depuis 2011. « Notre pays a besoin de modèle. Nous, jeunes, avons besoins de modèle pour diriger notre pays », a justifié le député Kébé Mahamadou qui s’adressait aux jeunes du Comade à la tribune organisée par ceux-ci autour du thème : ‘’Quelles stratégies pour une victoire du Rhdp en 2020 ? ‘’.
Par « modèle », l’orateur entendait amener son auditoire à considérer les valeurs intrinsèques des différents prétendants au fauteuil présidentiel en 2020. Sans détours, il pense que celui qui « incarne au mieux la fidélité, la loyauté, le travail, c’est Amadou Gon Coulibaly », actuel chef du gouvernement ivoirien. C’est pourquoi, il a invité les jeunes à « investir les villes, villages et hameaux pour porter ce message » quand bien même, le jeune député précise qu’il « s’alignera » sur le choix de son parti si celui-ci venait à décider autre chose.
Faut-il le noter, jusqu’à présent, aucun cadre du parti au pouvoir ne s’est officiellement déclaré candidat à la succession d’Alassane Ouattara qui finit son deuxième mandat à la tête du pays dans moins de 11 mois.
N.K (Correspondance régionale)
Par « modèle », l’orateur entendait amener son auditoire à considérer les valeurs intrinsèques des différents prétendants au fauteuil présidentiel en 2020. Sans détours, il pense que celui qui « incarne au mieux la fidélité, la loyauté, le travail, c’est Amadou Gon Coulibaly », actuel chef du gouvernement ivoirien. C’est pourquoi, il a invité les jeunes à « investir les villes, villages et hameaux pour porter ce message » quand bien même, le jeune député précise qu’il « s’alignera » sur le choix de son parti si celui-ci venait à décider autre chose.
Faut-il le noter, jusqu’à présent, aucun cadre du parti au pouvoir ne s’est officiellement déclaré candidat à la succession d’Alassane Ouattara qui finit son deuxième mandat à la tête du pays dans moins de 11 mois.
N.K (Correspondance régionale)