Invité du plateau SARA TV 2019, ce mardi 26 novembre, le Directeur Général du Conseil coton et anacarde, Dr Coulibaly Adama, s’est exprimé en présence des journalistes, sur les défis de la transformation.
Prenant la parole, Adama Coulibaly a présenté les conditions à remplir pour être un transformateur dans la filière.
« En effet, pour devenir un transformateur en Côte d’ivoire, il faudrait avoir un agrément annuel auprès du commissaire de contrôle de l’anacarde, dans le but de contrôler et réguler l’ensemble des acteurs » a déclaré le Directeur Général.
Poursuivant, il a dressé le bilan de sa filière depuis le début de son exercice à la tête dudit conseil en 2011.
« En 2011, la production de la noix de cajou était de 120 000 tonnes et aujourd’hui à 468 000 tonnes » a indiqué le premier responsable du Conseil coton et anacarde pour ensuite mettre en relief les défis majeurs de son institution en paraphrasant le Président Alassane Ouattara.
« Le défi majeur c’est la transformation locale de ces produits agricoles » avait dit le président Alassane Ouattara, lors de sa visite au SARA 2019, face au manque d’équipement, de connaissance de la population sur l’anacarde et de financement des acteurs de la filière ».
Plusieurs conventions commerciales et des partenariats ont été signés en vue d’améliorer l’accès des acteurs de la filière au marché international, notamment avec l’institut Tony Blair dans la filière textile et avec la primature pour les unités de transformations, a indiqué Adama Coulibaly.
Après le Vietnam, l’Inde et le Brésil, la Côte d’Ivoire possède 10% du volume de la transformation mondiale.
« C’est pour faire face à ces nombreux obstacles que dans les jours à venir nous allons inaugurer le CITA (Centre ivoirien de technologie de l’anacarde) à Yamoussoukro, en vue de former et éduquer les acteurs de la filière » a annoncé Dr Adama Coulibaly.
JOB
Prenant la parole, Adama Coulibaly a présenté les conditions à remplir pour être un transformateur dans la filière.
« En effet, pour devenir un transformateur en Côte d’ivoire, il faudrait avoir un agrément annuel auprès du commissaire de contrôle de l’anacarde, dans le but de contrôler et réguler l’ensemble des acteurs » a déclaré le Directeur Général.
Poursuivant, il a dressé le bilan de sa filière depuis le début de son exercice à la tête dudit conseil en 2011.
« En 2011, la production de la noix de cajou était de 120 000 tonnes et aujourd’hui à 468 000 tonnes » a indiqué le premier responsable du Conseil coton et anacarde pour ensuite mettre en relief les défis majeurs de son institution en paraphrasant le Président Alassane Ouattara.
« Le défi majeur c’est la transformation locale de ces produits agricoles » avait dit le président Alassane Ouattara, lors de sa visite au SARA 2019, face au manque d’équipement, de connaissance de la population sur l’anacarde et de financement des acteurs de la filière ».
Plusieurs conventions commerciales et des partenariats ont été signés en vue d’améliorer l’accès des acteurs de la filière au marché international, notamment avec l’institut Tony Blair dans la filière textile et avec la primature pour les unités de transformations, a indiqué Adama Coulibaly.
Après le Vietnam, l’Inde et le Brésil, la Côte d’Ivoire possède 10% du volume de la transformation mondiale.
« C’est pour faire face à ces nombreux obstacles que dans les jours à venir nous allons inaugurer le CITA (Centre ivoirien de technologie de l’anacarde) à Yamoussoukro, en vue de former et éduquer les acteurs de la filière » a annoncé Dr Adama Coulibaly.
JOB