La Police spéciale de sécurité routière ( PSSR), une nouvelle unité du ministère ivoirien des transports visant à lutter contre les accidents de la route, a débuté officiellement ses activités à l’occasion de la visite d’État du président de de la République Alassane Ouattara dans la région du Hambol (Centre-Nord), a-t-on appris de source officielle.
« La Police spéciale de sécurité routière (PSSR) du ministère des Transports est désormais opérationnelle. Elle a procédé à sa première sortie officielle à l’occasion de la visite d’Etat du Président de la République Alassane Ouattara dans la région du Hambol. Elle a déployé la grosse artillerie. Ce sont au total 10 véhicules, 10 motos et une trentaine de policiers qui se sont mobilisés », rapporte une note d’information transmise samedi à APA.
Cette nouvelle institution dédiée à la sécurité routière a entre pour missions de sensibiliser les usagers, de faire la dissuasion et de prévenir les accidents de la route.
« Il y a la dimension préventive mais il y a aussi la répression. La police spéciale de la sécurité routière combine ces deux entités. Nous avons travaillé spécifiquement sur la sensibilisation, nous avons fait un peu de répression mais c’est un début de déploiement...», a assuré dans la note, le commissaire principal Touré Abdul-Kader, le directeur chargé de la police spéciale de la sécurité routière au ministère des transports.
« La question de la sécurité routière trouve une réponse. Tous les moyens pour empêcher les accidents sont en train d’être mis à notre disposition par le ministère des Transports » a-t-il ajouté, précisant que son unité qui a une dimension nationale, « va monter en puissance » avec des fonctionnaires de police dont l’intégrité ne « souffrira d’aucune ambiguïté ».
Poursuivant, il a annoncé une seconde dimension de ce projet de police spéciale de sécurité routière dénommée « Système de transport intelligent » ( STI). Ce système, a-t-il fait savoir, comporte la vidéo verbalisation et empêchera l’usager et le policier d’avoir des « échanges d’argent » en permanence.
« La sécurité routière, ce n’est pas seulement qu’Abidjan. C’est vrai que 60% des cas d’accidents sont relevés à Abidjan. On consolide une base solide et l’extension se fera pour répondre aux préoccupations des ivoiriens» a promis le Commissaire Touré.
Selon le Groupement des sapeurs-pompiers militaires ( GSPM), les accidents de la circulation ont fait 12 564 victimes dont 303 morts en Côte d’Ivoire au premier semestre 2019.
LB/ls/APA
« La Police spéciale de sécurité routière (PSSR) du ministère des Transports est désormais opérationnelle. Elle a procédé à sa première sortie officielle à l’occasion de la visite d’Etat du Président de la République Alassane Ouattara dans la région du Hambol. Elle a déployé la grosse artillerie. Ce sont au total 10 véhicules, 10 motos et une trentaine de policiers qui se sont mobilisés », rapporte une note d’information transmise samedi à APA.
Cette nouvelle institution dédiée à la sécurité routière a entre pour missions de sensibiliser les usagers, de faire la dissuasion et de prévenir les accidents de la route.
« Il y a la dimension préventive mais il y a aussi la répression. La police spéciale de la sécurité routière combine ces deux entités. Nous avons travaillé spécifiquement sur la sensibilisation, nous avons fait un peu de répression mais c’est un début de déploiement...», a assuré dans la note, le commissaire principal Touré Abdul-Kader, le directeur chargé de la police spéciale de la sécurité routière au ministère des transports.
« La question de la sécurité routière trouve une réponse. Tous les moyens pour empêcher les accidents sont en train d’être mis à notre disposition par le ministère des Transports » a-t-il ajouté, précisant que son unité qui a une dimension nationale, « va monter en puissance » avec des fonctionnaires de police dont l’intégrité ne « souffrira d’aucune ambiguïté ».
Poursuivant, il a annoncé une seconde dimension de ce projet de police spéciale de sécurité routière dénommée « Système de transport intelligent » ( STI). Ce système, a-t-il fait savoir, comporte la vidéo verbalisation et empêchera l’usager et le policier d’avoir des « échanges d’argent » en permanence.
« La sécurité routière, ce n’est pas seulement qu’Abidjan. C’est vrai que 60% des cas d’accidents sont relevés à Abidjan. On consolide une base solide et l’extension se fera pour répondre aux préoccupations des ivoiriens» a promis le Commissaire Touré.
Selon le Groupement des sapeurs-pompiers militaires ( GSPM), les accidents de la circulation ont fait 12 564 victimes dont 303 morts en Côte d’Ivoire au premier semestre 2019.
LB/ls/APA