Surpris par sa compagne le pédophile porte plainte contre sa famille
Tolérée dans certains milieux africains, comme en Cote d’Ivoire, la pratique de la pédophilie peine toutefois à être acceptée dans de nombreuses familles qui n’hésitent pas à traquer ou à vouer à la vindicte, populaire, ceux des leurs qui s’y adonnent.
C’est ce cas que vivent le jeune Zadi Madou Charles (il est né en 1998 à Dobé s/p de Gagnoa) gérant de cabine à Abidjan et son cousin Azia Pacôme qui lui aurait initié à la pédophilie.
Tout se passait bien pour les deux, « tourtereaux » jusqu'à ce jour du 15 janvier 2019 où ils furent surpris en pleins ébats (avec ledit cousin) par Kouamé Edith celle avec laquelle dans la chambre commune qu’elle partageait avec Zadi Madou, son concubin.
Informée par celle-ci pour ce qu’elle considère comme un acte grave, une atteinte aux bonnes mœurs, la famille de son homme (Zadi Madou) rentre dans une colère noire du fait que deux de ses membres, en l’occurrence (Madou Zadi Charles et Azia Pacôme) soient des pédophiles. Ce qu’elle ne peut tolérer. Encore moins, laisser prospérer.
Dès lors, un plan stratégique à relents machiavéliques est concocté pour neutraliser ces deux jeunes rebelles aux us et coutumes ancestrales. Des menaces de mort pleuvent de toutes parts qui finissent par avoir raison des deux frères qui prennent la fuite.
Pour desserrer l’étau qui se refermait sur eux après avoir été ligotés et rudoyés, Madou Zadi informe sa mère rachelle Ozoua vivant à Lyon en France de l’infortune qu’il vit avec son cousin.
Sur les conseils de cette dernière, Madou Zadi porte plainte contre les membres de sa famille biologique. Plainte recevable selon les autorités judiciaires mais qui, curieusement, neuf mois après, tardent à donner une suite définitive à cette plainte qui fait couler beaucoup de salive dans la région du Goh.
Une correspondance particulière de Stéphanie Blé
Surpris en pleins ébats, deux pédophiles
Tolérée dans certains milieux africains, comme en Cote d’Ivoire, la pratique de la pédophilie peine toutefois à être acceptée dans de nombreuses familles qui n’hésitent pas à traquer ou à vouer à la vindicte, populaire, ceux des leurs qui s’y adonnent.
C’est ce cas que vivent le jeune Zadi Madou Charles (il est né en 1998 à Dobé s/p de Gagnoa) gérant de cabine à Abidjan et son cousin Azia Pacôme qui lui aurait initié à la pédophilie.
Tout se passait bien pour les deux, « tourtereaux » jusqu'à ce jour du 15 janvier 2019 où ils furent surpris en pleins ébats (avec ledit cousin) par Kouamé Edith celle avec laquelle dans la chambre commune qu’elle partageait avec Zadi Madou, son concubin.
Informée par celle-ci pour ce qu’elle considère comme un acte grave, une atteinte aux bonnes mœurs, la famille de son homme (Zadi Madou) rentre dans une colère noire du fait que deux de ses membres, en l’occurrence (Madou Zadi Charles et Azia Pacôme) soient des pédophiles. Ce qu’elle ne peut tolérer. Encore moins, laisser prospérer.
Dès lors, un plan stratégique à relents machiavéliques est concocté pour neutraliser ces deux jeunes rebelles aux us et coutumes ancestrales. Des menaces de mort pleuvent de toutes parts qui finissent par avoir raison des deux frères qui prennent la fuite.
Pour desserrer l’étau qui se refermait sur eux après avoir été ligotés et rudoyés, Madou Zadi informe sa mère rachelle Ozoua vivant à Lyon en France de l’infortune qu’il vit avec son cousin.
Sur les conseils de cette dernière, Madou Zadi porte plainte contre les membres de sa famille biologique. Plainte recevable selon les autorités judiciaires mais qui, curieusement, neuf mois après, tardent à donner une suite définitive à cette plainte qui fait couler beaucoup de salive dans la région du Goh.
Une correspondance particulière de Stéphanie Blé
Surpris en pleins ébats, deux pédophiles