La cérémonie de lancement des activités de recherche de l’axe biotechnologie s’est déroulée ce jeudi 12 décembre 2019, à l’Université Nangui-Abrogoua d’Abobo (UNA). Cet atelier s’inscrit dans le cadre du projet de promotion de la compétitivité de la chaine
de valeurs de l’anacarde. Le thème choisi pour ces travaux est : ’’Développement d’outils biotechnologiques pour les analyses moléculaires et la culture in vitro d’anacarde’’.
A l’ouverture de ces réflexions, le vice-président de l’UNA, prof Bohoua Louis, a posé un constat. « La production de l’anacarde provient des arbres, l’identification des arbres hauts producteurs, leur caractérisation génétique ainsi que le développement de protocole de régénération en vue de leur conservation ex-situ, s’avère donc une priorité majeure dans tout programme d’amélioration génétique ».
Il a fait savoir également que pour réussir dans cette mission d’amélioration génétique de l’anacarde, des efforts concertés doivent être fournis à différents niveaux.
Dans cette veine, le chargé du programme du FIRCA (Fonds interprofessionnel pour la recherche et le conseil agricole), Nonkpin Eman, a encouragé l’UNA à poursuivre la collaboration multi-institutionnelle et transdisciplinaire, qui a permis la mutualisation des compétences et la mise en place du PNRA (Programme national de recherche sur l’anacarde).
Quant à Dr Ouattara Mariam, représentante du Conseil coton-anacarde, pour elle, ce programme intervient à une étape décisive de la réforme de ladite filière. Selon elle du point de vue de la production, le verger actuel est composé de plants non sélectionnés et d’origines diverses, entrainant une baisse de rendement (500 Kg/Hectare), malgré la première place de producteur mondial avec 760 00 tonnes. Ce pourquoi, elle a exhorté les institutions de recherche, les pôles scientifiques universitaires, à s’impliquer dans le PNRA à travers la mise à contribution des résultats de leurs recherches.
Notons que les objectifs de ce projet de développement d’outils biotechnologiques pour les analyses moléculaires et la culture in vitro d’anacardier ont été présentés par son Coordonnateur, professeur Zoro Bi. Il s’agit de mettre au point des marqueurs d’identité génétique, de certification et de sélection variétale d’arbres hauts producteurs. A cela, s’ajoute le développement des techniques de régénération in vitro des plants diffusés et conservés en Côte d’ivoire.
JOB
de valeurs de l’anacarde. Le thème choisi pour ces travaux est : ’’Développement d’outils biotechnologiques pour les analyses moléculaires et la culture in vitro d’anacarde’’.
A l’ouverture de ces réflexions, le vice-président de l’UNA, prof Bohoua Louis, a posé un constat. « La production de l’anacarde provient des arbres, l’identification des arbres hauts producteurs, leur caractérisation génétique ainsi que le développement de protocole de régénération en vue de leur conservation ex-situ, s’avère donc une priorité majeure dans tout programme d’amélioration génétique ».
Il a fait savoir également que pour réussir dans cette mission d’amélioration génétique de l’anacarde, des efforts concertés doivent être fournis à différents niveaux.
Dans cette veine, le chargé du programme du FIRCA (Fonds interprofessionnel pour la recherche et le conseil agricole), Nonkpin Eman, a encouragé l’UNA à poursuivre la collaboration multi-institutionnelle et transdisciplinaire, qui a permis la mutualisation des compétences et la mise en place du PNRA (Programme national de recherche sur l’anacarde).
Quant à Dr Ouattara Mariam, représentante du Conseil coton-anacarde, pour elle, ce programme intervient à une étape décisive de la réforme de ladite filière. Selon elle du point de vue de la production, le verger actuel est composé de plants non sélectionnés et d’origines diverses, entrainant une baisse de rendement (500 Kg/Hectare), malgré la première place de producteur mondial avec 760 00 tonnes. Ce pourquoi, elle a exhorté les institutions de recherche, les pôles scientifiques universitaires, à s’impliquer dans le PNRA à travers la mise à contribution des résultats de leurs recherches.
Notons que les objectifs de ce projet de développement d’outils biotechnologiques pour les analyses moléculaires et la culture in vitro d’anacardier ont été présentés par son Coordonnateur, professeur Zoro Bi. Il s’agit de mettre au point des marqueurs d’identité génétique, de certification et de sélection variétale d’arbres hauts producteurs. A cela, s’ajoute le développement des techniques de régénération in vitro des plants diffusés et conservés en Côte d’ivoire.
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