La 2è édition de la Journée du Civisme et de la Citoyenneté, à l’initiative du club Les icônes de la Paix de l’université Nangui Abrogoua présidé par SORO T. Drissa, s’est tenue ce jeudi 12 décembre 2019 à l’université NANGUI ABROGOUA d’Abobo-Adjamé.
S’adressant aux invités et étudiants venus nombreux, SORO T. Drissa, président du club Les icônes de la Paix de l’université Nangui Abrogoua, a situé le contexte de cette rencontre: " Cette journée se veut un cadre de réflexion sur les valeurs de Paix, de non-violence, de civisme et de citoyenneté prônées par ladite association. En initiant donc cette journée, les Icônes de la Paix voudraient inviter la jeunesse ivoirienne en générale et la jeunesse estudiantine en particulier à faire un grand sacrifice : celui d’être des citoyens engagés, en tournant définitivement le dos à la violence et à l’incivisme."
Cette journée d’échange et d’enseignement, autour de la notion de paix, a permis à l’auditoire essentiellement constitué d’étudiants, d’apprendre et de comprendre le rôle des apprenants, des enseignants dans la consolidation du climat de paix gage d’un développement durable.
La valeur et la place de la paix dans l’éducation permanente des jeunes, citoyens de demain, est l’essentiel de ce qui ressort des différentes interventions relatives à plusieurs sous-thèmes dont " Étudiants, enseignants et personnel administratif: rôle de chaque entité pour une université paisible et propice aux études" ; Prévention et gestion des conflits en milieu universitaire", et singulièrement " Contribution des clubs de paix pour une paix durable en milieu estudiantin" développé par docteur DOUMBIA Diénébou, représentant de la Fondation Félix Houphouët Boigny pour la recherche de la paix de Yamoussoukro.
Dans son propos, elle a mis en relief l’importance particulière de l’éducation des apprenants notamment celle des étudiants qui constituent l’élite avangardiste et le futur de la Côte d’Ivoire. Elle à cet effet cité le professeur LY Ramata BAKAYOKO en ces termes: " Je vous exhorte à poser sur le campus des actes de non-violence. C’est à ce prix que l’activité académique pourra se dérouler dans un climat apaisé et les universités ivoiriennes pourront se hisser au niveau des meilleures universités du monde et contribuer à l’émergence de la Côte d’Ivoire.". La citant, docteur DOUMBIA Diénébou a voulu interpeller la conscience collective et particulièrement celle des enseignants, des étudiants et des autorités quant à la poursuite permanente et accrue de l’enseignement de la paix et du dialogue. À ce propos, elle a loué l’initiative de la création et de la formation des membres des clubs de paix en milieu universitaire sur le thème "vie associative, leadership et culture de la paix", car dira-t-elle:" celui qui veut la paix, prépare la paix."
La Côte d’Ivoire a besoin d’hommes et de femmes de paix qui tiennent des discours de paix, car les discours de haine conduisent aux crimes de haine. Il est alors vital aujourd’hui de transformer les comportements violents en comportements pacifiques. Les institutions universitaires ont besoin d’une élite qui croit en la paix, qui lutte pour l’appropriation des valeurs de la culture de la paix, a renchéri docteur DOUMBIA Diénébou.
Dans son exposé, elle a poursuivi en signalant que la paix n’est possible que par la construction collective afin de favoriser le vivre ensemble prôné par le président de la république, son Excellence Alassane OUATTARA. Pour cela, les organisation de jeunesse doivent s’impliquer dans la promotion de la culture de la paix par des formes d’engagement multiples notamment joindre l’acte à la parole.
Puisque l’Éducation à la paix vise à offrir la paix comme héritage à transmettre aux générations futures en leur montrant la nécessité de préserver la paix, selon le docteur DOUMBIA Diénébou, il est impératif de comprendre les motivations profonde de Félix Houphouët Boigny, l’apôtre de la paix qu’elle mentionne pour clore son propos. "Notre combat n’est pas terminé. Il ne sera jamais terminé. Le vrai combat demeure, c’est le combat de la paix."
Étaient présents à cette cérémonie, Madame la Directrice de la Promotion de la Famille, représentant Madame le Ministre de la Femme, de la Famille et de l’Enfant, mesdames et messieurs les représentants du Ministre de l’enseignement Supérieur et de la Recherche Scientifique, et du Directeur des Œuvres Universitaires, de la Vie Associative et du Genre (DOUVAG), du Ministre de la Promotion de la Jeunesse et de l’Emploi des Jeunes, et du Maire d’Adjamé. Mesdames et Messieurs les Responsables d’Associations et de Syndicats dont la FESCI avec la présence remarquée de son président.
S’adressant aux invités et étudiants venus nombreux, SORO T. Drissa, président du club Les icônes de la Paix de l’université Nangui Abrogoua, a situé le contexte de cette rencontre: " Cette journée se veut un cadre de réflexion sur les valeurs de Paix, de non-violence, de civisme et de citoyenneté prônées par ladite association. En initiant donc cette journée, les Icônes de la Paix voudraient inviter la jeunesse ivoirienne en générale et la jeunesse estudiantine en particulier à faire un grand sacrifice : celui d’être des citoyens engagés, en tournant définitivement le dos à la violence et à l’incivisme."
Cette journée d’échange et d’enseignement, autour de la notion de paix, a permis à l’auditoire essentiellement constitué d’étudiants, d’apprendre et de comprendre le rôle des apprenants, des enseignants dans la consolidation du climat de paix gage d’un développement durable.
La valeur et la place de la paix dans l’éducation permanente des jeunes, citoyens de demain, est l’essentiel de ce qui ressort des différentes interventions relatives à plusieurs sous-thèmes dont " Étudiants, enseignants et personnel administratif: rôle de chaque entité pour une université paisible et propice aux études" ; Prévention et gestion des conflits en milieu universitaire", et singulièrement " Contribution des clubs de paix pour une paix durable en milieu estudiantin" développé par docteur DOUMBIA Diénébou, représentant de la Fondation Félix Houphouët Boigny pour la recherche de la paix de Yamoussoukro.
Dans son propos, elle a mis en relief l’importance particulière de l’éducation des apprenants notamment celle des étudiants qui constituent l’élite avangardiste et le futur de la Côte d’Ivoire. Elle à cet effet cité le professeur LY Ramata BAKAYOKO en ces termes: " Je vous exhorte à poser sur le campus des actes de non-violence. C’est à ce prix que l’activité académique pourra se dérouler dans un climat apaisé et les universités ivoiriennes pourront se hisser au niveau des meilleures universités du monde et contribuer à l’émergence de la Côte d’Ivoire.". La citant, docteur DOUMBIA Diénébou a voulu interpeller la conscience collective et particulièrement celle des enseignants, des étudiants et des autorités quant à la poursuite permanente et accrue de l’enseignement de la paix et du dialogue. À ce propos, elle a loué l’initiative de la création et de la formation des membres des clubs de paix en milieu universitaire sur le thème "vie associative, leadership et culture de la paix", car dira-t-elle:" celui qui veut la paix, prépare la paix."
La Côte d’Ivoire a besoin d’hommes et de femmes de paix qui tiennent des discours de paix, car les discours de haine conduisent aux crimes de haine. Il est alors vital aujourd’hui de transformer les comportements violents en comportements pacifiques. Les institutions universitaires ont besoin d’une élite qui croit en la paix, qui lutte pour l’appropriation des valeurs de la culture de la paix, a renchéri docteur DOUMBIA Diénébou.
Dans son exposé, elle a poursuivi en signalant que la paix n’est possible que par la construction collective afin de favoriser le vivre ensemble prôné par le président de la république, son Excellence Alassane OUATTARA. Pour cela, les organisation de jeunesse doivent s’impliquer dans la promotion de la culture de la paix par des formes d’engagement multiples notamment joindre l’acte à la parole.
Puisque l’Éducation à la paix vise à offrir la paix comme héritage à transmettre aux générations futures en leur montrant la nécessité de préserver la paix, selon le docteur DOUMBIA Diénébou, il est impératif de comprendre les motivations profonde de Félix Houphouët Boigny, l’apôtre de la paix qu’elle mentionne pour clore son propos. "Notre combat n’est pas terminé. Il ne sera jamais terminé. Le vrai combat demeure, c’est le combat de la paix."
Étaient présents à cette cérémonie, Madame la Directrice de la Promotion de la Famille, représentant Madame le Ministre de la Femme, de la Famille et de l’Enfant, mesdames et messieurs les représentants du Ministre de l’enseignement Supérieur et de la Recherche Scientifique, et du Directeur des Œuvres Universitaires, de la Vie Associative et du Genre (DOUVAG), du Ministre de la Promotion de la Jeunesse et de l’Emploi des Jeunes, et du Maire d’Adjamé. Mesdames et Messieurs les Responsables d’Associations et de Syndicats dont la FESCI avec la présence remarquée de son président.