Abidjan- L’amicale du centre d’études stratégiques de l’Afrique (ACESA-CI) section Côte d’Ivoire, œuvre à apporter des solutions concrètes qui permettent d’anticiper les crises en Afrique et singulièrement en Côte d’Ivoire, a indiqué vendredi son coordonnateur national, le ministre des Eaux et Forêts, Alain Richard Donwahi.
Il s’exprimait à l’ouverture d’un symposium à Abidjan, marquant le lancement des activités de l’ACESA-CI. « C’est un symposium qui va permettre la réflexion stratégique, car c’est bien d’agir, de réagir mais il faut prévoir, anticiper, (..), il faut permettre à nos autorités et aux personnes en charge de la sécurité dans ce pays d’avoir un apport des réflexions pour permettre que les énergies et les intelligences se mettent ensemble et servent de façon pratique à la prévention des conflits », a-t-il déclaré.
Il a expliqué que la Côte d’Ivoire étant potentiellement menacée par le terrorisme international, les changements climatiques assortis de la vulnérabilité de ses populations, ces questions devront être adressées de concert avec d’autres pays ayant en partage ces menaces.
« La Côte d’Ivoire est dans un continent qui est menacé par le terrorisme, l’instabilité, la pauvreté. Nous devons apporter cette réflexion stratégique non seulement à notre pays mais surtout à la stabilité de la sous-région », a déclaré M. Donwahi.
La présidente du CESA basé aux Etats-Unis, Kate Knopf, a exhorté les membres de l’ACESA à produire des analyses qui puissent aider les décideurs à la prise de décisions. « On s’attend à des échanges qui permettent de faire face aux violences, au terrorisme », a-t-elle indiqué, non sans se féliciter de ces assises.
Pour l’ambassadeur des États-Unis, Richard Bell, son pays ne ménagera aucun effort pour appuyer les Etats dans leur dynamique de sécurité. Il a invité les pays, notamment africains, à étudier lucidement les menaces, notamment, « le terrorisme suicidaire qui est bien plus dangereux que le terrorisme ordinaire ».
Selon M. Bell, un minimum de confiance réciproque est requis pour faire bouger les lignes et vivre ensemble. « Il faut être respectueux de la population civile et éviter toute stigmatisation car le combat contre cette menace demande beaucoup de courage, de discipline et de communication face à un ennemi qui est résilie », a-t-il déclaré.
L’ACESA, créée en 2017, par des anciens auditeurs ivoiriens du centre d’études stratégiques de l’Afrique (CESA), vise à pérenniser les acquis et contribuer au niveau national et international, à faire progresser la paix par des réflexions stratégiques et prospectives, note-t-on.
gak/fmo
Il s’exprimait à l’ouverture d’un symposium à Abidjan, marquant le lancement des activités de l’ACESA-CI. « C’est un symposium qui va permettre la réflexion stratégique, car c’est bien d’agir, de réagir mais il faut prévoir, anticiper, (..), il faut permettre à nos autorités et aux personnes en charge de la sécurité dans ce pays d’avoir un apport des réflexions pour permettre que les énergies et les intelligences se mettent ensemble et servent de façon pratique à la prévention des conflits », a-t-il déclaré.
Il a expliqué que la Côte d’Ivoire étant potentiellement menacée par le terrorisme international, les changements climatiques assortis de la vulnérabilité de ses populations, ces questions devront être adressées de concert avec d’autres pays ayant en partage ces menaces.
« La Côte d’Ivoire est dans un continent qui est menacé par le terrorisme, l’instabilité, la pauvreté. Nous devons apporter cette réflexion stratégique non seulement à notre pays mais surtout à la stabilité de la sous-région », a déclaré M. Donwahi.
La présidente du CESA basé aux Etats-Unis, Kate Knopf, a exhorté les membres de l’ACESA à produire des analyses qui puissent aider les décideurs à la prise de décisions. « On s’attend à des échanges qui permettent de faire face aux violences, au terrorisme », a-t-elle indiqué, non sans se féliciter de ces assises.
Pour l’ambassadeur des États-Unis, Richard Bell, son pays ne ménagera aucun effort pour appuyer les Etats dans leur dynamique de sécurité. Il a invité les pays, notamment africains, à étudier lucidement les menaces, notamment, « le terrorisme suicidaire qui est bien plus dangereux que le terrorisme ordinaire ».
Selon M. Bell, un minimum de confiance réciproque est requis pour faire bouger les lignes et vivre ensemble. « Il faut être respectueux de la population civile et éviter toute stigmatisation car le combat contre cette menace demande beaucoup de courage, de discipline et de communication face à un ennemi qui est résilie », a-t-il déclaré.
L’ACESA, créée en 2017, par des anciens auditeurs ivoiriens du centre d’études stratégiques de l’Afrique (CESA), vise à pérenniser les acquis et contribuer au niveau national et international, à faire progresser la paix par des réflexions stratégiques et prospectives, note-t-on.
gak/fmo