Les producteurs de cacao d’Oumé ont mis en place des brigades pour combattre les individus qui s’attaquent à leur production, de jour comme de nuit, a-t-on appris des responsables de coopérative.
Il s’agit, selon ces sources, des personnes commises à la surveillance, de jour comme de nuit, de certaines plantations de coopératives tirées au sort chaque semaine. Certains gardiens, nous révèlent cette source, sont souvent suspectés par les planteurs dans le détournement, voire le vol de leur production.
Parmi les voleurs de fèves de cacao, les acheteurs et pisteurs sont aussi souvent cités par les producteurs, indique-t-on.
En dépit de la sensibilisation, des plaintes récurrentes déposées à la police et à la gendarmerie locale, rien n’arrête les truands. Après analyse et en accord avec les producteurs, certaines coopératives ont initié la mise sur pied de ces brigades, a confié le président de la coopérative de la Sangoué, Gozan Layé.
Des voleurs sont déjà tombés dans les filets de la brigade, signale-t-on. « Des producteurs d’autres régions sont venus à Oumé s’inspiré de nos méthodes », a révélé, Yobo Kotoua Gerome, membre du conseil d’administration de la coopérative de café-cacao d’Oumé (COCACAO).
(AIP)
dl/kkf/tm
Il s’agit, selon ces sources, des personnes commises à la surveillance, de jour comme de nuit, de certaines plantations de coopératives tirées au sort chaque semaine. Certains gardiens, nous révèlent cette source, sont souvent suspectés par les planteurs dans le détournement, voire le vol de leur production.
Parmi les voleurs de fèves de cacao, les acheteurs et pisteurs sont aussi souvent cités par les producteurs, indique-t-on.
En dépit de la sensibilisation, des plaintes récurrentes déposées à la police et à la gendarmerie locale, rien n’arrête les truands. Après analyse et en accord avec les producteurs, certaines coopératives ont initié la mise sur pied de ces brigades, a confié le président de la coopérative de la Sangoué, Gozan Layé.
Des voleurs sont déjà tombés dans les filets de la brigade, signale-t-on. « Des producteurs d’autres régions sont venus à Oumé s’inspiré de nos méthodes », a révélé, Yobo Kotoua Gerome, membre du conseil d’administration de la coopérative de café-cacao d’Oumé (COCACAO).
(AIP)
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