Prévu pour se tenir initialement le 21 décembre 2019 à la place Ficgayo de Yopougon, le giga meeting FPI-PDCI et leurs alliés de la CDRP et l’EDS, a été délocalisé au stade Séni Fofana de la commune de Port-Bouët. C’est l’information qui a été donnée au cours de la conférence de presse co-animée ce mercredi 18 décembre, au siège du PDCI RDA à Cocody, par Kakou Guikahué (PDCI-RDA) et Assoa Adou (FPI).
La place Ficgayo a été refusée pour le giga meeting par un arrêté de la Mairie de de Yopougon interdisant toutes activités dans cette commune du 16 décembre au 5 janvier 2020. Cependant, les organisateurs du giga meeting conjoint FPI-PDCI disent avoir reçu une autorisation de ladite Mairie après avoir suivi toutes les procédures liées à l’utilisation de cet espace.
’’ Le Maire de Yopougon a donné son accord pour notre manifestation. Ce sont ses services qui nous l’ont confirmé ’’, a déclaré Kakou Guikahué, SE en chef du PDCI.
Face à cette incohérence, cette conférence de presse a permis aux organisateurs de donner leur position et sonner la mobilisation de leurs militants. ’’ Nous informons nos militants que nous tiendrons notre giga meeting le samedi 21 décembre, mais cette fois-ci, au stade Séni Fofana de Port Bouët ’’.
Etant donné que ce meeting coïncide avec l’arrivée du président de la République de France, Emmanuel Macron en Côte d’Ivoire et que des supputations lieraient l’interdiction de l’espace Ficgayo à cet évènement, le PDCI et le FPI ont défendu cette position commune :
" nous n’avons jamais organisé notre activité en pensant à la visite du président Macron’’.
Selon le SG du FPI, Assoa Adou, qui dit être attristé par ce qui s’est passé, cela prouve que l’opposition a en face d’elle , ’’ des gens qui ne connaissent pas la démocratie et le fonctionnement de l’administration. C’est assez grave pour la Côte d’Ivoire. Ils s’en foutent des lois, ils n’ont que la décision’’ a-t-il exprimé.
Ce pourquoi, il demande la mobilisation des militants du FPI-PDCI et leurs alliés de la CDRP (Coalition pour la démocratie, la réconciliation et la paix) et la plateforme EDS (Ensemble pour la démocratie et la souveraineté) des communes de Treichville, Marcory et Port Bouët pour montrer que ’’ la démocratie vivra en Côte d’Ivoire malgré la position ultra minoritaire du RHDP ’’, a-t-il dit.
JOB
La place Ficgayo a été refusée pour le giga meeting par un arrêté de la Mairie de de Yopougon interdisant toutes activités dans cette commune du 16 décembre au 5 janvier 2020. Cependant, les organisateurs du giga meeting conjoint FPI-PDCI disent avoir reçu une autorisation de ladite Mairie après avoir suivi toutes les procédures liées à l’utilisation de cet espace.
’’ Le Maire de Yopougon a donné son accord pour notre manifestation. Ce sont ses services qui nous l’ont confirmé ’’, a déclaré Kakou Guikahué, SE en chef du PDCI.
Face à cette incohérence, cette conférence de presse a permis aux organisateurs de donner leur position et sonner la mobilisation de leurs militants. ’’ Nous informons nos militants que nous tiendrons notre giga meeting le samedi 21 décembre, mais cette fois-ci, au stade Séni Fofana de Port Bouët ’’.
Etant donné que ce meeting coïncide avec l’arrivée du président de la République de France, Emmanuel Macron en Côte d’Ivoire et que des supputations lieraient l’interdiction de l’espace Ficgayo à cet évènement, le PDCI et le FPI ont défendu cette position commune :
" nous n’avons jamais organisé notre activité en pensant à la visite du président Macron’’.
Selon le SG du FPI, Assoa Adou, qui dit être attristé par ce qui s’est passé, cela prouve que l’opposition a en face d’elle , ’’ des gens qui ne connaissent pas la démocratie et le fonctionnement de l’administration. C’est assez grave pour la Côte d’Ivoire. Ils s’en foutent des lois, ils n’ont que la décision’’ a-t-il exprimé.
Ce pourquoi, il demande la mobilisation des militants du FPI-PDCI et leurs alliés de la CDRP (Coalition pour la démocratie, la réconciliation et la paix) et la plateforme EDS (Ensemble pour la démocratie et la souveraineté) des communes de Treichville, Marcory et Port Bouët pour montrer que ’’ la démocratie vivra en Côte d’Ivoire malgré la position ultra minoritaire du RHDP ’’, a-t-il dit.
JOB