L’élection présidentielle en Guinée Conakry se tiendra en fin 2020. Pour l’heure, il est temps de mobiliser l’électorat là où il se trouve, surtout en Côte d’Ivoire où il y un grand nombre de ressortissants de la Guinée.
Venu à Abidjan dans le cadre de ses activités professionnelle et politique, Mohamed Mansour Kaba, du Parti Panafricain de Guinée (PAG), a animé une conférence de presse ce samedi 14 décembre dans la commune du plateau.
Cet opposant Guinéen, s’est prononcé sur l’actualité en Guinée, notamment, l’option de 3e mandat mûri par le présent actuel, Alpha Kondé.
A ce sujet, la position de Mohamed mansour Kaba est claire : « s’il reste au pouvoir en 2020, ce sera de la dictature pure et simple. Nous allons donc combattre cette dictature par tous les moyens légaux » a-t-il déclaré.
Poursuivant, il a mis en garde le pouvoir actuel contre tous les désagréments que cette situation pourrait occasionner :« terminer le 2e mandat et quitter le pouvoir dans l’honneur et la dignité » a-t-il conseillé.
Le conférencier s’est-il offusqué du fait que son Ami Alpha Kondé, qu’il dit avoir côtoyé depuis plus de 50 ans et avec qui il a fait équipe depuis 1992 pour s’opposer à la dictature de Lassana Kondé, veuille, une fois au pouvoir, mettre en mal la démocratie en Guinée.
En ce qui concerne ses projets politiques, même s’il dit être toujours en réflexion concernant sa candidature à la prochaine présidentielle guinéenne, Mohamed Mansour Kaba, a annoncé officiellement sa candidature pour les législatives de mi-février.
Son séjour Abidjanais écourté par le délai de dépôt des dossiers pour les législatives, situation qu’il a décrié d’ailleurs. Il a dit revenir après cette étape pour rencontrer la communauté guinéenne vivant en Côte d’Ivoire, en vue de lui présenter son projet de société qui tourne autour de l’État de droit avec séparation des pouvoirs et le développement inclusif.
Mohamed Mansour Kaba est un opérateur économique, ingénieur en génie civil. Il fut également ministre de la construction, de l’urbanisme et de l’habitat dans le gouvernement de transition guinéen en 2010. Installé en Côte d’Ivoire depuis 1973, c’est seulement en 2011, à la faveur de la crise qu’il est rentré en Guinée.
Venu à Abidjan dans le cadre de ses activités professionnelle et politique, Mohamed Mansour Kaba, du Parti Panafricain de Guinée (PAG), a animé une conférence de presse ce samedi 14 décembre dans la commune du plateau.
Cet opposant Guinéen, s’est prononcé sur l’actualité en Guinée, notamment, l’option de 3e mandat mûri par le présent actuel, Alpha Kondé.
A ce sujet, la position de Mohamed mansour Kaba est claire : « s’il reste au pouvoir en 2020, ce sera de la dictature pure et simple. Nous allons donc combattre cette dictature par tous les moyens légaux » a-t-il déclaré.
Poursuivant, il a mis en garde le pouvoir actuel contre tous les désagréments que cette situation pourrait occasionner :« terminer le 2e mandat et quitter le pouvoir dans l’honneur et la dignité » a-t-il conseillé.
Le conférencier s’est-il offusqué du fait que son Ami Alpha Kondé, qu’il dit avoir côtoyé depuis plus de 50 ans et avec qui il a fait équipe depuis 1992 pour s’opposer à la dictature de Lassana Kondé, veuille, une fois au pouvoir, mettre en mal la démocratie en Guinée.
En ce qui concerne ses projets politiques, même s’il dit être toujours en réflexion concernant sa candidature à la prochaine présidentielle guinéenne, Mohamed Mansour Kaba, a annoncé officiellement sa candidature pour les législatives de mi-février.
Son séjour Abidjanais écourté par le délai de dépôt des dossiers pour les législatives, situation qu’il a décrié d’ailleurs. Il a dit revenir après cette étape pour rencontrer la communauté guinéenne vivant en Côte d’Ivoire, en vue de lui présenter son projet de société qui tourne autour de l’État de droit avec séparation des pouvoirs et le développement inclusif.
Mohamed Mansour Kaba est un opérateur économique, ingénieur en génie civil. Il fut également ministre de la construction, de l’urbanisme et de l’habitat dans le gouvernement de transition guinéen en 2010. Installé en Côte d’Ivoire depuis 1973, c’est seulement en 2011, à la faveur de la crise qu’il est rentré en Guinée.
