La conférence des présidents de la Coalition pour la démocratie, la réconciliation et la paix (CDRP) a fait une sortie ce vendredi 27 décembre, pour traduire son soutien au candidat déclaré à la présidentielle de 2020, Guillaume Soro, qui lors de son retour en Côte d’Ivoire après six mois d’absence, a vu son avion détourné pour le Ghana.
Ce fut au cours d’une conférence presse qui s’est tenue à la Maison du parti du PDCI-RDA à Cocody-Abidjan, relativement à la situation socio politique nationale.
Les présidents de la CDRP ont affirmé leur soutien à Guillaume Soro parce qu’ils disent militer avec lui pour qu’il y ait un État de Droit en Côte d’Ivoire. « Nous dénonçons les actes entrepris contre lui, sans être totalement justifiés par le Procureur de la République », ont-ils réagi.
A en croire les représentants CDRP, « le seul prétexte des accusations graves (détournement de deniers publics et blanchiment de capitaux, d’attentat à l’autorité de l’Etat et à l’intégrité du territoire national) portées contre Soro, c’est sa candidature déclarée à la présidentielle de 2020. Le Gouvernement veut étouffer les partis politiques et des candidats ».
Ils ont soutenu dans l’ensemble que c’est parce que l’opposition en Côte d’Ivoire respecte les lois constitutionnelles qu’il y a la paix et la sérénité.
Pendant que la Constitution ivoirienne inscrit qu’il faut traiter différemment un citoyen qui a déjà occupé les fonctions de Premier ministre, président de l’Assemblée nationale, ils font le constat que la politique a pris le dessus.
« C’est un état d’urgence qui a été instauré sans qu’on le dise parce que les activités ont été interdites jusqu’au 05 janvier », ont-ils dénoncé.
Eu égard à l’aveu de Soro de déstabilisation en 2002 au compte d’Alassane Ouattara, la CDRP reste catégorique : « c’est une révélation de plus, il y a quelques années un chef rebelle l’avait affirmé, le procureur doit jouer son rôle ».
En ce qui concerne les supputations de mise à l’écart de l’opposition lors de la récente visite du président français, Emmanuel Macron, les membres de la CDRP ont rétabli la vérité. Selon eux, des émissaires du président français ont rencontré effectivement une partie de l’opposition.
Fidèle à son préalable, la conférence des présidents de la Coalition pour la démocratie, la réconciliation et la paix, a, au terme de cette conférence de presse, exigé encore une fois, la réforme totale de la CEI (Commission électorale indépendante). « Pour nous, la CEI n’existe pas, elle sera refaite », ont-ils été fermes.
Cette conférence se tient après l’interdiction du meeting conjoint PDCI-FPI et leurs alliés de la CDRP et l’EDS, le 21 décembre à Port-Bouët.
Elle a été animée par Ouattara Gnonzié, président du RPP (Rassemblement pour la paix, le progrès et le partage), Henri Niava, président de l’USD (Union des sociaux-démocrates) et Daniel Aka, président du PIT (Parti ivoirien).
JOB
Ce fut au cours d’une conférence presse qui s’est tenue à la Maison du parti du PDCI-RDA à Cocody-Abidjan, relativement à la situation socio politique nationale.
Les présidents de la CDRP ont affirmé leur soutien à Guillaume Soro parce qu’ils disent militer avec lui pour qu’il y ait un État de Droit en Côte d’Ivoire. « Nous dénonçons les actes entrepris contre lui, sans être totalement justifiés par le Procureur de la République », ont-ils réagi.
A en croire les représentants CDRP, « le seul prétexte des accusations graves (détournement de deniers publics et blanchiment de capitaux, d’attentat à l’autorité de l’Etat et à l’intégrité du territoire national) portées contre Soro, c’est sa candidature déclarée à la présidentielle de 2020. Le Gouvernement veut étouffer les partis politiques et des candidats ».
Ils ont soutenu dans l’ensemble que c’est parce que l’opposition en Côte d’Ivoire respecte les lois constitutionnelles qu’il y a la paix et la sérénité.
Pendant que la Constitution ivoirienne inscrit qu’il faut traiter différemment un citoyen qui a déjà occupé les fonctions de Premier ministre, président de l’Assemblée nationale, ils font le constat que la politique a pris le dessus.
« C’est un état d’urgence qui a été instauré sans qu’on le dise parce que les activités ont été interdites jusqu’au 05 janvier », ont-ils dénoncé.
Eu égard à l’aveu de Soro de déstabilisation en 2002 au compte d’Alassane Ouattara, la CDRP reste catégorique : « c’est une révélation de plus, il y a quelques années un chef rebelle l’avait affirmé, le procureur doit jouer son rôle ».
En ce qui concerne les supputations de mise à l’écart de l’opposition lors de la récente visite du président français, Emmanuel Macron, les membres de la CDRP ont rétabli la vérité. Selon eux, des émissaires du président français ont rencontré effectivement une partie de l’opposition.
Fidèle à son préalable, la conférence des présidents de la Coalition pour la démocratie, la réconciliation et la paix, a, au terme de cette conférence de presse, exigé encore une fois, la réforme totale de la CEI (Commission électorale indépendante). « Pour nous, la CEI n’existe pas, elle sera refaite », ont-ils été fermes.
Cette conférence se tient après l’interdiction du meeting conjoint PDCI-FPI et leurs alliés de la CDRP et l’EDS, le 21 décembre à Port-Bouët.
Elle a été animée par Ouattara Gnonzié, président du RPP (Rassemblement pour la paix, le progrès et le partage), Henri Niava, président de l’USD (Union des sociaux-démocrates) et Daniel Aka, président du PIT (Parti ivoirien).
JOB