En prélude au Sommet Afrique-France 2020, prévu en juin prochain à Bordeaux, il a été procédé, ce lundi dans la capitale économique ivoirienne, au lancement officiel des « Rencontres d’Abidjan ».
Cet événement se tiendra les 27 et 28 Février 2020 à Abidjan vise à permettre aux différents acteurs engagés sur la question de la ville, d’échanger et de partager des solutions sur la ville durable africaine. L’organisation desdites rencontres devraient permettre, en outre, la préparation de la participation des pays africains au Sommet Afrique-France
Dans un élément vidéo, Stéphanie Rivoal, Secrétaire Générale du Sommet Afrique-France 2020, a souligné la nécessité de la participation active des africains à la réussite de ce sommet. Pour elle, l’organisation des rencontres d’Abidjan sur les villes durables vient à point nommé.
Pour Gilles Huberson, Ambassadeur de France en Côte d’Ivoire, le sujet de la ville durable est à la fois concret et ambitieux car l’avenir des villes du monde se confond aujourd’hui avec celui de la planète. « Les villes africaines et françaises doivent être socialement inclusives, économiquement productives, résilientes et sobres sur le plan environnemental et climatique en mobilisant les acteurs de tous les secteurs », a-t-il déclaré tout en se réjouissait pour la confiance et la bonne collaboration entre la France et la Côte d’Ivoire.
Pour sa part, le Ministre François Albert Amichia accompagné de son collègue Bruno Koné de la Construction du Logement et de l’Urbanisme a relevé les problématiques auxquelles les villes font face aujourd’hui.
Selon lui, la vision partagée par les chefs d’Etat et de Gouvernement des pays africains, et, portée également par les organisations continentales et régionales, implique des initiatives concertées, à même d’apporter des réponses durables, aux défis actuels de l’ordre urbain. Et c’est à cette ambition que répond le rendez-vous des Rencontres d’Abidjan sur la Ville Durable Africaine, prévue les 27 et 28 février 2020 à Abidjan.
« Les Rencontres d’Abidjan entendent proposer des réponses innovantes en faveur du développement de territoires durables, à travers la co-construction et la synergie des acteurs comme une nécessité absolue, et qui veut trouver dans le secteur privé, les partenaires et le savoir-faire qui vont avec. Nous comptons sur votre mobilisation et votre appui afin de gagner ce pari, parce que c’en est un et un grand » a-t-il indiqué avant de lancer un appel à la mobilisation à l’endroit des entreprises privées.
« Je voudrais, solennellement inviter le secteur privé à prendre une place importante dans l’organisation de ce rendez-vous continental, et surtout d’y présenter les solutions qu’elles développent au sein de leurs différentes entreprises, en matière de technologies, de services, d’ingénierie, de logistique tournées vers les exigences de développement durable » a-t-il conclu.
Il a par ailleurs annoncé le lancement, très prochainement, d’un concours qui permettra aux jeunes de partager leur vision concernant la ville durable africaine de demain. Notons la participation de plusieurs acteurs privés, ainsi que des partenaires techniques et financiers engagés sur les problématiques de la ville.
R. K.
Cet événement se tiendra les 27 et 28 Février 2020 à Abidjan vise à permettre aux différents acteurs engagés sur la question de la ville, d’échanger et de partager des solutions sur la ville durable africaine. L’organisation desdites rencontres devraient permettre, en outre, la préparation de la participation des pays africains au Sommet Afrique-France
Dans un élément vidéo, Stéphanie Rivoal, Secrétaire Générale du Sommet Afrique-France 2020, a souligné la nécessité de la participation active des africains à la réussite de ce sommet. Pour elle, l’organisation des rencontres d’Abidjan sur les villes durables vient à point nommé.
Pour Gilles Huberson, Ambassadeur de France en Côte d’Ivoire, le sujet de la ville durable est à la fois concret et ambitieux car l’avenir des villes du monde se confond aujourd’hui avec celui de la planète. « Les villes africaines et françaises doivent être socialement inclusives, économiquement productives, résilientes et sobres sur le plan environnemental et climatique en mobilisant les acteurs de tous les secteurs », a-t-il déclaré tout en se réjouissait pour la confiance et la bonne collaboration entre la France et la Côte d’Ivoire.
Pour sa part, le Ministre François Albert Amichia accompagné de son collègue Bruno Koné de la Construction du Logement et de l’Urbanisme a relevé les problématiques auxquelles les villes font face aujourd’hui.
Selon lui, la vision partagée par les chefs d’Etat et de Gouvernement des pays africains, et, portée également par les organisations continentales et régionales, implique des initiatives concertées, à même d’apporter des réponses durables, aux défis actuels de l’ordre urbain. Et c’est à cette ambition que répond le rendez-vous des Rencontres d’Abidjan sur la Ville Durable Africaine, prévue les 27 et 28 février 2020 à Abidjan.
« Les Rencontres d’Abidjan entendent proposer des réponses innovantes en faveur du développement de territoires durables, à travers la co-construction et la synergie des acteurs comme une nécessité absolue, et qui veut trouver dans le secteur privé, les partenaires et le savoir-faire qui vont avec. Nous comptons sur votre mobilisation et votre appui afin de gagner ce pari, parce que c’en est un et un grand » a-t-il indiqué avant de lancer un appel à la mobilisation à l’endroit des entreprises privées.
« Je voudrais, solennellement inviter le secteur privé à prendre une place importante dans l’organisation de ce rendez-vous continental, et surtout d’y présenter les solutions qu’elles développent au sein de leurs différentes entreprises, en matière de technologies, de services, d’ingénierie, de logistique tournées vers les exigences de développement durable » a-t-il conclu.
Il a par ailleurs annoncé le lancement, très prochainement, d’un concours qui permettra aux jeunes de partager leur vision concernant la ville durable africaine de demain. Notons la participation de plusieurs acteurs privés, ainsi que des partenaires techniques et financiers engagés sur les problématiques de la ville.
R. K.