Le président du Front Populaire Ivoirien (FPI), Pascal Affi N’guessan a reçu les vœux des membres de la direction et des militants de son parti ce samedi 25 janvier 2020 à Abidjan. Au cours de cette cérémonie, Affi N’guessan a levé un coin de voile sur sa récente rencontre avec Laurent Gbagbo, à Bruxelles.
« A sa demande, Pascal Affi N’Guessan a été reçu à Bruxelles par le président Gbagbo », les 3 et 4 janvier derniers selon un communiqué du parti. Depuis, rien n’avait filtré de cette rencontre qui était très attendue par les militants des deux tendances au sein du Fpi, et suivie de près par le reste de la classe politique.
"Depuis ma rencontre avec le président Laurent Gbagbo, je suis plus que convaincu que le FPI va remporter les élections", a lâché Affi N’guessan. L’actuel président de l’ex-parti au pouvoir s’est engagé devant l’assistance à mettre tout en œuvre pour que la "réunification" soit une réalité dans un bref délai. « A travers cette rencontre, Dieu et Gbagbo m’ont mis en mission, je ne faillirai pas à cette mission », a déclaré Pascal Affi N’guessan.
Selon de député de Bongouanou, le temps de la réconciliation au sein du Fpi est arrivé. « Le temps est arrivé où Affi, Simone Gbagbo, Assoua Adou, Hubert Oulai se retrouveront sur le même podium pour accomplir la même mission ». Affi N’guessan croire dure comme que son parti peut revenir au pouvoir, même si le chemin reste long. La fin du procès Laurent Gbagbo-Blé Goudé à la Haye, le retour au pays de l’ex-président et de son ministre de la jeunesse, la question de la réforme de la CEI, la redynamisation du parti, sont autant de prélable à lever dans moins d’un an des élections présidentielles. Pascal Affi N’guessan n’entend pas, cependant, baisser les bras.
A l’instar du PDCI, Affi N’guessan a annoncé la participation de son parti à la marche de la paix du 15 février prochain initiée par l’Eglise catholique. "Nous irons prier avec les hommes et les femmes de l’Eglise catholique pour le salut de notre pays", a-t-il fait savoir.
Depuis 2013, deux ans après avoir perdu le pouvoir, le Fpi est scindé en deux. D’un côté les partisans de Pascal Affi N’guessan, et de l’autre ceux pour qui Laurent Gbagbo reste le premier responsable du parti.
DA
« A sa demande, Pascal Affi N’Guessan a été reçu à Bruxelles par le président Gbagbo », les 3 et 4 janvier derniers selon un communiqué du parti. Depuis, rien n’avait filtré de cette rencontre qui était très attendue par les militants des deux tendances au sein du Fpi, et suivie de près par le reste de la classe politique.
"Depuis ma rencontre avec le président Laurent Gbagbo, je suis plus que convaincu que le FPI va remporter les élections", a lâché Affi N’guessan. L’actuel président de l’ex-parti au pouvoir s’est engagé devant l’assistance à mettre tout en œuvre pour que la "réunification" soit une réalité dans un bref délai. « A travers cette rencontre, Dieu et Gbagbo m’ont mis en mission, je ne faillirai pas à cette mission », a déclaré Pascal Affi N’guessan.
Selon de député de Bongouanou, le temps de la réconciliation au sein du Fpi est arrivé. « Le temps est arrivé où Affi, Simone Gbagbo, Assoua Adou, Hubert Oulai se retrouveront sur le même podium pour accomplir la même mission ». Affi N’guessan croire dure comme que son parti peut revenir au pouvoir, même si le chemin reste long. La fin du procès Laurent Gbagbo-Blé Goudé à la Haye, le retour au pays de l’ex-président et de son ministre de la jeunesse, la question de la réforme de la CEI, la redynamisation du parti, sont autant de prélable à lever dans moins d’un an des élections présidentielles. Pascal Affi N’guessan n’entend pas, cependant, baisser les bras.
A l’instar du PDCI, Affi N’guessan a annoncé la participation de son parti à la marche de la paix du 15 février prochain initiée par l’Eglise catholique. "Nous irons prier avec les hommes et les femmes de l’Eglise catholique pour le salut de notre pays", a-t-il fait savoir.
Depuis 2013, deux ans après avoir perdu le pouvoir, le Fpi est scindé en deux. D’un côté les partisans de Pascal Affi N’guessan, et de l’autre ceux pour qui Laurent Gbagbo reste le premier responsable du parti.
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