Des étudiants ivoiriens ont été invités mercredi à Abidjan à s’approprier le concept de non-violence prônée par le célèbre pasteur noir américain Martin Luther King lors d’une émission-débat initiée par l’ambassadeur des États-Unis en Côte d’Ivoire autour du thème : « Martin Luther King et la non-violence : quelles leçons pour la Côte d’Ivoire?», a constaté APA sur place.
« Il faut se mettre en tête que la violence ne peut jamais prospérer. D’un jour à l’autre, vous en verrez les limites. Les jeunes que vous êtes, vous devez participer au changement et à la transformation de notre société», a conseillé Dr Kouadio Koffi Hilaire qui a co-animé ce débat avec Julie Koné, la présidente du Centre féminin pour la démocratie et les droits humains en Côte d’Ivoire (CEFCI).
Selon lui, six principes majeurs ont guidé la politique de non-violence prônée aux États-Unis d’Amérique par le pasteur Luther King. Il s’agit du courage, la compréhension mutuelle, le combat contre l’injustice, la transformation de l’autre, l’amour de l’autre et la justice.
« Dans nos pays, il faut que la justice sociale s’installe et il faut donner l’égalité des chances aux uns et autres », a proposé Dr Kouadio estimant « qu’on devient violent quand on n’a pas d’alternative ». De son côté, Julie Koné, la présidente du CEFCI a soutenu que « rien ne s’obtient dans la violence ».
C’est pourquoi elle a exhorté les jeunes à ne pas revendiquer par la force. « Nous tirons quatre leçons de vie du concept de non-violence de Martin Luther King Jr. Il s’agit du devoir de mener une bataille, savoir pardonner, avoir la non-violence comme idéal et avoir la foi dans la valeur humaine », a indiqué M. Koné.
Le célèbre pasteur noir américain Martin Luther King est l’une des figures emblématiques de la lutte contre le racisme et la ségrégation aux États-Unis. Militant non-violent pour le mouvement civique des noirs américains aux États-Unis, il a été assassiné en 1968 à 39 ans.
Devant près de 250 000 personnes à Washington après une marche contre la discrimination raciale en août 1963, le pasteur Luther King a prononcé un célèbre discours dans lequel il disait son rêve de voir une Amérique fraternelle où blancs et noirs vivent ensemble dans l’union et la liberté d’où la célèbre phrase: « I Have a dream» ou en français «J’ai fait un rêve ».
LB/ls/APA
« Il faut se mettre en tête que la violence ne peut jamais prospérer. D’un jour à l’autre, vous en verrez les limites. Les jeunes que vous êtes, vous devez participer au changement et à la transformation de notre société», a conseillé Dr Kouadio Koffi Hilaire qui a co-animé ce débat avec Julie Koné, la présidente du Centre féminin pour la démocratie et les droits humains en Côte d’Ivoire (CEFCI).
Selon lui, six principes majeurs ont guidé la politique de non-violence prônée aux États-Unis d’Amérique par le pasteur Luther King. Il s’agit du courage, la compréhension mutuelle, le combat contre l’injustice, la transformation de l’autre, l’amour de l’autre et la justice.
« Dans nos pays, il faut que la justice sociale s’installe et il faut donner l’égalité des chances aux uns et autres », a proposé Dr Kouadio estimant « qu’on devient violent quand on n’a pas d’alternative ». De son côté, Julie Koné, la présidente du CEFCI a soutenu que « rien ne s’obtient dans la violence ».
C’est pourquoi elle a exhorté les jeunes à ne pas revendiquer par la force. « Nous tirons quatre leçons de vie du concept de non-violence de Martin Luther King Jr. Il s’agit du devoir de mener une bataille, savoir pardonner, avoir la non-violence comme idéal et avoir la foi dans la valeur humaine », a indiqué M. Koné.
Le célèbre pasteur noir américain Martin Luther King est l’une des figures emblématiques de la lutte contre le racisme et la ségrégation aux États-Unis. Militant non-violent pour le mouvement civique des noirs américains aux États-Unis, il a été assassiné en 1968 à 39 ans.
Devant près de 250 000 personnes à Washington après une marche contre la discrimination raciale en août 1963, le pasteur Luther King a prononcé un célèbre discours dans lequel il disait son rêve de voir une Amérique fraternelle où blancs et noirs vivent ensemble dans l’union et la liberté d’où la célèbre phrase: « I Have a dream» ou en français «J’ai fait un rêve ».
LB/ls/APA