Les problèmes liés en adduction d’eau potable des villages de Samo et d’Abrobakro seront un lointain souvenir pour les populations desdites localités, a annoncé l’émissaire du gouvernement, le ministre de l’hydraulique, Tchagba Laurent.
En visite de terrain dans le Sud-Comoé, là où il a échangé avec les populations de Samo, une localité de la commune de Bonoua et celles de Bianouan dans le département d’Ayamé le jeudi 30 janvier, Tchagba Laurent a rassuré les populations quant aux mesures d’urgence entreprises par le gouvernement.
Selon lui, la mesure d’urgence pour desservir les populations en eau potable est de reposer provisoirement le système d’alimentation, en eau potable des villages de Samo et d’Abrobakro sur le forage F4 de Bonoua. La pompe de 250m3/h y sera déposée. En lieu et place, une pompe de 60 m3/h y sera installée. " Pendant la mesure d’urgence une construction d’un château d’eau 200 M3 sera en cours de réalisation. Les travaux de ce château dureront sur 60 jours", a annoncé le ministre de l’hydraulique.
En ce qui concerne la pollution de la Bia affectée par l’adduction en eau potable de Bianouan, le ministre Tchagba Laurent entend identifier l’origine des activités dans le lit du fleuve, responsables de cette turbidité anormalement élevée de l’eau et sécuriser le bassin de la Bia contre cette agression, mais également organiser des patrouilles de surveillance du bassin du fleuve, en amont du site de captage de l’usine de traitement de l’eau, par des agents des eaux et forêts. Pour le ministre de l’hydraulique, il faut renforcer la sécurité dans la zone d’activité de l’orpaillage et chasser les clandestins des forêts avec le soutien de la Brigade de lutte contre l’orpaillage du Ministère des Mines et de la Géologie afin de « permettre à l’eau de retrouver son niveau de pureté antérieur et permettre le fonctionnement normal de l’usine de traitement de Bianouan et d’éviter que les localités d’Ayamé et d’Aboisso ne soient touchées à leur tour par cette pollution » a-t-il conclu.
Cyprien K.
En visite de terrain dans le Sud-Comoé, là où il a échangé avec les populations de Samo, une localité de la commune de Bonoua et celles de Bianouan dans le département d’Ayamé le jeudi 30 janvier, Tchagba Laurent a rassuré les populations quant aux mesures d’urgence entreprises par le gouvernement.
Selon lui, la mesure d’urgence pour desservir les populations en eau potable est de reposer provisoirement le système d’alimentation, en eau potable des villages de Samo et d’Abrobakro sur le forage F4 de Bonoua. La pompe de 250m3/h y sera déposée. En lieu et place, une pompe de 60 m3/h y sera installée. " Pendant la mesure d’urgence une construction d’un château d’eau 200 M3 sera en cours de réalisation. Les travaux de ce château dureront sur 60 jours", a annoncé le ministre de l’hydraulique.
En ce qui concerne la pollution de la Bia affectée par l’adduction en eau potable de Bianouan, le ministre Tchagba Laurent entend identifier l’origine des activités dans le lit du fleuve, responsables de cette turbidité anormalement élevée de l’eau et sécuriser le bassin de la Bia contre cette agression, mais également organiser des patrouilles de surveillance du bassin du fleuve, en amont du site de captage de l’usine de traitement de l’eau, par des agents des eaux et forêts. Pour le ministre de l’hydraulique, il faut renforcer la sécurité dans la zone d’activité de l’orpaillage et chasser les clandestins des forêts avec le soutien de la Brigade de lutte contre l’orpaillage du Ministère des Mines et de la Géologie afin de « permettre à l’eau de retrouver son niveau de pureté antérieur et permettre le fonctionnement normal de l’usine de traitement de Bianouan et d’éviter que les localités d’Ayamé et d’Aboisso ne soient touchées à leur tour par cette pollution » a-t-il conclu.
Cyprien K.