Un séminaire panafricain de haut niveau pour le renforcement de l’autonomisation des femmes s’est ouvert ce lundi 10 février 2020 à Abidjan, en présence de Ly Ramata Bakayoko, ministre de la Femme, de la Famille et de l’Enfant.
Ce seminaire, relatif à "Les pesanteurs administratives, sociales et culturelles à l’autonomisation des femmes en milieu rural : quels mécanismes faut-il mettre en place pour limiter leurs effets sur l’épanouissement de la femme?", thème principal de ces assises, se déroulera sur 3 jours.
À l’initiative du Centre africain de formation et de recherche administrative pour le développement (CAFRAD) et ses partenaires, cette rencontre entend mettre en place une stratégie concertée à l’échelle régionale. Ce, en vue de la création de mécanisme d’encadrement pour faciliter une meilleure implication de la femme dans la vie politique, socio-économique et culturelle à la lumière des principes de la gouvernance publique responsable.
Pour Ly Ramata Bakayoko, l’objectif est de renforcer le rôle de la femme dans le processus de développement. Pour traduire cette volonté, le gouvernement, a dit la ministre, travaille au quotidien afin d’apporter des solutions durables à la problématique de l’autonomisation des femmes dans toutes ses dimensions. Confiante que les différentes réflexions, analyses et recommandations qui découleront de ces assises permettront une meilleure prise en compte des préoccupations des femmes dans la politique publique, elle a indiqué : " les résultats contribueront à faire des bonds qualitatifs vers une société africaine plus juste et plus en harmonie avec les principes des Objectifs de Développement Durable (ODD)".
Bien avant, Fatoumata Traoré, présidente du comité d’organisation et membre du Comité consultatif international du CAFRAD, a indiqué que ce séminaire renforcera les capacités des femmes afin qu’elles prennent une part plus active dans le processus de transformation de leur pays respectif.
Aux dires des organisateurs, ces assises, meublées de plusieurs activités notamment des panels thématiques, des rencontres B To B et des ateliers, seront sanctionnées par des recommandations.
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Cyprien K.
Ce seminaire, relatif à "Les pesanteurs administratives, sociales et culturelles à l’autonomisation des femmes en milieu rural : quels mécanismes faut-il mettre en place pour limiter leurs effets sur l’épanouissement de la femme?", thème principal de ces assises, se déroulera sur 3 jours.
À l’initiative du Centre africain de formation et de recherche administrative pour le développement (CAFRAD) et ses partenaires, cette rencontre entend mettre en place une stratégie concertée à l’échelle régionale. Ce, en vue de la création de mécanisme d’encadrement pour faciliter une meilleure implication de la femme dans la vie politique, socio-économique et culturelle à la lumière des principes de la gouvernance publique responsable.
Pour Ly Ramata Bakayoko, l’objectif est de renforcer le rôle de la femme dans le processus de développement. Pour traduire cette volonté, le gouvernement, a dit la ministre, travaille au quotidien afin d’apporter des solutions durables à la problématique de l’autonomisation des femmes dans toutes ses dimensions. Confiante que les différentes réflexions, analyses et recommandations qui découleront de ces assises permettront une meilleure prise en compte des préoccupations des femmes dans la politique publique, elle a indiqué : " les résultats contribueront à faire des bonds qualitatifs vers une société africaine plus juste et plus en harmonie avec les principes des Objectifs de Développement Durable (ODD)".
Bien avant, Fatoumata Traoré, présidente du comité d’organisation et membre du Comité consultatif international du CAFRAD, a indiqué que ce séminaire renforcera les capacités des femmes afin qu’elles prennent une part plus active dans le processus de transformation de leur pays respectif.
Aux dires des organisateurs, ces assises, meublées de plusieurs activités notamment des panels thématiques, des rencontres B To B et des ateliers, seront sanctionnées par des recommandations.
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Cyprien K.