La rumeur et la désinformation ont failli entrainé des dysfonctionnements du système éducatif dans la zone d’Adjouffou, à Port-Bouët. En vue de rassurer les parents d’élèves et acteurs du système éducatif de la zone, une délégation du Ministère des Transports, conduite par le Conseiller technique du Ministre, TOURE Oumar a rencontré, le jeudi 13 février 2020, l’association des fondateurs des écoles privées de la commune de Port-Bouët.
D’entrée, l’émissaire du Ministère des Transports a rappelé que la mesure de libération des emprises de la zone aéroportuaire ne concerne pas les écoles. Il a affirmé par conséquent être venu rencontrer les premiers acteurs pour partager, avec eux, cette information et recueillir leurs préoccupations.
« Nous sommes venus faire le point des élèves impactés par l’opération de libération des emprises aéroportuaires en vue d’agir efficacement pour leur permettre d’avoir une année scolaire sans difficulté », a fait savoir le collaborateur du Ministre Amadou KONE. Il s’agit selon lui, de relever le nombre d’écoles impactées, les effectifs de ces écoles et la localisation des élèves déplacés.
Pour cette première phase qui prend en compte les 50 m à partir du mur de l’aéroport, il n’y aucun établissement scolaire dans la zone. Toutefois, 5 établissements ont été identifiés pour la deuxième phase de l’opération qui s’étend sur 150 m, en plus des 50 m, prévue 45 jours après la première phase.
Les propriétaires d’établissements se réjouissant de la démarche, ont pris l’engagement de relayer l’information et ont promis de rassurer les parents d’élèves à cet effet. Ils ont surtout salué le fait que leur soit accordé un délai jusqu’en fin d’année, le temps de leur permettre de bien organiser les examens scolaires.
La délégation du Ministère des Transports s’est rendue peu après au Groupe scolaire Céleste. Elle a pu constater que les cours se déroulent normalement dans cet établissement. « L’opération n’a pas d’incidence sur notre établissement. C’est seulement dans les débuts que mal informés, certains ont quitté de manière précipitée le quartier avec leurs enfants. Au moment où je vous parle, tous les élèves sont revenus. Aussi, je puis vous dire que tous les établissements de la zone ont repris correctement les cours », a soutenu le directeur de l’école, M. MAHE Félix.
Cette action terrain, il faut le souligner, s’inscrit dans le cadre du suivi des mesures annoncées par le Ministre des Transports, en vue de renforcer la sécurité et la sûreté autour de l’aéroport FHB, au lendemain du drame survenu dans le train d’atterrissage d’un avion d’Air France.
A.N
D’entrée, l’émissaire du Ministère des Transports a rappelé que la mesure de libération des emprises de la zone aéroportuaire ne concerne pas les écoles. Il a affirmé par conséquent être venu rencontrer les premiers acteurs pour partager, avec eux, cette information et recueillir leurs préoccupations.
« Nous sommes venus faire le point des élèves impactés par l’opération de libération des emprises aéroportuaires en vue d’agir efficacement pour leur permettre d’avoir une année scolaire sans difficulté », a fait savoir le collaborateur du Ministre Amadou KONE. Il s’agit selon lui, de relever le nombre d’écoles impactées, les effectifs de ces écoles et la localisation des élèves déplacés.
Pour cette première phase qui prend en compte les 50 m à partir du mur de l’aéroport, il n’y aucun établissement scolaire dans la zone. Toutefois, 5 établissements ont été identifiés pour la deuxième phase de l’opération qui s’étend sur 150 m, en plus des 50 m, prévue 45 jours après la première phase.
Les propriétaires d’établissements se réjouissant de la démarche, ont pris l’engagement de relayer l’information et ont promis de rassurer les parents d’élèves à cet effet. Ils ont surtout salué le fait que leur soit accordé un délai jusqu’en fin d’année, le temps de leur permettre de bien organiser les examens scolaires.
La délégation du Ministère des Transports s’est rendue peu après au Groupe scolaire Céleste. Elle a pu constater que les cours se déroulent normalement dans cet établissement. « L’opération n’a pas d’incidence sur notre établissement. C’est seulement dans les débuts que mal informés, certains ont quitté de manière précipitée le quartier avec leurs enfants. Au moment où je vous parle, tous les élèves sont revenus. Aussi, je puis vous dire que tous les établissements de la zone ont repris correctement les cours », a soutenu le directeur de l’école, M. MAHE Félix.
Cette action terrain, il faut le souligner, s’inscrit dans le cadre du suivi des mesures annoncées par le Ministre des Transports, en vue de renforcer la sécurité et la sûreté autour de l’aéroport FHB, au lendemain du drame survenu dans le train d’atterrissage d’un avion d’Air France.
A.N