Le député ivoirien Abel Djohoré, un cadre du Rassemblement des Houphouëtistes pour la démocratie et la paix (RHDP), le parti présidentiel ivoirien, s’est dit « désolé » de la démission du gouvernement ivoirien de Marcel Amon-Tanoh, un autre cadre du parti d’Alassane Ouattara.
« Peut-être qu’il y a des choses qu’il n’a pas accepté. Tout le monde n’est pas Djohoré. Chacun a son seuil de frustration à ne pas dépasser. Tout en les comprenant je suis désolé que ça arrive en ce moment précis où nous avons besoin de cohésion dans la maison», a dit vendredi M. Djohoré dans un échange avec des journalistes.
« Il faut que la haute direction du parti prenne conscience de ce qu’il y a des choses à faire et il y a beaucoup de choses à faire», a conseillé le député de Ouragahio-Bayota (Centre-ouest).
M. Djohoré qui revendique le poste de directeur de campagne du candidat du RHDP à la prochaine élection présidentielle, a insisté que «nous avons besoin d’être compactes pour avoir cette victoire à portée de main» au soir du 31 octobre prochain.
Jeudi, Marcel Amon-Tanoh, le ministre des Affaires étrangères a annoncé sa démission du gouvernement après plus de trois ans à ce poste ministériel. Ce dernier à qui l’on prête des ambitions présidentielles, a été l’un des plus proches collaborateurs du président Alassane Ouattara pendant plusieurs années.
Le président ivoirien Alassane Ouattara a signé vendredi deux décrets portant intérim du ministère des Affaires étrangères et au ministère de la Culture et de la Francophonie.
M. Ally Coulibaly, ministre de l’Intégration africaine et des ivoiriens de l’extérieur exerce à titre intérimaire les fonctions de ministre des Affaires étrangères, tandis que Mme Raymonde Goudou Coffie, ministre de la Modernisation de l’administration et de l’innovation du service public, exerce, à titre intérimaire les fonctions de ministre de la Culture et de la Francophonie.
M. Maurice Kouakou Bandaman, anciennement ministre de la Culture et de la Francophonie a été nommé récemment au poste d’Ambassadeur de la Côte d’Ivoire en France.
LB/ls/APA
« Peut-être qu’il y a des choses qu’il n’a pas accepté. Tout le monde n’est pas Djohoré. Chacun a son seuil de frustration à ne pas dépasser. Tout en les comprenant je suis désolé que ça arrive en ce moment précis où nous avons besoin de cohésion dans la maison», a dit vendredi M. Djohoré dans un échange avec des journalistes.
« Il faut que la haute direction du parti prenne conscience de ce qu’il y a des choses à faire et il y a beaucoup de choses à faire», a conseillé le député de Ouragahio-Bayota (Centre-ouest).
M. Djohoré qui revendique le poste de directeur de campagne du candidat du RHDP à la prochaine élection présidentielle, a insisté que «nous avons besoin d’être compactes pour avoir cette victoire à portée de main» au soir du 31 octobre prochain.
Jeudi, Marcel Amon-Tanoh, le ministre des Affaires étrangères a annoncé sa démission du gouvernement après plus de trois ans à ce poste ministériel. Ce dernier à qui l’on prête des ambitions présidentielles, a été l’un des plus proches collaborateurs du président Alassane Ouattara pendant plusieurs années.
Le président ivoirien Alassane Ouattara a signé vendredi deux décrets portant intérim du ministère des Affaires étrangères et au ministère de la Culture et de la Francophonie.
M. Ally Coulibaly, ministre de l’Intégration africaine et des ivoiriens de l’extérieur exerce à titre intérimaire les fonctions de ministre des Affaires étrangères, tandis que Mme Raymonde Goudou Coffie, ministre de la Modernisation de l’administration et de l’innovation du service public, exerce, à titre intérimaire les fonctions de ministre de la Culture et de la Francophonie.
M. Maurice Kouakou Bandaman, anciennement ministre de la Culture et de la Francophonie a été nommé récemment au poste d’Ambassadeur de la Côte d’Ivoire en France.
LB/ls/APA