Le ministre de l’Enseignement supérieur et de la recherche scientifique, Dr Albert Mabri Toikeusse, était, hier, au Centre régional des œuvres universitaires (Crou A-1). L’objectif de sa présence est d’apprécier les dispositions sécuritaires prises dans le cadre de la lutte contre la pandémie du coronavirus.
Après la cité Mermoz et le campus, le ministre de l’Enseignement supérieur et de la recherche scientifique a fait des propositions pour éviter que le virus pénètre le milieu estudiantin. Si Albert Mabri Toikeusse n’envisage pas la fermeture des cités universitaires, il a invité, cependant, les étudiants à limiter les déplacements. « Le Conseil national de sécurité n’a pas décidé de fermer les cités. Mais les cités sont considérées comme des centres de confinement. Ceux qui logent en cité doivent avoir une attitude », a-t-il insisté. Le ministre de l’Enseignement supérieur et de la recherche scientifique a, toujours dans le cadre de cette visite, apprécié le dispositif sanitaire en place et promis de le renforcer. « Je vois déjà qu’il y a des dispositions dans les restaurants " U", ce qui permet aux étudiants d’enlever les plats et de se restaurer dans les chambres.
C’est déjà bien parce que cela évite le confinement. Il y a le côté des lavages des mains, ce n’est pas suffisant parce que le matériel ne suffit pas. Nous allons voir ce que nous pouvons faire au niveau du ministère », a-t-il rassuré. Albert Mabri Toikeusse, poursuivant, a exhorté les étudiants à observer les consignes en vigueur. « On a des contraintes parce que nous n’avons pas de chambres individuelles, nous avons des chambres à deux (02). Et puis il y a un phénomène bien connu qui fait que pour une chambre à deux (02), on se retrouve avec trois (03), quatre (04) cinq (05) voire six (06) étudiants. Ce sont des réalités qu’il faut vivre. Il va falloir informer, sensibiliser, observer les règles d’hygiène corporelle à savoir les lavages des mains (…) Il n’y a pas de cours, on reste en cité, on reste sur place. Il faut surveiller ceux qui viennent rendre visite. En principe, on doit interdire les visites », a fait savoir Albert Mabri Toikeusse. Il a promis, au plus haut sommet, de plaider pour que des moyens plus efficaces soient mis à la disposition du Crou en vue de combattre beaucoup plus efficacement la maladie. « Nous avons fait le plaidoyer pour que des gangs soient mis à la disposition de ceux qui sont en cité et qu’ils puissent les utiliser (…) La prochaine session du Conseil national de sécurité nous permettra de bien communiquer », a-t-il encore promis. Le ministre Mabri avait à ses côtés le directeur du Crou A1, Blé Guirao et ses collaborateurs.
DJE KM
Après la cité Mermoz et le campus, le ministre de l’Enseignement supérieur et de la recherche scientifique a fait des propositions pour éviter que le virus pénètre le milieu estudiantin. Si Albert Mabri Toikeusse n’envisage pas la fermeture des cités universitaires, il a invité, cependant, les étudiants à limiter les déplacements. « Le Conseil national de sécurité n’a pas décidé de fermer les cités. Mais les cités sont considérées comme des centres de confinement. Ceux qui logent en cité doivent avoir une attitude », a-t-il insisté. Le ministre de l’Enseignement supérieur et de la recherche scientifique a, toujours dans le cadre de cette visite, apprécié le dispositif sanitaire en place et promis de le renforcer. « Je vois déjà qu’il y a des dispositions dans les restaurants " U", ce qui permet aux étudiants d’enlever les plats et de se restaurer dans les chambres.
C’est déjà bien parce que cela évite le confinement. Il y a le côté des lavages des mains, ce n’est pas suffisant parce que le matériel ne suffit pas. Nous allons voir ce que nous pouvons faire au niveau du ministère », a-t-il rassuré. Albert Mabri Toikeusse, poursuivant, a exhorté les étudiants à observer les consignes en vigueur. « On a des contraintes parce que nous n’avons pas de chambres individuelles, nous avons des chambres à deux (02). Et puis il y a un phénomène bien connu qui fait que pour une chambre à deux (02), on se retrouve avec trois (03), quatre (04) cinq (05) voire six (06) étudiants. Ce sont des réalités qu’il faut vivre. Il va falloir informer, sensibiliser, observer les règles d’hygiène corporelle à savoir les lavages des mains (…) Il n’y a pas de cours, on reste en cité, on reste sur place. Il faut surveiller ceux qui viennent rendre visite. En principe, on doit interdire les visites », a fait savoir Albert Mabri Toikeusse. Il a promis, au plus haut sommet, de plaider pour que des moyens plus efficaces soient mis à la disposition du Crou en vue de combattre beaucoup plus efficacement la maladie. « Nous avons fait le plaidoyer pour que des gangs soient mis à la disposition de ceux qui sont en cité et qu’ils puissent les utiliser (…) La prochaine session du Conseil national de sécurité nous permettra de bien communiquer », a-t-il encore promis. Le ministre Mabri avait à ses côtés le directeur du Crou A1, Blé Guirao et ses collaborateurs.
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