La ministre de la Femme, de la Famille et de l’Enfant, Ramata Ly-Bakayoko, a déploré, le 18 avril 2020 à Abidjan, les cas de violences basées sur le genre enregistrés cette semaine et rappelé que 62 plateformes ont été créées pour lutter contre ce fléau.
« Malgré les efforts du gouvernement, des faits extrêmement graves de violences domestiques sont portés à notre connaissance. Nous avons mis en place 62 plateformes de lutte contre les violences basées sur le genre sur toute l’étendue du territoire, afin que les cas soient systématiquement dénoncés et pris en charge », a déclaré Ramata Ly-Bakayoko.
La ministre présentait le plan de riposte de son département pour atténuer l’impact de la crise sanitaire liée à la pandémie du coronavirus (COVID-19). C’était au cours du point de presse quotidien.
Selon la ministre de la Femme, la crise impose de protéger les catégories sociales les plus faibles. Elle a souligné que toutes les victimes de violences et les femmes en situation de détresse, seront accueillies dans le centre de prévention et d’assistance aux victimes des violences sexuelles (PAVIOS), situé dans la commune d’Attécoubé, à Abidjan.
Ramata Ly-Bakayoko a affirmé que les auteurs de ces actes de violences subiront la rigueur de la loi.
« Malgré les efforts du gouvernement, des faits extrêmement graves de violences domestiques sont portés à notre connaissance. Nous avons mis en place 62 plateformes de lutte contre les violences basées sur le genre sur toute l’étendue du territoire, afin que les cas soient systématiquement dénoncés et pris en charge », a déclaré Ramata Ly-Bakayoko.
La ministre présentait le plan de riposte de son département pour atténuer l’impact de la crise sanitaire liée à la pandémie du coronavirus (COVID-19). C’était au cours du point de presse quotidien.
Selon la ministre de la Femme, la crise impose de protéger les catégories sociales les plus faibles. Elle a souligné que toutes les victimes de violences et les femmes en situation de détresse, seront accueillies dans le centre de prévention et d’assistance aux victimes des violences sexuelles (PAVIOS), situé dans la commune d’Attécoubé, à Abidjan.
Ramata Ly-Bakayoko a affirmé que les auteurs de ces actes de violences subiront la rigueur de la loi.