Abidjan, La ministre de la Femme, de la Famille et de l’Enfant, Ramata Ly-Bakayoko, a rappelé la création de 62 plateformes pour lutter contre les violences basées sur le genre, tout en déplorant des cas enregistrés cette semaine à Abidjan.
Lors du point de presse quotidien fait samedi, Ly-Bakayok a indiqué que les cas systématiquement dénoncés sont pris en charge par les plateformes de lutte contre les violences basées sur le genre mis en place sur toute l’étendue du territoire, soulignant que, malgré les efforts du gouvernement, des faits extrêmement graves de violences domestiques sont portés à la connaissance de son cabinet ministériel.
La ministre qui présentait le plan de riposte de son département pour atténuer l’impact de la crise sanitaire liée à la pandémie du coronavirus (COVID-19), a estimé que la crise impose de protéger les catégories sociales les plus faibles.
Toutes les victimes de violences et les femmes en situation de détresse seront accueillies dans le centre de prévention et d’assistance aux victimes des violences sexuelles (PAVIOS), situé dans la commune d’Attécoubé, à Abidjan, a assuré Ramata Ly-Bakayoko qui a affirmé que les auteurs de ces actes de violences subiront la rigueur de la loi.
(AIP)
kp
Lors du point de presse quotidien fait samedi, Ly-Bakayok a indiqué que les cas systématiquement dénoncés sont pris en charge par les plateformes de lutte contre les violences basées sur le genre mis en place sur toute l’étendue du territoire, soulignant que, malgré les efforts du gouvernement, des faits extrêmement graves de violences domestiques sont portés à la connaissance de son cabinet ministériel.
La ministre qui présentait le plan de riposte de son département pour atténuer l’impact de la crise sanitaire liée à la pandémie du coronavirus (COVID-19), a estimé que la crise impose de protéger les catégories sociales les plus faibles.
Toutes les victimes de violences et les femmes en situation de détresse seront accueillies dans le centre de prévention et d’assistance aux victimes des violences sexuelles (PAVIOS), situé dans la commune d’Attécoubé, à Abidjan, a assuré Ramata Ly-Bakayoko qui a affirmé que les auteurs de ces actes de violences subiront la rigueur de la loi.
(AIP)
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