L’opération d’enrôlement pour la délivrance des cartes nationale d’identité (Cni) doit-elle continuer malgré les mesures barrières de lutte contre la propagation du covid-19 ? C’est le débat qui a cours ces derniers jours au sein de l’opinion ivoirienne, y compris au niveau des états majors des formations politiques. Sur le plateau de 20h de la télévision publique ivoirienne, le ministre de l’Intérieur a réagi sur ce débat.
Interrogé sur la question, Sidiki Diakité est formel. « Absolument, il faut poursuivre cette opération. L’Etat fait obligation à chaque Ivoiriens de disposer de sa carte nationale d’identité. L’Etat a obligation de faire en sorte que chaque Ivoirien puisse disposer de sa pièce ».
Selon le premier responsable de l’Administration ivoirienne, les centres ouverts pour accueillir les requérants ont enregistré une baisse d’affluence dès la découvertes des premiers cas de malades du coronavirus et la prise des mesures barrières. Toutefois, le ministre assure que l’opération ne s’arrêtera arguant que, « toutes les dispositions nécessaires pour que les objectifs fixés soient atteints ont été prises ». Il s’agit notamment de 1200 kits fixes mobilisés sur le terrain, de 500 autres kits pour l’intérieur du pays et de 2000 autres kits en attentes de déploiement. Toute chose qui, pour Sidiki Diakité, devrait pouvoir permettre de délivrer 6,5 millions de Cni à l’horizon d’octobre 2020.
« Les populations n’ont pas arrêté de fréquenter les centres d’enrôlement. Toutes les administrations publiques et privées demeurent en activité », insiste le ministre de l’Intérieur pour traduire le maintien de la poursuite de l’opération.
Quid de l’observance des mesures pour éviter la propagation du virus ? « Ce qui incombe à l’Etat, c’est de faire en sorte que le citoyen soit protégé, le requérant comme l’agent dans les centre d’enrôlement. L’Etat a pris touts les dispositions nécessaires pour faire respecter les mesures barrières ». Sidiki Diakité évoque à cet effet, des disposition en terme de distanciation, de nombre de personne, de lavage des mains, de nettoyage de toutes les surfaces de contact, de désinfection de toutes les surfaces des appareils avant et après le passage de chaque pétitionnaires afin qu’il ne soit pas un vecteur de transmission du virus dans les lieux d’enrôlement. « Toutes les dispositions sont prises pour protéger tous les pétitionnaires et les agents en charge de l’enrôlement des populations », insistera le ministre dont la présence sur le plateau de la Radiodiffusion télévision ivoirienne (Rti) est consécutive aux interpellations des dirigeants de l’opposition invitant le pouvoir à surseoir à toutes les opérations politiques dont celle l’identification pour protéger les Ivoiriens du Covid-19.
F.D.B
Interrogé sur la question, Sidiki Diakité est formel. « Absolument, il faut poursuivre cette opération. L’Etat fait obligation à chaque Ivoiriens de disposer de sa carte nationale d’identité. L’Etat a obligation de faire en sorte que chaque Ivoirien puisse disposer de sa pièce ».
Selon le premier responsable de l’Administration ivoirienne, les centres ouverts pour accueillir les requérants ont enregistré une baisse d’affluence dès la découvertes des premiers cas de malades du coronavirus et la prise des mesures barrières. Toutefois, le ministre assure que l’opération ne s’arrêtera arguant que, « toutes les dispositions nécessaires pour que les objectifs fixés soient atteints ont été prises ». Il s’agit notamment de 1200 kits fixes mobilisés sur le terrain, de 500 autres kits pour l’intérieur du pays et de 2000 autres kits en attentes de déploiement. Toute chose qui, pour Sidiki Diakité, devrait pouvoir permettre de délivrer 6,5 millions de Cni à l’horizon d’octobre 2020.
« Les populations n’ont pas arrêté de fréquenter les centres d’enrôlement. Toutes les administrations publiques et privées demeurent en activité », insiste le ministre de l’Intérieur pour traduire le maintien de la poursuite de l’opération.
Quid de l’observance des mesures pour éviter la propagation du virus ? « Ce qui incombe à l’Etat, c’est de faire en sorte que le citoyen soit protégé, le requérant comme l’agent dans les centre d’enrôlement. L’Etat a pris touts les dispositions nécessaires pour faire respecter les mesures barrières ». Sidiki Diakité évoque à cet effet, des disposition en terme de distanciation, de nombre de personne, de lavage des mains, de nettoyage de toutes les surfaces de contact, de désinfection de toutes les surfaces des appareils avant et après le passage de chaque pétitionnaires afin qu’il ne soit pas un vecteur de transmission du virus dans les lieux d’enrôlement. « Toutes les dispositions sont prises pour protéger tous les pétitionnaires et les agents en charge de l’enrôlement des populations », insistera le ministre dont la présence sur le plateau de la Radiodiffusion télévision ivoirienne (Rti) est consécutive aux interpellations des dirigeants de l’opposition invitant le pouvoir à surseoir à toutes les opérations politiques dont celle l’identification pour protéger les Ivoiriens du Covid-19.
F.D.B