Le paysage médiatique ivoirien vient de s’enrichir d’un nouveau titre dénommé ‘’IVOIR’ECHOS’’. Ce trimestriel produit et réalisé par l’Organisation des journalistes professionnels de Côte d’Ivoire (OJPCI) adopte une ligne éditoriale indépendante avec des informations générales fixées sur la complexité des medias. Selon son initiateur et directeur de publication, Olivier Yro, président de l’Ojpci, c’est une tribune d’expression pour tous les journalistes soucieux de valoriser le métier.
Ainsi, Ivoir’Echos se présente comme une offre, « un outil global d’expression » proposé aux professionnels des médias qui souhaitent s’exprimer sur des sujets spécifiques. Il traduit un besoin, celui d’avoir des informations spécialisées dans le domaine des medias, des acquisitions et des combats des grands groupes de medias internationaux, tels Lagardère, Vivendi, Fox news, Bloomberg etc. En clair, le journal, qui ne sortira qu’une seule fois par trimestre, abordera des sujets hyper-importants pour cerner la nouvelle vision du monde.
Pour Olivier Yro en effet, en tant que composante majeure de la société civile, les medias ont besoin de relayer des initiatives pour l’atteinte des Objectifs du développement durable. Ainsi, des sujets comme les changements climatiques, l’économie verte, la justice climatique pour une presse dite « verte » seront les priorités de Ivoir’Echos qui accordera une place de chois aux contributions d’experts de divers domaines.
Tiré à 5000 exemplaires, Ivoir’Echos est prévu pour changer de régime de parution progressivement car, précise son promoteur, « nous comptons sur l’appui des partenaires techniques et financiers vers qui nous nous tournerons car c’est un gratuit. Il est distribué auprès des instituions de la République, des Chancelleries et des Chambres consulaires ».
Plus qu’un journal, conclura Olivier Yro, Ivoir’Echos est aussi un lab pour les grandes écoles de formation en journalisme afin que les étudiants apprennent gratuitement toute la chaîne de production et de développement de la presse écrite. Aussi, envisagerait-il déjà un volet digital par sa déclinaison sur les réseaux sociaux.
A.N
Ainsi, Ivoir’Echos se présente comme une offre, « un outil global d’expression » proposé aux professionnels des médias qui souhaitent s’exprimer sur des sujets spécifiques. Il traduit un besoin, celui d’avoir des informations spécialisées dans le domaine des medias, des acquisitions et des combats des grands groupes de medias internationaux, tels Lagardère, Vivendi, Fox news, Bloomberg etc. En clair, le journal, qui ne sortira qu’une seule fois par trimestre, abordera des sujets hyper-importants pour cerner la nouvelle vision du monde.
Pour Olivier Yro en effet, en tant que composante majeure de la société civile, les medias ont besoin de relayer des initiatives pour l’atteinte des Objectifs du développement durable. Ainsi, des sujets comme les changements climatiques, l’économie verte, la justice climatique pour une presse dite « verte » seront les priorités de Ivoir’Echos qui accordera une place de chois aux contributions d’experts de divers domaines.
Tiré à 5000 exemplaires, Ivoir’Echos est prévu pour changer de régime de parution progressivement car, précise son promoteur, « nous comptons sur l’appui des partenaires techniques et financiers vers qui nous nous tournerons car c’est un gratuit. Il est distribué auprès des instituions de la République, des Chancelleries et des Chambres consulaires ».
Plus qu’un journal, conclura Olivier Yro, Ivoir’Echos est aussi un lab pour les grandes écoles de formation en journalisme afin que les étudiants apprennent gratuitement toute la chaîne de production et de développement de la presse écrite. Aussi, envisagerait-il déjà un volet digital par sa déclinaison sur les réseaux sociaux.
A.N
