Le ministre de la Sécurité et de la Protection civile, Général Vagondo Diomandé, qui expliquait aux sénateurs les dispositions sécuritaires prises par le gouvernement dans le cadre de la gestion de la crise sanitaire due à la COVID-19, a indiqué jeudi que l’Etat a les moyens de traquer tous les activistes des réseaux sociaux qui embrouillent la lutte en Côte d’Ivoire.
« Nous avons attrapé Serges Koffi le Drone, quelqu’un qui était très virulent sur les réseaux sociaux et qui racontait tout et n’importe quoi. Le prochain qui va s’essayer et qui est sûr de lui en Côte d’Ivoire on va l’attraper », a affirmé le Général Diomandé.
Il a toutefois relevé une difficulté majeure dans la tâche des forces de sécurité liée au fait que la plupart des auteurs de "fake news" ne sont pas installés sur le sol ivoirien. « Les émetteurs de ces fake news sont presque tous hors du territoire ivoirien notamment en France », a-t-il souligné.
Le premier responsable de la sécurité en Côte d’Ivoire a révélé que les deux pays collaborent désormais activement pour mettre hors d’état de nuire tous ceux qui pour une raison ou une autre diffusent de fausses informations sur la toile.
« La France a offert ses services pour qu’il y ait une collaboration franche entre les forces de sécurité ivoiriennes et les forces de sécurités françaises pour que si quelqu’un s’illustre d’une manière négative qui met à mal les intérêts de l’un ou l’autre des pays qu’on puisse l’attraper. C’est une avancée notable que je tiens à porter à votre connaissance », a-t-il relevé.
A l’ouverture de cette séance d’information parlementaire, le président du Sénat, Jeannot Ahoussou-Kouadio avait porté la préoccupation des sénateurs au sujet de l’usage totalement dévoyé des outils modernes d’information et de communication qui menace gravement la paix sociale, la sécurité et le respect du droit à la vie privée de chacun.
(AIP)
gso/cmas
« Nous avons attrapé Serges Koffi le Drone, quelqu’un qui était très virulent sur les réseaux sociaux et qui racontait tout et n’importe quoi. Le prochain qui va s’essayer et qui est sûr de lui en Côte d’Ivoire on va l’attraper », a affirmé le Général Diomandé.
Il a toutefois relevé une difficulté majeure dans la tâche des forces de sécurité liée au fait que la plupart des auteurs de "fake news" ne sont pas installés sur le sol ivoirien. « Les émetteurs de ces fake news sont presque tous hors du territoire ivoirien notamment en France », a-t-il souligné.
Le premier responsable de la sécurité en Côte d’Ivoire a révélé que les deux pays collaborent désormais activement pour mettre hors d’état de nuire tous ceux qui pour une raison ou une autre diffusent de fausses informations sur la toile.
« La France a offert ses services pour qu’il y ait une collaboration franche entre les forces de sécurité ivoiriennes et les forces de sécurités françaises pour que si quelqu’un s’illustre d’une manière négative qui met à mal les intérêts de l’un ou l’autre des pays qu’on puisse l’attraper. C’est une avancée notable que je tiens à porter à votre connaissance », a-t-il relevé.
A l’ouverture de cette séance d’information parlementaire, le président du Sénat, Jeannot Ahoussou-Kouadio avait porté la préoccupation des sénateurs au sujet de l’usage totalement dévoyé des outils modernes d’information et de communication qui menace gravement la paix sociale, la sécurité et le respect du droit à la vie privée de chacun.
(AIP)
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