Le journaliste et communicateur ivoirien, Noël Yao, a lancé vendredi à Abidjan la plate-forme Famille fraternelle et solidaire ivoirienne (FFSI) visant à rassembler les Ivoiriens dans leurs différences autour des valeurs de démocratie et de paix.
« Nous sommes tous et toutes fils et filles d’une même et seule mère patrie : La Famille fraternelle et solidaire ivoirienne (F.F.S I). Et, comme les enfants d’une même famille », a déclaré Noël Yao, lors de la présentation du manifeste et de la proclamation de la plateforme.
Pour lui, tous les Ivoiriens, issus d’un même territoire et un même sol, doivent vraiment être «solidaires, fraternels, tolérants dans (leurs) opinions, choix, divergences de toutes natures » pour préserver la cohésion sociale en Côte d’Ivoire.
Les Ivoiriens, dit-il, doivent être « des partisans acharnés, résolus, déterminés, infatigables de la paix, de la fraternité, du progrès, du bien-être, de la démocratie, de l’État de droit, de la bonne et saine gouvernance, du respect des droits de l’Homme et de la dignité humaine ».
« Ce que nous ne sommes pas, ne voulons pas et refusons d’être, (c’est être) des ennemis, quels que soient nos choix, appartenances ethniques, régionales, raciales, religieuses, philosophiques, politiques, sociales, etc », a-t-il lancé.
Il réfute que les Ivoiriens soient en outre « des négateurs de la République et des institutions républicaines, ou encore des partisans de la haine, de l’intolérance politique, sociale, religieuse, philosophique, ethnique, raciale et tribale ».
Pour atteindre les vertus souhaitées, la plate-forme devra s’investir dans l’éducation citoyenne, afin que l’on ne voit pas des « des casseurs, des belliqueux ou bellicistes, des amateurs ou partisans de la facilité, du lucre, de la corruption, du laisser-aller, de l’indiscipline, de l’incivisme rampant et des actes nuisibles ».
« Ensemble, nous sommes et nous voulons être des frères, des sœurs Ivoiriens, fraternels, solidaires au-delà de nos différences et de nos divergences quelles qu’elles soient », a-t-il poursuivi.
En tant qu’initiateur et animateur principal de cette plate-forme, créée en ce temps de crise sanitaire de Covid-19, Noël Yao, veut que ses concitoyens soient au service de la nation et se réclament de La famille fraternelle et solidaire ivoirienne (F.F.S.I).
Cette plate-forme citoyenne, initiée par Noël Yao, par ailleurs conseiller en communication du vice-président de la République de Côte d’Ivoire, Daniel Kablan Duncan, intervient à cinq mois de l’élection présidentielle ivoirienne fixée le 31 octobre 2020.
AP/ls/APA
« Nous sommes tous et toutes fils et filles d’une même et seule mère patrie : La Famille fraternelle et solidaire ivoirienne (F.F.S I). Et, comme les enfants d’une même famille », a déclaré Noël Yao, lors de la présentation du manifeste et de la proclamation de la plateforme.
Pour lui, tous les Ivoiriens, issus d’un même territoire et un même sol, doivent vraiment être «solidaires, fraternels, tolérants dans (leurs) opinions, choix, divergences de toutes natures » pour préserver la cohésion sociale en Côte d’Ivoire.
Les Ivoiriens, dit-il, doivent être « des partisans acharnés, résolus, déterminés, infatigables de la paix, de la fraternité, du progrès, du bien-être, de la démocratie, de l’État de droit, de la bonne et saine gouvernance, du respect des droits de l’Homme et de la dignité humaine ».
« Ce que nous ne sommes pas, ne voulons pas et refusons d’être, (c’est être) des ennemis, quels que soient nos choix, appartenances ethniques, régionales, raciales, religieuses, philosophiques, politiques, sociales, etc », a-t-il lancé.
Il réfute que les Ivoiriens soient en outre « des négateurs de la République et des institutions républicaines, ou encore des partisans de la haine, de l’intolérance politique, sociale, religieuse, philosophique, ethnique, raciale et tribale ».
Pour atteindre les vertus souhaitées, la plate-forme devra s’investir dans l’éducation citoyenne, afin que l’on ne voit pas des « des casseurs, des belliqueux ou bellicistes, des amateurs ou partisans de la facilité, du lucre, de la corruption, du laisser-aller, de l’indiscipline, de l’incivisme rampant et des actes nuisibles ».
« Ensemble, nous sommes et nous voulons être des frères, des sœurs Ivoiriens, fraternels, solidaires au-delà de nos différences et de nos divergences quelles qu’elles soient », a-t-il poursuivi.
En tant qu’initiateur et animateur principal de cette plate-forme, créée en ce temps de crise sanitaire de Covid-19, Noël Yao, veut que ses concitoyens soient au service de la nation et se réclament de La famille fraternelle et solidaire ivoirienne (F.F.S.I).
Cette plate-forme citoyenne, initiée par Noël Yao, par ailleurs conseiller en communication du vice-président de la République de Côte d’Ivoire, Daniel Kablan Duncan, intervient à cinq mois de l’élection présidentielle ivoirienne fixée le 31 octobre 2020.
AP/ls/APA