Le superviseur de la commission électorale indépendante (CEI) en charge des régions du N’zi, du Moronou, de l’Iffou et de l'Indénié Djuablin, Paul Emile Ebrottié, commissaire central, a instruit les populations du N’zi sur le mode opératoire de l’opération de révision de la liste électorale, lors d’une rencontre présidée, samedi, par le préfet de région, Bamba Souleymane à Dimbokro.
Rappelant les textes réglementaires qui fondent l’existence de la CEI et ses missions, M.e Ebrottié a défini la révision de la liste électorale, tout en indiquant la période, la population cible, les pièces requises et les lieux de l’opération non sans oublier les attentes de la structure en charge des élections en Côte d’Ivoire.
Seuls les électeurs inscrits sur les listes électorales peuvent voter le jour du scrutin. La détermination de ces personnes en droit d’exprimer un vote est donc l’une des étapes essentielles de l’expression du suffrage. C’est pourquoi la CEI, organe en charge des élections, tous les ans, doit procéder à une mise à jour de la liste électorale pour tenir compte des changements intervenus, a expliqué le commissaire central, Paul Emile Ebrottié pour situer le contexte de la rencontre.
Il a indiqué que la révision de la liste électorale va se dérouler du 10 au 24 juin sur l’ensemble du territoire ivoirien et du 13 au 24 juin à l'extérieur du pays. Elle concerne les anciens déjà sur la liste et les nouveaux majeurs remplissant les conditions requises notamment d’âge (18 ans) et de nationalité.
M. Ebrottié a exhorté à une adhésion massive à ce processus. Il a révélé les pièces requises à savoir la carte nationale d’identité (CNI), l’attestation d’identité, le certificat de nationalité ou le récépissé d’enrôlement de la CNI délivré par l’ONECI, et a souligné l’ouverture prochaine sur l’ensemble du territoire de 11 000 bureaux de vote pour mener à bien l’enrôlement.
Environ 500000 personnes sont attendues pour cette révision dont la liste définitive sera établie après une période de contentieux. Cette étape sera suivie de la délivrance de nouvelles cartes d’électeurs, fait-on savoir. Des échanges ont mis fin à cette rencontre qui a vu la participation du corps préfectoral du Moronou et du Nzi et des représentants des partis politiques.
Rappelant les textes réglementaires qui fondent l’existence de la CEI et ses missions, M.e Ebrottié a défini la révision de la liste électorale, tout en indiquant la période, la population cible, les pièces requises et les lieux de l’opération non sans oublier les attentes de la structure en charge des élections en Côte d’Ivoire.
Seuls les électeurs inscrits sur les listes électorales peuvent voter le jour du scrutin. La détermination de ces personnes en droit d’exprimer un vote est donc l’une des étapes essentielles de l’expression du suffrage. C’est pourquoi la CEI, organe en charge des élections, tous les ans, doit procéder à une mise à jour de la liste électorale pour tenir compte des changements intervenus, a expliqué le commissaire central, Paul Emile Ebrottié pour situer le contexte de la rencontre.
Il a indiqué que la révision de la liste électorale va se dérouler du 10 au 24 juin sur l’ensemble du territoire ivoirien et du 13 au 24 juin à l'extérieur du pays. Elle concerne les anciens déjà sur la liste et les nouveaux majeurs remplissant les conditions requises notamment d’âge (18 ans) et de nationalité.
M. Ebrottié a exhorté à une adhésion massive à ce processus. Il a révélé les pièces requises à savoir la carte nationale d’identité (CNI), l’attestation d’identité, le certificat de nationalité ou le récépissé d’enrôlement de la CNI délivré par l’ONECI, et a souligné l’ouverture prochaine sur l’ensemble du territoire de 11 000 bureaux de vote pour mener à bien l’enrôlement.
Environ 500000 personnes sont attendues pour cette révision dont la liste définitive sera établie après une période de contentieux. Cette étape sera suivie de la délivrance de nouvelles cartes d’électeurs, fait-on savoir. Des échanges ont mis fin à cette rencontre qui a vu la participation du corps préfectoral du Moronou et du Nzi et des représentants des partis politiques.