Zuénoula- Des élèves se réclamant des classes de terminale, munis de sifflets, ont fait irruption au lycée moderne de Zuénoula, lundi, et ont perturbé le début des épreuves physiques et sportives (EPS) du brevet d'études du premier cycle (BEPC), pour disent-ils, dénoncer le paiement de 1500 FCFA pour la visite médicale et le retrait d'une fiche technique dans le cadre de leur examen.
Ces élèves, aux environs de 8h, ont fait irruption dans l'enceinte de l'établissement et ont perturbé les cours et les candidats aux épreuves physiques du BEPC par des coups de sifflet, a constaté l'AIP.
Les élèves candidats aux différents examens disent avoir été sommés par des éducateurs dans un premier temps de payer de façon systématique une somme de 1000 francs CFA pour la visite physique médicale, sous peine d'exclusion des salles de classes la semaine dernière, et dans un deuxième temps 500 francs CFA pour le retrait d'une fiche technique qui leur donnait droit aux différentes épreuves, a expliqué à l'AIP un enseignant d'EPS, Koffi Kremien.
Les contestataires jugent cette situation "inacceptable" par les élèves d'autant plus qu'ils disent s'être acquittés de leurs droits d'examen,
L'adjoint au chef d'établissement, Jean Claude Bahibo, est parvenu à faire démarrer les épreuves physiques aux environs de 10h suite à une rencontre de conciliation avec les principaux meneurs du mouvement de contestation et les éducateurs concernés, qui disent avoir reçu des instructions de leur hiérarchie relative aux droits sus-évoqués.
Sur un effectif de plus de 600 candidats du lycée moderne de Zuénoula, 500 ont déjà payé les fiches lors d'une opération dans les bureaux des éducateurs.
akr/ask
Ces élèves, aux environs de 8h, ont fait irruption dans l'enceinte de l'établissement et ont perturbé les cours et les candidats aux épreuves physiques du BEPC par des coups de sifflet, a constaté l'AIP.
Les élèves candidats aux différents examens disent avoir été sommés par des éducateurs dans un premier temps de payer de façon systématique une somme de 1000 francs CFA pour la visite physique médicale, sous peine d'exclusion des salles de classes la semaine dernière, et dans un deuxième temps 500 francs CFA pour le retrait d'une fiche technique qui leur donnait droit aux différentes épreuves, a expliqué à l'AIP un enseignant d'EPS, Koffi Kremien.
Les contestataires jugent cette situation "inacceptable" par les élèves d'autant plus qu'ils disent s'être acquittés de leurs droits d'examen,
L'adjoint au chef d'établissement, Jean Claude Bahibo, est parvenu à faire démarrer les épreuves physiques aux environs de 10h suite à une rencontre de conciliation avec les principaux meneurs du mouvement de contestation et les éducateurs concernés, qui disent avoir reçu des instructions de leur hiérarchie relative aux droits sus-évoqués.
Sur un effectif de plus de 600 candidats du lycée moderne de Zuénoula, 500 ont déjà payé les fiches lors d'une opération dans les bureaux des éducateurs.
akr/ask