Abidjan- Le journaliste Souleymane Diakité de la radio de la paix et expert en droit humain, exhorte les journalistes à toujours vérifier une information avant de la publier.
"Il ne faut pas vous arrêter sur le fait que parce que c'est un policier ou un magistrat ou un journaliste, il m'a donné une information donc c'est vrai. Il vous appartient en tant que journaliste de toujours vérifier une information, la jauger et dire que ce qui m'est donnée est juste. Et cela passe par le fait que vous consulter les personnes qui ont assisté à l’événement ou accéder à des documents pour corroborer ou infirmer ce que vous avez eu comme information", a-t-il indiqué.
"Dans le cas contraire, quant nous n'avons pas assez d'informations, ce n'est pas la peine de publier l'information que nous avons reçu sous prétexte qu'on veut vendre parce que parfois la course à publier rapidement une information peut nous amener à brûler certaines étapes journalistiques qui peuvent nous coûter notre crédibilité ou nous emmener devant les tribunaux", a-t-il ajouté.
Selon lui, le métier de journaliste est certes passionnant mais dangereux. "Il est donc important de faire très attention", a-t-il conseillé.
Il s'exprimait vendredi à l'occasion d'un atelier de formation en ligne, intitulé "la paix par moi", organisé par la fondation Konrad Adenaeur en collaboration avec l'union européenne et le Regroupement des Acteurs Ivoiriens des Droits Humains (RAIDH) sur le thème "La gestion de la communication et son impact en période électorale”.
Cette formation, qui a débuté le 1er juin, prendra fin jeudi 12 juin.
sdaf/tm
"Il ne faut pas vous arrêter sur le fait que parce que c'est un policier ou un magistrat ou un journaliste, il m'a donné une information donc c'est vrai. Il vous appartient en tant que journaliste de toujours vérifier une information, la jauger et dire que ce qui m'est donnée est juste. Et cela passe par le fait que vous consulter les personnes qui ont assisté à l’événement ou accéder à des documents pour corroborer ou infirmer ce que vous avez eu comme information", a-t-il indiqué.
"Dans le cas contraire, quant nous n'avons pas assez d'informations, ce n'est pas la peine de publier l'information que nous avons reçu sous prétexte qu'on veut vendre parce que parfois la course à publier rapidement une information peut nous amener à brûler certaines étapes journalistiques qui peuvent nous coûter notre crédibilité ou nous emmener devant les tribunaux", a-t-il ajouté.
Selon lui, le métier de journaliste est certes passionnant mais dangereux. "Il est donc important de faire très attention", a-t-il conseillé.
Il s'exprimait vendredi à l'occasion d'un atelier de formation en ligne, intitulé "la paix par moi", organisé par la fondation Konrad Adenaeur en collaboration avec l'union européenne et le Regroupement des Acteurs Ivoiriens des Droits Humains (RAIDH) sur le thème "La gestion de la communication et son impact en période électorale”.
Cette formation, qui a débuté le 1er juin, prendra fin jeudi 12 juin.
sdaf/tm