Kong - Le calme est de retour ce vendredi matin à Kafolo après l'attaque terroriste d'un poste frontière des Forces armées de Côte d'Ivoire (FACI), et les habitants retrouvent peu à peu leurs activités habituelles, a constaté l'AIP.
Les rumeurs sur les réseaux sociaux, annonçant la poursuite des allochtones peuhls soupçonnés d'être à la base des différentes attaques terroristes, ont été démenties par le comité de la jeunesse villageoise de Kafolo.
Selon Kambiré Paul, des rencontres se font depuis jeudi dans le village, en famille ou entre membres des différentes communautés du village, afin que personne ne songe à des représailles.
"Il y a eu certes des morts par balles dans notre village. Mais ce n'est pas à nous de chercher les auteurs de cette attaque. Nous devons plutôt laisser le gouvernement faire son travail", a t-il dit.
Certains élèves du lycée de Kong, ressortissants de Kafolo et absents jeudi aux cours à cause de la situation qui prévalait dans leur village, ont tous répondu présents ce vendredi.
Le poste frontière de Kafolo a été attaqué dans la nuit de mercredi à jeudi, par des inconnus, qui ont causé la mort d'une dizaine de forces de l'ordre et six blessés dans les rangs des FACI
(AIP)
kkiv/fmo
Les rumeurs sur les réseaux sociaux, annonçant la poursuite des allochtones peuhls soupçonnés d'être à la base des différentes attaques terroristes, ont été démenties par le comité de la jeunesse villageoise de Kafolo.
Selon Kambiré Paul, des rencontres se font depuis jeudi dans le village, en famille ou entre membres des différentes communautés du village, afin que personne ne songe à des représailles.
"Il y a eu certes des morts par balles dans notre village. Mais ce n'est pas à nous de chercher les auteurs de cette attaque. Nous devons plutôt laisser le gouvernement faire son travail", a t-il dit.
Certains élèves du lycée de Kong, ressortissants de Kafolo et absents jeudi aux cours à cause de la situation qui prévalait dans leur village, ont tous répondu présents ce vendredi.
Le poste frontière de Kafolo a été attaqué dans la nuit de mercredi à jeudi, par des inconnus, qui ont causé la mort d'une dizaine de forces de l'ordre et six blessés dans les rangs des FACI
(AIP)
kkiv/fmo