Abidjan, 13 juin (AIP)- La direction de l’Agence ivoirienne de presse (AIP) dénonce la reprise, le vendredi 12 juin 2020, par des sites d’information ivoiriens, d’une de ses dépêches publiée depuis 2014 relative à des émeutes à Odiénné.
La dépêche en question intitulée “Violentes émeutes à Odiennée, commissariat, gendarmerie et préfecture de police saccagés et pillés”, a été publiée précisément le 28 novembre 2014, rendant compte de ce fait.
Mais certains médias en ligne l’on repris in extenso ce vendredi 12 juin 2020, citant l’AIP comme source. Suscitant ainsi de nombreuses réactions et partages sur les réseaux sociaux, et semant la confusion.
L’AIP, bien qu’appréciant la reprise de ses productions par les confrères abonnés regrette de tels manquements, “surtout dans une période aussi sensible, marquée par des attaques armées contre les forces de défense et de sécurité ivoiriennes”, indique une note de la direction de l’Agence, samedi.
“L’AIP en appelle au sens de la responsabilité et du professionnalisme de chacun de ses abonnés médias quant à la reprise de ses dépêches, car les fautes de ce genre causent de graves désagréments à son image et sa notoriété, et constituent un risque pour la sécurité de ses collaborateurs en province”, conclut la note.
(AIP)
tm
La dépêche en question intitulée “Violentes émeutes à Odiennée, commissariat, gendarmerie et préfecture de police saccagés et pillés”, a été publiée précisément le 28 novembre 2014, rendant compte de ce fait.
Mais certains médias en ligne l’on repris in extenso ce vendredi 12 juin 2020, citant l’AIP comme source. Suscitant ainsi de nombreuses réactions et partages sur les réseaux sociaux, et semant la confusion.
L’AIP, bien qu’appréciant la reprise de ses productions par les confrères abonnés regrette de tels manquements, “surtout dans une période aussi sensible, marquée par des attaques armées contre les forces de défense et de sécurité ivoiriennes”, indique une note de la direction de l’Agence, samedi.
“L’AIP en appelle au sens de la responsabilité et du professionnalisme de chacun de ses abonnés médias quant à la reprise de ses dépêches, car les fautes de ce genre causent de graves désagréments à son image et sa notoriété, et constituent un risque pour la sécurité de ses collaborateurs en province”, conclut la note.
(AIP)
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