Un atelier sur la réforme du permis de conduire en Côte d’Ivoire s’est ouvert ce jeudi 25 juin 2020 à l’hôtel Belle Côte sise Cocody. Une initiative du ministère du transport dans le cadre de son plan d’action pour la sécurité routière, la préservation de la vie des citoyens et la valorisation du permis de conduire.
Après avoir observé une minute de silence en mémoire aux décédés d’accidents de circulation, Ahmed Diomandé, le Directeur de cabinet du ministre du transport, a rappelé toute l’importance que revêt cet atelier. Selon le Dircab, de même que les recherches en vue de trouver un remède au Covid-19 afin de préserver des vies humaines, cet atelier a pour but de sauvegarder les vies humaines. «Nous enregistrons environ 1000 morts annuellement dans les accidents de circulations », a- t- il révélé.
M. Diomandé a exhorté les acteurs à oeuvrer de sorte que chaque niveau de la chaîne dans le processus d’obtention d’un permis de conduire incarne la crédibilité afin de doter le pays d’auto-écoles, de formations et de formateurs de référence. « Le permis de conduire n’est pas un droit, c’est un privilège. C’est pourquoi, n’importe qui ne peut pas ouvrir une auto-école, n’importe qui ne peut pas être moniteur, extirper du milieu ceux qui n’ont pas la vocation de moniteur », a- t- il martelé non sans évoquer la question des amendes. A ce propos, le directeur de cabinet du ministre des transports souhaite que la Côte d’Ivoire instaure les pénalités les plus sévères de la zone UEMOA et CEDEAO.
M. Kouakou Romain, Directeur Général des transports terrestres et de la circulation (DGTTC), a expliqué le contexte général de cet atelier. Il a fait savoir à l’assistance qu’il s’agit de réunir toutes les auto-écoles afin de discuter de tout le processus à savoir la réception du candidat pour le permis de conduire , les types d’enseignement avant d’en arriver au mécanisme d’évaluation.
Il a rappelé la première réforme de 2014 de laquelle résulte le centre de gestion intégré qui permet aujourd’hui d’agir selon des délais raisonnables. Il faut continuer dans ce sens surtout que « nous avons l’appui de l’Etat et de la banque mondiale » à pouvoir faire un programme national commun. « Il faut qu’une auto-école qui est dans le nord de la Côte d’Ivoire donne le même enseignement qu’une auto-école qui est Abidjan », a t- il suggéré.
Monsieur Koné Ibrahima, DG du QUIPUX Afrique, a salué l’engagement de l’administration du transport ivoirien à s’inscrire dans la modernisation. Pour le DG Ibrahim, cet atelier est un moyen d’assainir des auto-écoles qui sont le point d’entrée au niveau de l’ensemble des dispositifs.
Ouvert ce jeudi 25 juin, l’atelier sur les réformes du permis de conduire en Côte d’Ivoire prend fin vendredi 26 juin 2020.
MC
Après avoir observé une minute de silence en mémoire aux décédés d’accidents de circulation, Ahmed Diomandé, le Directeur de cabinet du ministre du transport, a rappelé toute l’importance que revêt cet atelier. Selon le Dircab, de même que les recherches en vue de trouver un remède au Covid-19 afin de préserver des vies humaines, cet atelier a pour but de sauvegarder les vies humaines. «Nous enregistrons environ 1000 morts annuellement dans les accidents de circulations », a- t- il révélé.
M. Diomandé a exhorté les acteurs à oeuvrer de sorte que chaque niveau de la chaîne dans le processus d’obtention d’un permis de conduire incarne la crédibilité afin de doter le pays d’auto-écoles, de formations et de formateurs de référence. « Le permis de conduire n’est pas un droit, c’est un privilège. C’est pourquoi, n’importe qui ne peut pas ouvrir une auto-école, n’importe qui ne peut pas être moniteur, extirper du milieu ceux qui n’ont pas la vocation de moniteur », a- t- il martelé non sans évoquer la question des amendes. A ce propos, le directeur de cabinet du ministre des transports souhaite que la Côte d’Ivoire instaure les pénalités les plus sévères de la zone UEMOA et CEDEAO.
M. Kouakou Romain, Directeur Général des transports terrestres et de la circulation (DGTTC), a expliqué le contexte général de cet atelier. Il a fait savoir à l’assistance qu’il s’agit de réunir toutes les auto-écoles afin de discuter de tout le processus à savoir la réception du candidat pour le permis de conduire , les types d’enseignement avant d’en arriver au mécanisme d’évaluation.
Il a rappelé la première réforme de 2014 de laquelle résulte le centre de gestion intégré qui permet aujourd’hui d’agir selon des délais raisonnables. Il faut continuer dans ce sens surtout que « nous avons l’appui de l’Etat et de la banque mondiale » à pouvoir faire un programme national commun. « Il faut qu’une auto-école qui est dans le nord de la Côte d’Ivoire donne le même enseignement qu’une auto-école qui est Abidjan », a t- il suggéré.
Monsieur Koné Ibrahima, DG du QUIPUX Afrique, a salué l’engagement de l’administration du transport ivoirien à s’inscrire dans la modernisation. Pour le DG Ibrahim, cet atelier est un moyen d’assainir des auto-écoles qui sont le point d’entrée au niveau de l’ensemble des dispositifs.
Ouvert ce jeudi 25 juin, l’atelier sur les réformes du permis de conduire en Côte d’Ivoire prend fin vendredi 26 juin 2020.
MC
