Abidjan- L’ancien député de Port-Bouët, Konan Kouadio Bertin dit KKB a expliqué mardi, les raisons de sa candidature au sein du Parti Démocratique de Côte d’Ivoire (PDCI) pour la présidentielle de 2020.
« Je suis candidat parce que je crois que notre pays n’a nul besoin d’un pauvre remake des affrontements passés. Le même pauvre film avec le même scénario et les mêmes acteurs, les mêmes dialogues et les mêmes jeux de rôle. Certains ont eu la sagesse de passer la main. J’aurais préféré qu’il en fut de même pour ma famille politique », a lancé KKB lors d’une conférence de presse animée à Abidjan-Cocody.
« Je veux d’abord vous dire que cette décision, je l’ai prise après avoir longtemps et mûrement réfléchi avec mon équipe, avec mes proches. Mais c’est avant tout, quand il s’agit de briguer la magistrature suprême, une décision personnelle. Ce qui m’a fondamentalement conduit à cette décision, c’est d’abord et surtout l’état de notre pays (…) Ce système je veux radicalement le changer », a-t-il ajouté.
Konan Kouadio Bertin a expliqué que son projet politique est à maturité. « Mon instrument politique est su de tous. Puisque mon militantisme vrai pour le PDCI n’est pas à démontrer surtout qu’il a fallu des courageux à une certaine époque de notre histoire, je suis donc heureux d’avoir été pour que certains se permettent d’être », a-t-il déclaré.
KKB a souligné qu’il a des opposants jusque dans son propre parti et des adversaires mais dans son pays, il n’a pas d’ennemi. « Mes seuls ennemis sont la pauvreté, l’exil de nos jeunes, la corruption, la négation du mérite, du chômage, la précarité », a-t-il dit.
« Notre pays a besoin avant tout de paix, de bienveillance, d’unité et de renouveau. C’est la leçon du père de la Nation dont j’ai toujours voulu m’inspirer. J’y demeure fidèle : réunir plutôt que diviser », a conclu KKB dont la candidature a été rejetée au sein de son parti pour la présidentielle de 2020, le 02 juillet.
tg/cmas
« Je suis candidat parce que je crois que notre pays n’a nul besoin d’un pauvre remake des affrontements passés. Le même pauvre film avec le même scénario et les mêmes acteurs, les mêmes dialogues et les mêmes jeux de rôle. Certains ont eu la sagesse de passer la main. J’aurais préféré qu’il en fut de même pour ma famille politique », a lancé KKB lors d’une conférence de presse animée à Abidjan-Cocody.
« Je veux d’abord vous dire que cette décision, je l’ai prise après avoir longtemps et mûrement réfléchi avec mon équipe, avec mes proches. Mais c’est avant tout, quand il s’agit de briguer la magistrature suprême, une décision personnelle. Ce qui m’a fondamentalement conduit à cette décision, c’est d’abord et surtout l’état de notre pays (…) Ce système je veux radicalement le changer », a-t-il ajouté.
Konan Kouadio Bertin a expliqué que son projet politique est à maturité. « Mon instrument politique est su de tous. Puisque mon militantisme vrai pour le PDCI n’est pas à démontrer surtout qu’il a fallu des courageux à une certaine époque de notre histoire, je suis donc heureux d’avoir été pour que certains se permettent d’être », a-t-il déclaré.
KKB a souligné qu’il a des opposants jusque dans son propre parti et des adversaires mais dans son pays, il n’a pas d’ennemi. « Mes seuls ennemis sont la pauvreté, l’exil de nos jeunes, la corruption, la négation du mérite, du chômage, la précarité », a-t-il dit.
« Notre pays a besoin avant tout de paix, de bienveillance, d’unité et de renouveau. C’est la leçon du père de la Nation dont j’ai toujours voulu m’inspirer. J’y demeure fidèle : réunir plutôt que diviser », a conclu KKB dont la candidature a été rejetée au sein de son parti pour la présidentielle de 2020, le 02 juillet.
tg/cmas