Les groupements et Partis politiques de l’opposition ivoirienne ont animé une conférence de presse ce jeudi 23 juillet à Abidjan-Cocody au siège du Pdci-Rda. En ligne de mire de cette rencontre avec la presse, l’arrêt rendu par la Cour Africaine des Droits de l’Homme et des Peuples (CADHP) sur la CEI et la position des Groupements et Partis politiques de l’opposition ivoirienne sur la poursuite du processus électoral.
Après un rappel de la décision rendue par arrêt consécutif à sa saisine par le PDCI-RDA sur la Composition, l’Organisation, les Attributions et le Fonctionnement de la Commission Électorale Indépendante (CEI), Georges Armand Ouégnin président de l’EDS, porte-parole de ladite coalition a dans son intervention fait part de ses préoccupations aux médias.
Pour des élections transparentes et démocratiques, l’opposition ivoirienne a exigé la réouverture du dialogue politique, en vue de la mise en place d’une nouvelle Commission Électorale, répondant aux normes internationales et qui, comme l’ordonne la Cour, jouit de la confiance des acteurs et protagonistes de la vie politique, comme le prescrit l’article 3 du Protocole de la CEDEAO sur la démocratie. Les groupements des partis de l’opposition ont par ailleurs demandé la dissolution de toutes les commissions locales actuelles ; l’audit de la liste électorale issue de l’enrôlement de juillet 2020 par une instance paritaire.
" L’opposition ivoirienne informe l’opinion nationale et internationale de sa volonté d’engager le dialogue politique avec le pouvoir exécutif RHDP-Unifié sur l’ensemble des questions du processus électoral" a-t-il dit.
Dans son lot d’exigence, à trois mois de l’élection présidentielle, l’opposition ivoirienne exige que le gouvernement de la République de Côte d’Ivoire reprenne la réforme de la Commission Électorale Indépendante (CEI) telle que préconisée par l’arrêt rendu le 15 juillet 2020, par la Cour Africaine des Droits de l’Homme et des Peuples. "Cette réforme doit se faire impérativement dans un délai de trois (03) mois à compter de la date de la notification dudit arrêt avant toute élection en Côte d’Ivoire. ", exige-t-elle.
Abordant l’actualité politique en Côte d’Ivoire, l’opposition ivoirienne dans sa grande majorité a fustigé et déploré l’attitude de certains cadres et élus du RHDP qui depuis deux jours invitent Alassane Ouattara à briguer un troisième mandat. " Nous déplorons le comportement des cadres du RHDP-Unifié qui appellent Alassane Ouattara en fin de son second mandat, à violer une fois de plus la Constitution Ivoirienne en se relançant pour un troisième mandat en toute illégalité" a martelé Georges Armand Ouégnin.
Enfin, les Groupements et Partis politiques de l’Opposition ont informé leurs militants et l’ensemble des populations ivoiriennes qu’ils entreprendront, dans les jours à venir, une vaste campagne d’information et de sensibilisation sur l’urgente nécessité de se mobiliser et de se rassembler en vue d’obtenir du pouvoir RHDP-Unifié l’exécution intégrale et sans délai de l’arrêt rendu par la Cour Africaine des Droits de l’Homme et des Peuples, le 15 juillet 2020.
Aux dires du porte-parole, les Groupements et Partis politiques de l’opposition, sont conscients de leur responsabilité historique et hautement soucieux de préserver la Côte d’Ivoire d’une autre crise liée aux élections. Pour eux, la voie du dialogue reste l’ultime alternative pour sauver cette Côte d’Ivoire.
Cyprien K.
Après un rappel de la décision rendue par arrêt consécutif à sa saisine par le PDCI-RDA sur la Composition, l’Organisation, les Attributions et le Fonctionnement de la Commission Électorale Indépendante (CEI), Georges Armand Ouégnin président de l’EDS, porte-parole de ladite coalition a dans son intervention fait part de ses préoccupations aux médias.
Pour des élections transparentes et démocratiques, l’opposition ivoirienne a exigé la réouverture du dialogue politique, en vue de la mise en place d’une nouvelle Commission Électorale, répondant aux normes internationales et qui, comme l’ordonne la Cour, jouit de la confiance des acteurs et protagonistes de la vie politique, comme le prescrit l’article 3 du Protocole de la CEDEAO sur la démocratie. Les groupements des partis de l’opposition ont par ailleurs demandé la dissolution de toutes les commissions locales actuelles ; l’audit de la liste électorale issue de l’enrôlement de juillet 2020 par une instance paritaire.
" L’opposition ivoirienne informe l’opinion nationale et internationale de sa volonté d’engager le dialogue politique avec le pouvoir exécutif RHDP-Unifié sur l’ensemble des questions du processus électoral" a-t-il dit.
Dans son lot d’exigence, à trois mois de l’élection présidentielle, l’opposition ivoirienne exige que le gouvernement de la République de Côte d’Ivoire reprenne la réforme de la Commission Électorale Indépendante (CEI) telle que préconisée par l’arrêt rendu le 15 juillet 2020, par la Cour Africaine des Droits de l’Homme et des Peuples. "Cette réforme doit se faire impérativement dans un délai de trois (03) mois à compter de la date de la notification dudit arrêt avant toute élection en Côte d’Ivoire. ", exige-t-elle.
Abordant l’actualité politique en Côte d’Ivoire, l’opposition ivoirienne dans sa grande majorité a fustigé et déploré l’attitude de certains cadres et élus du RHDP qui depuis deux jours invitent Alassane Ouattara à briguer un troisième mandat. " Nous déplorons le comportement des cadres du RHDP-Unifié qui appellent Alassane Ouattara en fin de son second mandat, à violer une fois de plus la Constitution Ivoirienne en se relançant pour un troisième mandat en toute illégalité" a martelé Georges Armand Ouégnin.
Enfin, les Groupements et Partis politiques de l’Opposition ont informé leurs militants et l’ensemble des populations ivoiriennes qu’ils entreprendront, dans les jours à venir, une vaste campagne d’information et de sensibilisation sur l’urgente nécessité de se mobiliser et de se rassembler en vue d’obtenir du pouvoir RHDP-Unifié l’exécution intégrale et sans délai de l’arrêt rendu par la Cour Africaine des Droits de l’Homme et des Peuples, le 15 juillet 2020.
Aux dires du porte-parole, les Groupements et Partis politiques de l’opposition, sont conscients de leur responsabilité historique et hautement soucieux de préserver la Côte d’Ivoire d’une autre crise liée aux élections. Pour eux, la voie du dialogue reste l’ultime alternative pour sauver cette Côte d’Ivoire.
Cyprien K.